
Le 25 novembre dernier était le Journée internationale pour l’élimination des violences faites aux femmes et aux filles. À cette occasion l’ONU initie les 16 jours Oranges pour témoigner , pour agir, pour secourir, pour être ce rayon de lumière qui va permettre d’anéantir le sombre, l’inhumain des violences faites aux violence pour atteindre l’objectif – Zéro violence pour 2030
Le calendrier place donc la plainte contre Darmanin dans les jours Oranges par cette coïncidence des dates qui pourtant ne sera pas ,puisque Darmanin a obtenu le report de son audition en tant que témoin assisté, pour un motif impératif lié à ses fonctions, selon ses avocats.
Darmanin – Témoin assisté dans le cadre d’une plainte à son encontre pour viol, harcèlement sexuel et abus de confiance
Une plainte concernant des faits qui se seraient déroulés en 2009 et qui après être passée dans les méandres de la justice, refait surface par les actions menées par l’avocate de la plaignante qui ne lâche pas et le non-lieu prononcé en faveur de Darmanin, sera annulé par la Cour de cassation en novembre 2019. L’Opinion annonce que Darmanin qui devait être entendu comme témoin assisté ce mardi 2 décembre , voit finalement cette convocation être reportée à sa demande pour des raisons impérieuses.
Darmanin étant un homme politique, son nom s’étale concernant cette affaire depuis plusieurs mois, les associations féministes publient #DarmaninDémission, voyant dans sa nommination la réalité d’une culture patriarcale et du viol qui persiste en France et qui dit aux victimes de violences sexuelles que leur combat pour l’anéantissement de celles-ci tel que s’engage l’ONU et ses partenaires, est vouée à l’échec en France, pourtant pays membre de l’ONU.
Certains pensent, comme Marlène Schiappa, que Darmanin est innocent et il est la présomption d’innocence, et qu’il n’y a aucune raison pour que celui-ci ne soit pas nommé Ministre de l’Intérieur, lequel ministère est chargé de la plateforme #Arrêtons-les, de veiller à ce que les droits des femmes soient respectées et à ce que les victimes soient protégées et reconnues et non plus oubliées, ce qui est un acte grave d’inhumanité. Un acte qui ne peut en aucun cas être minimisé, contrairement à la justice qui minimise souvent les faits dans les plaintes portées pour violences conjugales et/ou sexuelles, qui perpétue ses dysfonctionnements et lacunes graves qu’elle fait porter uniquement sur les victimes qui subissent alors des traumatismes supplémentaires. Des victimes, qui ont eu le courage de témoigner d’un crime, de celui qui tue un être humain en le laissant dans cet entre la vie et la mort, dans une intense souffrance. Nous parlons d’ actes cruels commis sur un corps humain, ce que la justice ne semble pas comprendre, en prendre toute la mesure, ni ne comprendre le sens de mot, vie.
En s’éloignant du nom Darmanin, nous nous trouvons donc durant les 16 jours Oranges initiés par l’ONU pour l’élimination des violences faites aux femmes dans le cadre du 25 novembre, Journée internationale pour l’élimination de toutes les violences faites aux femmes dans un objectif – 2030, zéro violence faite aux femmes et aux filles.
Pour que cela soit réalisé en france, il faut bâtir une justice nouvelle , qui ne soit pas issue du patriarcat, de la culture du viol et d’une institution qui depuis un quart de siècle n’a jamais véritablement respecté les Conventions internatioanles des droits des femmes, ce que souligne l’OnuFemmes.
Il est également les rapports de la CEDH et ceux d’Amnesty International qui révèlent la perversion de la loi en matière de viol, notamment. Depuis des décennies, la France conserve une puissance patriarcale qui ne permet pas de respecter les victimes de violences conjugales et sexuelles, et qui leur inflige des traumatismes, peurs alors que celles-ci ne sont vivantes que par le miracle de leurs forces de vivre, d’aimer la vie, leur famille, leurs enfants et non par le soutien de la justice qui humilie, abandonne, minimise les faits et qui au final, laisse des prédateurs détruire des vies.

Des victimes qui pendant des années ont confiance en la justice, lui donnent leurs espoirs, leur patience, leur respect alors que la justice ne les a jamais protégées, pour finalement comprendre que la justice n’existe pas. Elle a été conçue, voulue par un pouvoir politique et bourgeois, pour garantir ce pouvoir politique et bourgeois, en étant une force de répression, une force de peur.
Un système prédateur ne peut sauver car il détruit et comment la justice pourrait-elle justifier cette cruauté de ne pas écouter le chagrin d’un être humain à la mémoire brisée, à la liberté cassée par les violences d’un homme cruel attaquant un être humain, une femme qui ne lui a rien demandé.
