Paris – Place de la République, la liberté pleure !

Capture d’écran de la vidéo de Rémy Buisine

Des exilés, bénévoles humanitaires, Rémy Buisine ont subi l’attaque, la violence policière lundi 23 novembre au soir Place de la République à Paris.

La République perd son nom depuis des années où la violence politique , économique,  policière et du système judiciaire signent que la démocratie est une illusion , que la liberté est en danger.

En pleine pandémie, à l’opposé des recommandations de l’ONU dont la France est membre, elle sombre dans une dictature.

L’histoire dira que nous étions en guerre quand les générations futures verront que des manifestants ou simples passants ont été grièvement blessés,  que des êtres huamins ont été mutilés lors de mouvements sociaux et du mouvement des Gilets Jaunes . Lorsqu’ils comprendront la pauvreté qui règne en France dans l’hypocrisie du faux calme, ils ne pourront penser que nous étions un pays libre et en paix. La pauvreté est la première des violences politiques imposées à des êtres humains, elle n’est pas témoin de paix !

La France est devenue par ses politiques une luxueuse vitrine au cœur froid. 

Jamais, Emmanuel Macron n’a demandé pardon à tous ces êtres humains blessés à vie dans leur chair,  portant dans leur mémoire le traumatisme de la violence, de l’injustice, de l’inhumanité.

Des manifestants ont été arrêtés, jugés immédiatement,  condamnés,  emprisonnés comme les pauvres ayant faim et ayant volé l’équivalent d’un morceau de pain.

Pendant ce même temps, le système judiciaire et non La véritable Justice explique qu’il y a un manque de moyens ne permettant pas de reconnaître en respect des droits humains,  des Conventions Internationales jamais véritablement respectées en un quart de siècle , des femmes et des enfants,  victimes innocentes de dangereux prédateurs,  hommes cruels, conscients et responsables,  ayant fait le choix de détruire, d’anéantir, de traumatiser, de martyriser la vie d’êtres humains.

Des plaintes pour viols, pour violences conjugales graves, pour viols sur une femme enceinte, pour des crimes, des menaces de mort avec un couteau concernant la dangerosité de certains pervers, sont oubliées dans les méandres de la justice, sont à attendre des années dans ses dysfonctionnements ,  sont à être minimisées alors qu’il est des faits criminels. Des femmes et des enfants traumatisés sont noyées dans le langage fermé du droit et la perversité des lois. Ils sont les Oubliés de cette justice qui abandonne,  humilie des victimes en grande vulnérabilité,  vivant des traumatismes,  une souffrance intense,  niant leur sincérité, honnêteté et forces et laissant des pervers dangereux se balader tranquillement.

Les exilés,  bénévoles humanitaires,  journalistes dont Rémy Buisine ont vécu lundi 23 novembre au soir place de la République à Paris et dans le centre de Paris, la réalité de la violence qui existe en France depuis plusieurs années car la justice n’existe pas .

Un pays qui accepte qu’un homme violent puisse traumatiser,  martyriser une femme enceinte,  peut-il  se dire celui de la liberté,  respectueux de la vie, respectueux les droits humains fondamentaux ?

Un système politique,  technocratique, économique, administratif, judiciaire qui est un désastre et qui marque l’empreinte de la violence,  de la pauvreté, des maltraitances envers les plus vulnérables règne en France.

Tous ceux obéissant à ce système, qui laissent faire, regardent sans rien dire, tel que le définissait Einstein, font plus de mal que le système lui-même en permettant à la violente d’être récurrente, à ces actes répétitifs qui interdisent à l’humain le droit fondamental de bâtir la Résilience.

L’indifférence regarde l’humain et la nature être blessés car nous sommes cette alliance et détruire l’un c’est détruire l’autre.

Celui qui blesse un être humain,  blesse un arbre, un oiseau, il renie la vie.

Un homme violent fait le choix de détruire  et partout sur Terre,  il y aura la résonance de son acte car nous sommes des veines liées les unes aux autres dans l’immensité de la définition de la vie, dans l’immensité de la liberté qui est la source de la vie.

