
L’année 2020 a été révélatrice d’énormément de choses et nous avons tous été chargés émotionnellement par ce qui est essentiel, la vie. Cette vie au sommet qui reprend toute sa juste place, menacée par une économie aveugle ne voyant pas ce qui est cher à notre humanité, ce qui est sens de vérité par le simple du cœur, de ce qui lui donne vie, celui qui bat et qui nous permet d’être là.
Ce, être là, qui pourrait nous paraître pas si important, où sans sens, nous perdant dans l’immensité de ce monde, des choix que nous devons faire, des rêves que nous souhaitons réaliser et prenant conscience qu’un rêve peut prendre le temps de toute une vie pour être, et resplendir non car il est sommet de la gloire, médiatisé, mais parce qu’il est notre liberté, notre liberté réalisée, vivante.
Ce mot vie qui renaît chaque jour telle une naissance qui ne faiblit pas, qui dépasse toutes les épreuves, s’affirme toujours plus forte, qui bâtit à chacune de nos respirations notre mémoire et, est là, fidèle, telle la lumière du jour, mais aussi celle transperçant les nuits par sa bienveillance, rassurant et donnant le droit au bonheur à tous.
La vie, son nom est une lumière captivante nous éblouissant par ce qu’elle accomplit, par la courage qu’elle nous donne d’avancer et de sourire en teintant nos yeux de bleu, de ce ciel aux promesses qui se concrétisent que par notre volonté, notre obstination pour que notre humanité puisse chérir le verbe aimer.
Cela s’effectue au front, au front de la pauvreté pour des millions de femmes anonymes qui à travers le monde portent leur famille, portent de l’attention à ceux fragiles, soignent, accompagnent, encouragent . Elles sont ce cœur qui bat et sans lequel rien ne serait possible.
Cela s’effectue au front, au front de la misère pour des milliers de femmes et d’hommes qui s’engagent dans des associations, collectifs, ONG humanitaires, ceux capables de faire chaque jour ces petites choses qui créent l’immensité de la solidarité, tout son merveilleux. Accueillir, laisser la porte ouverte, se soutenir mutuellement, être ravi de voir chaque matin ce soleil, avoir le droit d’être heureux, de sourire , d’espérer, d’avancer avec cette énergie incroyable qui est car notre cœur bat de ce sang qui nous unit, nous rassemble autour d’un but, hisser notre humanité vers une paix , un monde serein pouvant perdurer libre, car nous veillons tous, grâce à ces millions de flammes à travers le monde à ce que la solidarité, la fraternité soient sans relâche pour la conquête de la liberté.

Une chaîne d’espoir, c’est les uns avec les autres, sans qu’un seul d’entre nous soit laissé de côté, et la justice prend alors son véritable sens, elle n’est pas de juger, mais de donner une chance à notre monde de s’épanouir en osmose avec notre humanité, liant celle-ci à la nature, les faisant inséparables, proches et bâtissant non les tours de verre et de béton en futur sable de notre histoire, mais en construisant pierre par pierre d’un continent à l’autre un palais qui n’aura pas mille étages construits avec la sueur des plus pauvres, mais mille rayons nous reliant les uns aux autres pour vivre un partage des richesses de notre monde sans l ‘épuiser et prenant juste ce qui répond à nos besoins.
L’empire sera alors une maison pour tous, cette fin de la pauvreté, cette fin de démunir l’autre pour s’enrichir d’inutile car qu’est-ce–que la valeur de la richesse quand elle n’est pas Terre d’un futur, lumière de celui-ci car ne reflétant que le vide de l’acquis tant il meurt d’être sans ce cœur qui bat.
La chaîne non celle qui restreint, mais celle qui passe d’une main à une autre, l’espoir qui grandit au fur et à mesure que d’autres viennent la prendre entre leurs mains et la tendre à un autre dans cette fin qui n’existe pas puisqu’il est chaque jour, la naissance de toutes choses. Une chaîne d’espoir, quel autre nom possible pour ce merveilleux de sauver la vie d’un enfant ?
Sauver, en valeur de vie, sincère, sauver un enfant souffrant d’une maladie, d’une malformation cardiaque, cette chaîne de l’espoir prend tout son sens dans la création de l’ONG portant ce nom, La Chaîne de l’Espoir, une ONG internationale fondée en 1994 qui répond en cette année 2020, où elle fête ses 25 ans à secourir les plus démunis , être dans le soin porté aux enfants en particulier, pour atteindre l’objectif premier de l’ONU de 2030, celui de notre décennie s’inscrivant dans les 17 objectifs du développement durable, « Pas de pauvreté », mais un bien être offrant à l’enfant la possibilité de se développer sereinement.
Pas de pauvreté, un objectif qui s’inscrit dans une volonté de prendre soin des plus fragiles, de permettre aux enfants de grandir en paix et en sécurité, de bénéficier d’un accès gratuit aux soins , d’être pris en charge dans les meilleures conditions, d’être accueillis pour être opérés, avoir accès aux traitements médicaux leur permettant de guérir, d’avoir le droit à une convalescence pour poursuivre leur développement en toute sérénité. C’est alors donner à tous les enfants le droit à un avenir, d’aller à l’école car la maladie, la pauvreté n’entravent plus ce droit humain fondamental.
La Chaîne de l’Espoir, actuellement présidée par le Docteur Eric Cheysson, s’investit pour donner aux enfants les plus pauvres le droit à la santé. En fonctionnant sur un réseaux d’entraide constitué de soignants d’excellence, de bénévoles, de familles d’accueil, d’infrastructures où il est un investissement pour apporter toujours le meilleur soin possible aux enfants, une attention bienveillante à leurs familles et à leurs communautés car c’est ensemble que tout peut se faire.