La justice se veut-elle être une puissance extrême pouvant anéantir des vies en reniant des victimes, d’autant celles pauvres qui n’auront jamais accès à la justice comme les personnes riches à très riches pourront y avoir accès.
De plus, la justice conserve un langage fermé pour garantir sa supériorité, et faire en sorte que le commun des mortels ne puisse y accéder faute de pouvoir maîtriser ce langage archaïque et de pouvoir, de manipulations comme l’est le système dont elle est issue ; le pouvoir absolu de la politique qui garantit l’empire des gouvernements mettant en ordre des millions d’habitants dans cet absurde où la démocratie ne peut exister. À partir de cet instant, la justice n’a aucune chance de naître et de consoler, d’apaiser, de reconnaître toutes les victimes avec humanité.
L’endoctrinement est lourd et depuis des décennies nous subissons cette absence cruelle de justice véritable

Orange le monde pendant 16 jours à la force du témoignage, à la force de ton coeur, tous unis pour lutter contre les violences faites aux femmes

Loin de l’affaire Darmanin dont nous n’entendrions pas parler s’il n’était pas un homme politique, il y a des milliers de victimes, femmes et enfants, qui subissent des violences graves de par les actes que commettent des hommes se faisant ennemi de notre humanité.
Pourrions-nous considérer que être humain, c’est dépasser toutes limites pour devenir cruel et commettre des crimes uniquement pour satisfaire des pulsions, se faire du bien en détruisant la vie d’autrui, car on penserait que la vie est un néant absurde qui rejoint fatalement le néant de la mort. Habité par ce néant, cette haine de la vie, créant un vide au profond de notre cœur, harcelant les autres avec cette angoisse terrifiante de la mort comme fil conducteur de la vie, ne ressentant aucune émotion, jusqu’à ne ressentir aucun amour à la naissance d’un enfant car considérant sa vie comme inexistante puisqu’ elle est un temps d’absurdité jusqu’au néant de la mort. Considérant ce fait comme vérité, nous pensant supérieurs aux autres car ayant compris et considérant ceux aimant la vie, comme étant dans une illusion car ils sont trop stupides pour comprendre que la vie n’est qu’une longue mort jusqu’à son néant absolu.
C’est ce que pense un homme cruel qui ne ressentira rien à la naissance de ses enfants qu’il conçoit par perversité, bâtissant ses jouets, ceux lui appartenant et faisant ce qu’il veut de leur vie, volant celle de leur mère, usant de son corps comme il userait d’une poupée de chiffon, la violant, la martyrisant, la menaçant de mort avec un couteau, lui hurlant des insultes durant des heures en pleine nuit, lui tirant les cheveux, lui tordant le poignet, la poussant avec son ventre, brûlant son tailleur de mariage après l’avoir mis en lambeau, renversant le lit à 3 heures du matin alors qu’elle y dort enceinte la projetant ainsi à terre, renversant son repas et celui des enfants dans l’évier en le recouvrant de la litière souillée du chat, leur interdisant de manger, comme il se réservait des mets qu’il avait acheté que pour lui, comme il volait la moindre pièce mise de côté par sa compagne ou par les enfants, volant en permanence le contenu de leur tirelire. Puis, passant ses journées, le plus souvent ivre, dans l’indifférence totale du mal qu’il a commis, oubliant ses proies qu’il abandonne en état de choc, en détresse avant de revenir très tard dans la nuit agresser de nouveau sa compagne. Des journées qu’il passe à manipuler, voler, escroquer, approcher nombreux politiques, avocats, RG, journalistes dans ce système de nos sociétés où la violence du mensonge est à son triomphe.
Pourquoi cet homme cruel ayant traumatisé des enfants, ayant commis des viols conjugaux, ayant martyrisé sa compagne enceinte, ayant menacé de mort sa compagne dont avec un couteau et cela à plusieurs reprises , harcelant , hurlant des injures très obscènes sur sa compagne dans de longues logorrhées récitées en pleine nuit, ayant escroqué, volé, fait des faux et usages de faux, s’étant fait de faux diplômes, étant connu de la justice depuis 40 ans, ayant eu des articles de presse révélant ses escroqueries, en barbouze de presse et divers, d’autant qu’il n’hésite pas à s’attaquer à des personnalités, dont dans l’affaire TF1, en sachant que les victimes ont alerté depuis des années de son extrême dangerosité, qu’il est des témoignages bouleversants émanant des victimes, qu’une plainte a enfin été en septembre 2019, pour des faits de viols sur une femme enceinte et violences, mais oubliant entre autres les menaces de mort avec un couteau, oubliant la demande d’un des enfants de porter plainte contre ce psychopathe cruel , ce que la police lui avait refusé alors que celle-ci était appelée en urgence par les victimes lors de violences du prédateur connu comme le loup blanc, des victimes donnant leur confiance, ayant avec patience attendu des années que la justice les écoute, alors que la justice ne les a jamais secouru, en novembre 2020, ce prédateur se balade, est-ce normal ?
