
La paix belle et magnifique est l’expression de l’universalité, et surtout celle du plus fragile. Le sourire d’un enfant partout dans le monde, qu’il soit né riche ou pauvre, est la paix. Comme ses larmes le sont et alors c’est l’amour qui pleure de vivre la liberté, sa paix en souffrance.
La paix est au cœur des plus fragiles, de la parole libérée par un regard, un sourire, la peine, elle n’est pas forcément de mots et souvent loin des discours et conférences même si tout est important pour porter la paix, elles est surtout témoin de la parole de la liberté qui s’exprime par tous les langages humains.

Les puissants ont la possibilité de s’exprimer en permanence, d’être très largement diffusés , pourtant , leurs mots sont rarement ceux qui soutiennent durant les épreuves.
Ceux qui sont la lumière dans la nuit, ce qui permet le lien indéfectible de la paix, qui nous unit où que nous soyons sur terre, sans nous connaître, sans jamais nous rencontrés , mais nous savons que notre existence est par ce lien solidaire, cette force fraternelle et qu’il sera une voix transmettant à l’autre, des rencontres qui se raconteront, ce conte de vérité, cette histoire qui est nôtre et qui fait partie de nous par cette universalité de la paix, langage de liberté.
C’est ce qui constitue les droits humains, l’effort de chacun est de progresser, de grandir dans la paix, qu’elle soit ce qui s’impose à nous. La marche des peuples sera celle-là, très certainement. Toute une jeunesse ayant traversé de lourdes épreuves et qui comprendra que ce passage , cette réussite d’avoir su surmonter, dépasser la peur, les traumatismes, font de chaque victime, cette puissance d’avenir, ceux et celles capables de le porter et de construire un monde meilleur. Un monde non parfait puisque l’humain ne l’est pas , mais un monde où la générosité, la marche de la paix pourra exprimer toute sa richesse .

Une chance extraordinaire , voilà notre futur. Il n’est pas voilé de sombre, mais dévoilé par la lumière de la paix qui est le chemin emprunté pour que la liberté soit ce qui s’impose à nous. Notre monde a besoin d’harmonie et non d’armes, et les combats doivent être à la force de la paix et non des violences.
Marcher en paix et se heurter aux impossibilités est la lutte et nous savons que les murs s’abattent et que l’obstination qui se transmet de génération en génération est ce qui construit la lutte actuelle. Nous sommes issus des combats des ouvriers, des esclaves, nous sommes leur mémoire, leur transparence, et on exprime cette voix, ce choix qui murmure chaque jour en nous, que ce combat doit être car il est une nécessité d’aboutir à un 21ème siècle en paix.