S’il était quelque chose de juste, après que 13 associations humanitaires aient en 2020 saisi l’ONU concernant les conditions inhumaines que subissent des réfugiés et migrants à Calais, citant Darmanin, puis le silence de tout le gouvernement ayant été, puis Emmanuel Macron ne disant mot et trahissant alors le « Nous Tous ensemble » écrit dans LiberTerra bien avant qu’il prononce ne serait-ce que le mot ensemble,  ce « Être ensemble  » qu’il affiche,  alors qu’il est en plus de en plus difficile de se nourrir pour les personnes pauvres, alors qu’il ne peut être respecté la santé quand des êtres humains sautent des repas faute de moyens financiers et que dans le même temps, le gouvernement impose des mesures sanitaires absurdes en prétendant protéger la santé des citoyens,  Emmanuel Macron et son gouvernement devraient avoir la dignité de rendre les clés au peuple en démissionnant.

 De toute manière ils ont démissionné , car la seule chose à protéger par ceux au service du peuple, c’est la liberté et aujourd’hui elle est en danger.  

Au plus fort des manifestations,  il n’y avait que 2 % de la population à être dans la rue pour défendre les droits humains lors des mouvements sociaux de 2018 et 2019 ! 

Soyons des millions pour sauver la liberté,  respecter le présent et l’avenir de nos enfants.  Que diront-ils de nous ? 

Ce soir , Emmanuel Macron s’exprimera comme à sa triste habitude,  répondons lui, NON !

GRÈVE GÉNÉRALE,  faisons honneur à nos anciens que se sont battus pour nous, regardons nos veines, il est leur sang,  celui de nos enfants,  celui de notre famille humaine,  de notre solidarité et sans la liberté,  nous ne sommes pas. 

Je n’ai pas dit, nous ne sommes rien, je dis, nous ne sommes pas.  

De plus, nous savons que les commerces seront ouverts au 1  décembre, c’est un secret pour personne ces annonces de polichinelle qui veillent surtout à restreindre les libertés et à imposer aux enfants une pression insoutenable à grandir dans un pays où la violence politique impose toutes les violences par la première, la pauvreté qui n’est que l’expression de la liberté enchaînée,  entravée. 

Si la liberté avait été entravée, jamais la vie sur Terre n’aurait pu être. 

Ces gouvernants technocrates avec leurs apparences faussement vertueuses , se croyant très intelligents et au-dessus de tous, ont oublié le plus simple, la naissance de la vie qui n’est que la source de la liberté. 

Si, j’empoisonne la Terre, elle ne donnera que le poison que j’ai semé.

 La souffrance de la nature est la nôtre  

Emmanuel Macron est un être humain comme nous tous et non un pouvoir, un président comme tous les policiers sont des êtres humains,  et certains ont choisi d’exercer une violence. Mais, ils ne sont pas un pouvoir sur un autre être humain.  Ils impriment juste une guerre,  l’humanité contre elle-même. 

Aujourd’hui, levons le voile , réfléchissons Nous Tous Ensemble, à concevoir un Conseil national de la résilience. Nous devons ensemble ouvrir un débat public pour que soit protéger la liberté dans le contexte d’un bouleversement planétaire, dans le contexte où la paix est menacée sur le plan international. Des tensions intenses sont apparues entre des pays, la menace de la famine pourrait en 2021 mettre notre humanité en danger et l’ONU alerte sur le chiffre glaçant qu’il pourrait être en 2021, 6 000 enfants mourant de faim chaque jour à travers le monde. 

Ne soyons pas ces aveugles, ne soyons pas l’inhumanité par l’indifférence alors qu’un soleil demeure dans le cœur de chacun de nous. 

Constituons une réconciliation nécessaire et que tous ceux aimant la liberté, amoureux de la vie, agissent, résistent et désobéissent à un ordre politique, économique destructeur et suicidaire. Si nous laissons faire, nous verserons les larmes de sang  de la liberté blessée. 

YALLA ! RÉSISTER !

©Fédora Hélène ©LiberTerra

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