Il y aura bien une « expertise » un jour de celui-ci qui a l’habitude de manipuler en maître ce genre de situation connaissant le fonctionnement et le mental de la justice.
Puis, il est également toutes les personnes ayant porté plainte contre lui pour escroqueries et divers, qui expliquent n’avoir jamais eu de nouvelles de la justice.
Pour le moment, la seule chose que la justice a su faire , c’est de faire subir des traumatismes supplémentaires aux victimes .
Des enfants généreux qui dépassent chaque jour, qui réussissent leurs études pour pouvoir survivre, réaliser leurs rêves, avoir le droit au bonheur comme quand ils en témoignent et témoignent de ce que leur mère a subit sous leurs yeux, ce qu’ils ont subi, comme ils expliquent le mental de ce psychopathe, des victimes qui chaque jour dépassent une souffrance intense et celle de savoir que la justice ne les considère pas comme des êtres humains, exactement comme ce prédateur a usé de leur vie et les a martyrisés. On leur dit, on dit à cette famille de faire le deuil de toute justice, mais c’est la justice qui fait le deuil d’elle-même et la vraie justice , c’est la vie qui la donne.
Ce prédateur qui buvait d’une traite une bouteille de whisky puis la fracassait au sol devant la police alertée par la victime des violences qu’il commettait encore cette nuit là comme chaque nuit et suppliant qu’ils fassent quelque chose, mais ils partaient en laissant le bourreau détruire des vies .

Le difficile, prendre conscience que la justice n’existe pas.
Puis, il est l’inhumain de mettre une victime en souffrance lorsque celle-ci a le courage encore une fois de témoigner, de revivre les violences en devant de nouveau les raconter, comme pour prouver qu’elle est un être humain, une mémoire, une histoire, vivante.
Les victimes doivent-elles écarteler leur vie, la détruire entièrement pour prouver à la justice leur innocence ?
Pendant ce temps là, un homme très dangereux ne sera pas inquiété, et il sait que les victimes seront à subir les traumatismes que la justice va leur imposer, à défaut de leur donner le droit à la reconnaissance, à la résilience, à réparation qui sont des droits humains fondamentaux et universels.
Puis, il est ces personnes « expertes » nommées par la justice qui posent des questions froides aux victimes de violences conjugales et sexuelles, « On vous demande de raconter » dit une de ces personnes d’un ton glacé, autoritaire dans l’aberrant de se prétendre capable de mesurer la souffrance d’un être humain, d’une mère violée enceinte,et oubliant que mettre en souffrance une victime en grande vulnérabilité, est par principe inhumain. Allant jusqu’à provoquer un état de choc de la victime et continuer à poser des questions sans se soucier un seul instant de la santé physique et psychologique de la victime comme si elle n’avait pas assez souffert.
Premièrement, la souffrance d’une mère est incommensurable, elle donne toutes ses forces pour protéger la vie de son enfant en elle , ayant peur à chaque seconde de perdre son enfant car ce prédateur harcèle, agresse, martyrise, jette des cigarettes allumées sur sa compagne enceinte comme il lui jettera de l’alcool dans les yeux.
Cet homme cruel anéantit une vie humaine, et part boire , rire, manipuler, voler dans ses bars et relations perverses comme si de rien n’était, une seconde après avoir anéanti par sa violence criminelle des êtres humains.
Donc ce n’est certainement pas une personne qui se dit croit orgueilleusement « experte » qui ignore tout de la vie humaine d’une victime, qui ne connait absolument rien de l’immensité de cette vie, de la force des victimes, ne connaissant pas non plus, le prédateur qu’elle n’a jamais vu, connu, ni subit une violence de sa part, qui ne connaît absolument rien de sa capacité à être cruel , à manipuler, qui va sortant de ses bancs universitaires, de son schéma mental arbitraire, émettre un jugement comme une traçabilité de la victime, comme si elle était un animal.
Une victime en état de choc et cette personne n’aura même pas l’humanité de lui proposer un verre d’eau. C’est à la victime d’avoir dû encore rassembler toutes ses forces pour dépasser et donner son sourire à ses enfants. Honte à ce genre de personne mettant une victime en grande vulnérabilité en état de choc et partir fière de ce qu’elle pense avoir accompli du haut d’un titre et d’un diplôme.