La paix s’accomplit par l’anéantissement de la pauvreté. La pauvreté n’est pas quelque chose d’obligé que l’on ne peut éliminer. Par l’histoire, résonne en nous le nom de tous ceux ayant combattu la misère. Ceux, au plus proche de ceux fragiles, sont ceux qui sont importants, ceux artisans de paix, semeurs d’avenir . Et, il est la force de la fragilité, ces populations pauvres continuant à semer la terre, à travailler dans les champs de cultures, à maintenir un village vivant, à être mémoire de notre humanité, une humanité qui apprend chaque jour, se construit en permanence, et qui ne doit que se délivrer de la cupidité, de l’orgueil , de cette volonté de posséder le pouvoir si ce n’est celui de bâtir la paix.
Hier, les cathédrales étaient de pierre, aujourd’hui elles sont de cœur au-delà de toutes religions, de toutes politiques , même si nous sommes qu’au début de la plantation de la paix universelle, elle est déjà cette conscience d’universalité, de dépasser les frontières. Elle est dans l’accueil , le partage et de comprendre que la Terre ne nous appartient pas, de comprendre que nous avons une responsabilité envers les autres, que les peuples autochtones sont d’une importance cruciale et qu’il est de préserver leur territoire sans cesse menacé et cela s’amplifiant par la mondialisation poussant toujours de plus en plus loin les limites, les capacités de destruction avec le leurre du capitalisme vert pour continuer à avancer sur le mauvais chemin.
Que l’on détruise une forêt avec un moteur à essence ou à eau, on détruit toujours et l’énergie ne peut venir que des ressources de la terre. Elle est notre seul support, notre seule source. Nous devons faire preuve de sagesse , et réduire notre puissance, notre énergie dépensée pour créer nos matières artificielles qui font les fortunes des lobbies.
Aujourd’hui, perdre des acquis de consommation est vu comme un sacrifice, comme une impossibilité, et le commerce a rendu possible l’afflux permanent de tout, de l’acquis pour tous de données matérielles sans conscience que, pour que cela soit, c’est une partie de notre humanité qui est sacrifiée.
Par l’argent , nous avons tous la possibilité d’acquérir une technologie , qui sera d’ailleurs qu’illusion et pour beaucoup un simple assurance d’obtenir également, d’être dans cette virtualité de posséder un bien, alors que peu possède ne serait-ce que quelques que mètres carrés de terre pour cultiver, être dans une autonomie alimentaire, car il y a aussi cette facilité d’acquisition par la commercialisation de tout et en masse dans des infrastructures réservées à cette amplification, à cette publicité envahissante, voulant conduire le monde sur un seul et unique chemin de profits, de compétitivités. On achète, tout s’achète, tout est publicité, direction des émotions et les politiciens ne font que des campagnes publicitaires se répétant en boucle sur les réseaux sociaux et Emmanuel Macron inaugure en ce moment les accords de Paris par une vidéo sur le réseau social Tik Tok en disant dit-il adresser un message aux jeunes . C’est-à-dire que nombreux enfants sur ce réseau sont déjà formatés et endoctrinés par un message politique publicitaire qui va défiler en boucle sans fin.
On est acteur devant un slogan , on ne construit pas un jardin, on l’imagine et il reste souvent enfermé dans l’imagination. Puis, nous voyons des jeunes défiler pour le climat qui se masquent , qui préservent leur image, leur visage d’une politique qu’ils comprennent comme une répression, comme des lignes de policiers à chaque manifestation fortement encadrée par le pouvoir. Nous ne sommes pas dans une alliance, nous ne sommes pas de ce magnifique du nous ensemble et pendant qu’Emmanuel Macron réalisait sa vidéo conçu par d’autres, il était des manifestations appelant une paix, un désir de réconciliation , une volonté de réaliser non pas en tant qu’acteur du politique, mais en tant qu’homme libre ! Et, il est encore samedi dernier des violences policières et il sera ce musicien le visage en sang. La paix, c’est lui ! Cet anonyme , tambour battant, le visage en sang !

Le message publicitaire d’Emmanuel Macron d’un ton aspirant, comme si tout devait venir à lui, alors qu’il est des personnes grièvement blessées lors des manifestations, des arrestations, et cette confrontation avec un pouvoir qui est celui du passé, ne correspondant plus à la possibilité de s’exprimer que le peuple a trouvé par les moyens internet qui sont très récents, en réalité. Nous sommes sur une société de diplômes, de titres, d’autorisations, de cartes de presse en obligation, mais tout cela n’a aucun sens.
Celui qui transmet une image, un témoignage, donne une information et si celle-ci est empreinte de vérité, de sincérité, en quoi n’est-elle pas légitime ? Reporter citoyen est un terme juste, qui est reconnu par la force de la liberté. Peu importe qu’il soit ou pas une carte de presse qui ne signifie pas être quelqu’un de sincère, de cœur, et un artisan de paix. Être journaliste peut signifier être assis dans un salon politique pour transmettre une propagande.
Ce qui est sens est d’être en une volonté de paix, de transmettre la liberté et c’est en cela que la loi Surveillance globale est nuisible. Elle limite la liberté, contraint la paix puisqu’elle l’enferme dans un carcan de lois , lois qui sont issues depuis des décennies, des siècles d’un pouvoir politique de princes, cet absurde et la République prend alors la signification de confiscation et c’est peut-être ce système qui n’est pas bon.
Vouloir bâtir autre chose pour notre futur ne signifie pas obtenir par la violence, cela se construira sans la violence. Ce qui engage la violence, est en premier provoqué par la pauvreté, par l’injustice, par un pouvoir dominant qui n’a pas l’intention de céder à la démocratie, car elle est cette fleur qui pousse, sort de terre et sur laquelle certains politiques appuient de toutes leurs forces pour qu’elle n’éclose pas.
Notre civilisation s’est construite sur le pouvoir d’un chef, d’un roi, de cette empreinte lourde du règne de César, en symbole de toute puissance sur le monde et nous devons passer par ce César pour demander une permission de liberté, une volonté de diplomatie forte pour lutter contre les conflits , au lieu de proclamer l’industrie de l’armement et son énergie nucléaire dévastatrice comme fleuron de notre technologie, comme richesse d’un pays, et chaque force politique, État se défiant pour posséder la plus grande armée, établissant des rapports de force, appliquant des tensions et sanctions contre des tats dans ce langage guerrier qui est celui de la paix menacée, de la non confiance, de la peur permanente que tout éclate. Cette politique de la dissuasion par la force militaire, qui entre dans cet état de folie suicidaire dans lequel l’homme investit beaucoup de moyens, d’énergie et marquant notre histoire de conflits complexes, gravant les blessures que ceux-ci causent en nos mémoires.