La Chaîne de l’Espoir, c’est soigner l’enfant et la mère en France et à l’étranger, qui ne peuvent faute de moyens financiers, de moyens techniques et de connaissances spécialisées dans leur pays d’origine avoir accès aux soins qui leur sont nécessaires.
La Chaîne de l’Espoir assure également la formation d’un personnel médical local dans des domaines spécialisés pour répondre aux besoins des patients . L’ONG s’engage dans tous les domaines qui forment le corps de la solidarité qui porte un avenir serein pour tous.
L’ONG aide au développement des politiques de santé dans les pays le nécessitant. À cet exemple, le Pavillon des enfants de Dakar au Sénégal ouvre ses portes en 2017 avec le soutien de la Fondation Engie , et accueille chaque année près de 500 enfants venant de l’ensemble de la région de l’Afrique de l’Ouest et dont les familles sont démunies.
Une politique de santé se déployant de manière pluridisciplinaire, puisque cet accueil accompagne les enfants opérés au Centre Cardio Pédiatrique Cuomo de Dakar.
Une première opération à cœur ouvert s’y déroule le lundi 16 janvier 2017, marquant une solidarité internationale qui permet aux enfants, qui les 15 années précédentes étaient transportés vers la France pour y subir une opération à cœur ouvert, peuvent être à présent pris en charge, sur place, auprès de leur famille, en résultat des années d’engagements solidaires formant et développant des équipes médicales locales, ainsi que des personnels pluridisciplinaires.

La Chaîne de l’Espoir agit dans de nombreux domaines humanitaires, comme intervenant lors de conflits et également contre la malnutrition, la faim. Et en 2021, ce sont des millions de personnes qui pourraient souffrir de famine, alerte l’ONU et en première ligne, seront des femmes et des enfants, ceux également réfugiés et ce sont en 2020, 80 millions de personnes réfugiées ou déplacées à travers le monde.
La Chaîne de l’Espoir, la solidarité est primordiale si nous ne voulons pas mettre notre monde en péril . Nous devons lutter pour concrétiser , faire avancer les objectifs du développement durable qui associe l’humain à la nature, car il n’est que cet équilibre qui pourra porter les fruits de notre avenir.
La Chaîne de l’Espoir annonce agir dans 27 pays, ayant 6 structures hospitalières à l’exemple de celle en Jordanie où il est la chirurgie cardiaque et orthopédique et c’est la générosité, la bonté qui animent chacune de ces structures.