Une vie, une vie entière le plus précieux, une maternité fragile, traumatisée, des grossesses à risque par la violence subie, devoir enceinte s’occuper de ses enfants , devoir dépasser seule des violences cruelles, quotidiennes, alertant en vain, toujours en vain, si ce n’est une condamnation pour violences conjugales et menaces de mort que ce prédateur écopera avec deux ans de prison avec sursis, et deux ans d’obligation de soins qu’il manipule et ne fera jamais.
Les médecins des urgences où il atterrissait pour ivrognerie, chantage au suicide récurrents, et la victime leur demandant d’agir pour protèger ses enfants et sa vie de ce prédateur qui ressortirait comme si de rien n’était, quelques heures plus tard, lui répondaient « Si nous faisons quelque chose, il sera interné 10 jours et sortira en sachant que cela n’aura servi à rien. Nous aurons alors plus que nos yeux pour pleurer car c’est sur vous qu’il se vengera ».
Prophétie qui se réalisa car cet homme cruel , c’est vengé sur sa proie de sa force de témoigner, d’alerter, de tenter de divorcer, de fuir ce cruel psychopathe qui plongea sa famille dans la pauvreté et l’isolement total.
Puis, il avait pour habitude de rentrer de force dans le domicile quand la victime réussissait à le mettre dehors. Il devenait alors de plus en plus violent et commettant toujours des viols conjugaux , des violences de plus en plus traumatisantes, pointant son couteau à quelques centimètres du corps de sa compagne en lui hurlant, « Je vais te tuer » comme il lui hurlait qu’il la brûlera pendant son sommeil. Et aucune plainte pour menaces de mort avec arme, est prise.
C’est dire à la victime, aux victimes que leur vie n’existe pas, qu’elle n’est rien et que ce prédateur a le droit de violer, de traumatiser , de martyriser une femme en grande vulnérabilité, des enfants dont un jeune garçon opéré à cœur ouvert, que cet homme cruel maltraitait, agressant sa mère sous ses yeux, menaçant de mort sa mère sous ses yeux.
Des mois et des mois, des années et des années à attendre que la justice existe, ne sera que briser tout ce qui a été construit par les victimes pour vivre, pour dépasser, pour avancer, bâtir un avenir serein.
Une plainte partie dans les méandres , labyrinthes de la justice , dans l’attente inhumaine que subissent les victimes, et cela est pour des milliers de victimes de violences conjugales et sexuelles.
Les longs témoignages faits par les victimes seront toujours à l’oubli et cet homme cruel est conforté dans son impunité en maître, légitimer dans sa cruauté comme lorsqu’il n’hésita pas à vouloir faire condamner un jeune journaliste innocent qu’il avait piégé avec la réalisation d’un faux dont il est le seul coupable. Il piège, fait du chantage, menace de mort, harcèle, détruit la vie, conscient et responsable de chacun de ces actes.
Puis, la justice s’illustre également par ce policier qui dira à la victime en 1999, qu’elle est responsable des violences qu’elle subit et qu’elle doit faire en sorte que cela ne se reproduise pas. Ce policier a mis en grave danger des vies humaines, une femme et des enfants . La victime était venue pour être secourue, aidée face à un tel criminel qui par cette indifférence grave de la justice, de la société, de l’environnement exerça sa violence pendant plus de 20 ans !
Un homme cruel qui n’a que profité d’un environnement prédateur qui domine dans nos sociétés, de l’indifférence pour la vie surtout quand il s’agit de celle d’une femme et d’enfants et de l’inexistence de la justice.
#PayeTaPlainte recueille les témoignages de femmes ayant subi des traumatismes par la justice qui est censée les protéger, les secourir.
Quant à la médiocrité de supposer la victime « mytho », elle serait digne de la faillite magistrale de la justice de ce pays.
Une victime qui parle du plus précieux de sa vie, de l’initimité de son corps humain, de ses grossesses traumatisées, de la naissance en urgence de son enfant blessé dans le ventre de sa mère par les maltraitances graves dont un viol que cet homme cruel a commis sur sa compagne enceinte de 7 mois, alitée car il était une grossesse à risque et l’on comprend pourquoi. Avoir l’horreur de douter de toute sa vie, c’est cracher sur les victimes, sur les témoignages bouleversants des enfants, c’est leur dire qu’ils n’existent pas et poursuivre le mal qu’a commis leur bourreau.

On ne peut pas dire adieu à la justice car on ne peut quitter à jamais ce qui n’existe pas .
Adieu à l’injustice !
Aucun prénom n’a été donné à ce prédateur au cours de cet article, car on ne nomme pas la cruauté, la perversion criminelle d’un homme par un autre nom, que ce qu’elle est , inhumaine. Il n’est plus un être humain , mais inhumain.
©Fédora Hélène

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