Quelle perte d’énergie ce gouvernement, sa majorité, et son chef Emmanuel Macron s’évertuent à exercer. Nous traversons une pandémie de Covid qui par les mesures sanitaires prises met à terre de manière accélérée les plus vulnérables.

Il est la nécessité d’être à donner notre précieux temps à la solidarité véritable quand des personnes sont contraintes de sauter des repas faute de moyens financiers, quand s’aggrave un mal-être , un désespoir qui provoque des suicides, et non d’instaurer en valeur de communication le verbe séparer.
La paix est menacée par la violence de notre système qui impose en premier la pauvreté à notre humanité n’épargnant pas un seul continent et qui provoque une pollution sans précédent à travers le monde qui met la paix en danger.
Une paix en équilibriste sur un fil qui peut se briser à tout moment. L’appel doit être pour déployer une démocratie forte, appliquer les mesures efficaces garantissant la sécurité de la population par une volonté de réconciliation, de partage, d’équilibre dont l’absence qui se prononce depuis des années blesse non seulement notre pays , mais également les populations confrontées à une grave crise humanitaire.
Il y a à faire, beaucoup à faire pour bâtir un monde meilleur et nous sommes face à une urgence car il est des millions de vies menacées par la famine et la pollution dans le temps traverser par la pandémie de Covid et par la persistance d’épidémies évitables comme le choléra.
Emmanuel Macron n’a donc rien à faire d’autre que d’occuper le temps à dépenser une énergie qui est essentielle pour affronter l’enjeu de 2021 qui est celui du choix. Un choix urgent à faire quand chaque jour des enfants meurent de faim à travers le monde et qu’il est près de 9 millions de personnes en insécurité alimentaire en France, et quand il est des étudiants, des jeunes qui bâtissent leur avenir dans un pays riche par le poids de la souffrance qu’impose la pauvreté.
Il n’est pas en plus à perdre encore un temps précieux à discuter sans fin sur une loi qui ne doit pas être, qui renforce les discriminations, divisions, une politique sécuritaire qui depuis la guerre du Golfe occupe les discours politiques, met en place une surveillance toujours plus dangereuse de l’homme par l’homme instaurant le numérique, une technologie performante, qui utilisée ainsi risque de fracturer la liberté par la surveillance globale.
S’il s’agit de parler de la lutte contre le terrorisme, nous avons des dispositifs pour ce faire et la loi proposée avec ce mot séparatisme claironné à tue-tête est bien inutile et active un conflit, des préjugés, manipulations politiques et met en avant une droite sectaire.
L’urgence , ce n’est pas cette loi, mais des enfants, des jeunes qui sont en souffrance psychique et physique et le « chèque psy » ne change rien à la donne, car on ne répond pas à la construction d’un avenir pour des millions de jeunes et les générations à venir par des mesures masquant la réalité, et ne répondant pas à la dimension de la résilience. La résilience , un mot qui devrait être certainement réfléchi en étant ensemble dans un esprit de réconciliation pour la rendre possible en plein bouleversement.
Survivre est le quotidien des plus vulnérables, le quotidien d’une société blessée, et des politiques ne sont toujours pas à écouter la liberté dans le bruit permanent des conflits, intérêts, manipulations politiques, volonté du prince dans un système qui sait qu’il perd pied mais s’acharne à continuer.
Darmanin qui d’un coup prend le rôle de ministre de l’intérieur et pense pouvoir diriger sans avoir été élu pour ce faire , mais par décision du prince, un avenir que subiront des millions de citoyennes et citoyens car des lois faites ne se défont pas , si ce n’est à tout révolutionner et à refondre profondément notre système sans tomber dans l’erreur d’un pouvoir contre un autre pouvoir, mais en étant par la volonté d’une démocratie prenant véritablement son envol.
La France devenue une démocratie défaillante, il est temps de se relever et il serait un espoir de croire que Emmanuel Macron n’aura pas le choix et qu’il ne se représentera pas . L’important n’est pas qu’il y est une personnalité politique comme « sauveur » , mais qu’il soit le peuple. Et, il serait temps qu’il voit sa force, qu’il voit cette chance de bâtir une démocratie qui se fondera par l’envie d’être libre, par l’envie de faire partir des bâtisseurs d’un avenir en paix, un avenir prometteur car le présent aura pris le courage du choix, de décider de mettre fin aux fortes inégalités, discriminations, de mettre fin au racisme, à la pauvreté et penser alors ralentir la pollution comme possible. Puis, il est le courage de réaliser un rêve, plus jamais un enfant n’aura faim.
L’enjeu de la décennie demande d’avoir la force de lutter pour la paix, car la division, les violences et les manipulations des uns et des autres , le langage sécuritaire participent à rompre les actes qui devraient être pour que soit l’apaisement.
Les gratuités à concevoir pour les besoins fondamentaux, pour permettre à tous de manger de manière équilibrée, régulière, juste , pour permettre à tous de pouvoir se loger en plein hiver et pandémie, est ce qui devrait préoccuper le gouvernement et l’Assemblée. Comme la santé psychique et physique de tous doit être garantie et non laisser des traumatismes supplémentaires mettre en détresse des êtres humains. Mettre en souffrance une personne est par principe inhumain.
Nous avons une chance extraordinaire de bâtir une civilisation pour que le verbe survivre donne naissance au verbe vivre pour tous, pour les plus fragiles qui sont actuellement ceux qui subissent la pandémie dans ses différentes dimensions mettant en souffrance.
Les choses s ‘équilibre d’elles-mêmes quand on sait se réunir pour donner le meilleur et que l’on prend conscience que chacun d’entre nous est ce rayon d’étoile comme celles formant une énergie extraordinaire avant que la Terre existe. Nous avons une énergie de vie, c’est elle que nous devons chercher et non des lois politiques électoralistes qui ne servent pas la paix.
© Fédora Hélène
Copyright © LiberTerra, Tous droits réservés, Tous droits de reproduction et de diffusion réservés