La Chaîne de l’Espoir relate l’histoire de Zahra, une fillette de 7 mois dont la famille syrienne est réfugiée en Jordanie depuis 2013 pour fuir la guerre en Syrie. L’ONG explique que « Dès les premiers jours de Zahra, ses parents ont très vite constaté que quelque chose n’allait pas » . La petite fille ne prenait pas de poids, pleurait souvent et c’est au sein de l’hôpital Al Maqasid Charity à Amman, au mois d’avril 2019, que le Dr Aziz Abu Azizeh, chargé de la détection précoce pour l’association en Jordanie, qui dans le cadre de la campagne, a pu détecter que Zahra souffrait d’une malformation cardiaque congénitale.
Zahra a été prise en charge et a été opérée en septembre 2019, grâce à la mission de chirurgie cardiaque, organisée par La Chaîne de l’Espoir et financée par l’Union Européenne – Protection civile et Opérations d’Aide Humanitaire.
Une aide humanitaire qui assure également un soutien psychosocial dont les parents de Zahra ont pu bénéficier lors du séjour de l’enfant à l’hôpital.
Le droit à la résilience se construit en donnant tout le soutien nécessaire aux personnes afin qu’elles puissent vivre un bien-être qui est un droit fondamental s’inscrivant dans les objectifs de l’ONU pour 2030.
Le droit au bien-être est essentiel et fait partie intégrante de la liberté, du droit de vivre libre, de pouvoir réaliser pleinement ses rêves, ses projets, le droit de poursuivre notre vie sans le poids des souffrances qui contraint chaque jour pour survivre de dépasser une liberté entravée.
Grâce à ce programme vertueux, la maman de Zahra très choquée d’apprendre la maladie de sa fille, inquiète concernant son hospitalisation, a pu apprendre à maîtriser son anxiété. La maman de Zahra a été accompagnée et non laissée seule et pouvant être victime de pressions, de peur, d’un sentiment d’abandon. Pour cette famille, trois séances de thérapies individuelles ont été nécessaires, explique l’ONG.
Ne pas imposer de traumatismes supplémentaires, agir avec humanité, bonté, amour est tout simplement humain, une richesse incomparable et c’est celle que possède La Chaîne de l’Espoir oeuvrant toujours avec excellence. C’est ainsi que 235 000 enfants ont pu être soignés par l’ONG internationale qui répond à l’objectif 3 « Bonne santé et bien-être » , engagement du développement durable de l’ONU.
Pandémie de Covid et La Chaîne de l’Espoir se mobilise

La pandémie de Covid révèle les drames de notre société tels que la pauvreté, les violences faites aux femmes et aux enfants, au front affrontant la misère, le drame des violences conjugales et celles-ci ont marqué la France durant la période des fêtes de Noël où il fut des féminicides et la mort de trois gendarmes venus secourir une femme, victime de violences conjugales ; puis il est la souffrance que vive des millions de réfugiés à travers le monde se retrouvant bloqués du fait des mesures sanitaires, et subissant souvent des conditions de vie inhumaines qui se sont durcies lors de cette pandémie. L ‘accueil est parfois absent et des pays ne répondent pas au respect des droits humains fondamentaux et universels, mais il est ce qui sauve, la solidarité internationale, les organismes onusiens, les ONG humanitaires et leurs partenaires, les membres de leur personnel, professionnels et bénévoles qui ont été l’Étoile de 2020.

C’est par elle que la Chaîne de l’Espoir a accueilli à Bordeaux le 16 novembre 2020, trois jeunes enfants Béninois et Togolais dont l’état de santé nécessite une opération de chirurgie cardiaque.
Trois enfants, Doudedji et Laurencia, 1 an, tous deux du Bénin et Arielle, 4 ans venant du Togo, ont pu être opérés par le Dr Roubertie, chirurgien cardiaque au CHU de Bordeaux.

Cela est possible grâce à l’investissement inestimable de personnes engagées, tel que Sylvie Sedogbo, responsable de l’antenne bordelaise qui, indique le site de l’ONG, « Séjournait à Cotonou la capitale béninoise depuis fin octobre et qui a pu suivre les consultations sur place avec le médecin cardiologue référent de La Chaîne de l’Espoir, le Dr Adjagba ».
La Chaîne de l’espoir qui nous informe que Laurencia et Doudedji, tous deux opérés à Bordeaux, « Malgré des opérations fort délicates, ils vont très bien et reprennent des forces dans leurs familles d’accueil avant de retrouver leurs parents au Bénin« .
La Chaîne de l’Espoir soulignant qu’il s’agit « des premiers enfants que la Chaîne de l’Espoir accueille depuis les mesures sanitaires liées à la pandémie de la Covid-19 prises en mars dernier ».
L’ONG explique que les mesures sanitaires prises ont fortement impacté les activités de La Chaîne de l’Espoir , ayant pour conséquences le fait que « de nombreux jeunes patients attendent dans leur pays d’origine leur transfert dans les hôpitaux français afin d’y être opérés, faisant craindre une aggravation de leurs pathologies ».

Durant la pandémie de Covid , la Chaîne de l’Espoir a porté, une réalité essentielle, « Rien n’est solitaire, tout est solidaire. L’homme est solidaire avec la planète, la planète est solidaire avec le soleil, le soleil est solidaire avec l’étoile » Victor Hugo. Une Étoile qui éclaire les dernières heures de 2020, et qui éclairera les engagements solidaires de 2021, qui appellent déjà la fraternité universelle, le respect des droits humains à venir solidifier la concrétisation des objectifs du développement durable pour que 2030 place cette Étoile de la solidarité comme première à la réussite de l’objectif premier, Pas de pauvreté, Pas de violences et donc Tout pour le bien-être, la santé, la liberté .
©Hélène Carion

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