Le Yémen, le Soudan, la Syrie et l’Europe elle-même ont besoin d’une paix ardente et celle est qui doit dominer. Mais elle peut être également par le prix terrifiant de la guerre. Passer par un conflit majeur car une diplomatie forte n’aura pas été, parce que des hommes ,comme les terroristes, comme également des dictatures provoquent un risque de basculement car ils maintiennent leur pouvoir par la même économie qui enrichit les pays riches. Le mondialisme provoque l’entraînement des conflits, les trahisons les plus dangereuses, les complicités et vengeances , cette cascade de violences. L’intérêt économique est ce sens de violences et de mensonges qui ne peut avoir qu’un futur, le reflet de ses actes par ce mouvement qu’il entraîne. Un mouvement destructeur ne peut que détruire et ne peut rejoindre le mouvement de la paix. Ils sont fondamentalement séparés et un seul mouvement peut dominer.
Nous sommes à l’Antiquité de notre civilisation. Nous avons changé le décorum, mais nous ne sommes que ces héritiers qui perpétuent cette division de notre humanité, qui en premier est par son origine sens d’unité et non de divisions, de rapports de force, de possession de l’énergie en puissance suprême.
Nous nous battons pour ce pouvoir de l’énergie et les générations futures pourraient considérer que nous vénérons le nucléaire tel un dieu. Le nouveau dieu soleil, c’est la force nucléaire.
Une civilisation périt toujours par les dieux qu’elle crée. Nos sociétés sont assises sur une bombe nucléaire, qu’elle soit d’armement ou de centrales s’imposant et dépensant une énergie très importante, nous sommes toujours à la guerre du feu. On ne se défait pas de notre mémoire. Et, nous sommes la génération accumulant une longue mémoire à l’échelle du temps que l’on peut concevoir.
Puis, le risque de ce monde « perdu » dont nous pouvons entendre parler, peut provenir du fait que nous possédons un progrès technologique, un savoir que nous multiplions en cercle fermé qui est le langage numérique , mais qui se reproduit sans cesse provoquant alors une valeur exponentielle de l’énergie, des savoirs dans la rapidité de leur acquisition. La surveillance numérique que les politiques idolâtrent est issue de cet enfermement , elle est ce reflet. Les politiques pensent acquérir une sécurité maximale , un contrôle de tout, annihilant la liberté et faisant de notre humanité cette réduction numérique, l’enfermant dans un langage, ce qui n’est pas l’intelligence humaine.
Les puissances que nous créons par l’artifice du langage numérique briment ce qui est humain, et nous revenons à l’expression de la paix qui s’exprime par le plus fragile.

L’enfant qui sourit au monde, celui qui verse des larmes car les hommes s’affrontent en guerre, car des hommes mal intentionnés brisent la vie par leur violence; ces enfants sont l’expression réelle de notre intelligence humaine, qui exprime la paix et la liberté qui la constitue. La surveillance de l’homme par l’homme par un moyen IA est une folie suicidaire, une capture de la paix et alors l’effondrement de la liberté. La peur que beaucoup ressentent est peut-être cela, le pressentiment de ce danger de notre humanité a refusé d’être cet être humain faillible, mais beau du verbe, Aimer .
Notre monde sous surveillance est issu de l’esprit de guerre, de la cruauté, celle que nous devons combattre et nous sommes au début d’un bouleversement que le mondialisme a provoqué, et en même temps il a révélé que la seule chose possible est l’universalité des droits humains, de la paix, pour n’accomplir que la liberté par l’expression d’elle-même.
Il sera difficile d’apaiser l’humain, difficile d’apaiser cet orphelin dans l’Univers, qui cherchera toujours en sachant qu’il ne découvrira pas la réponse à sa question. La vie n’est pas un pourquoi et n’a pas de réponse absolue. Elle est la vie et l’émerveillement, notre capacité à nous émerveiller de plus simple est notre vérité, notre existence. Ces larmes de bonheur, ces larmes d’amour qui coulent de nos yeux, c’est notre regard au monde, notre écoute, notre conscience qu’il vit en nous et que nous sommes cette unité.
Écoute la paix, elle est voix de liberté.
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©Fédora Hélène

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