Augmentation de la consommation d’antidépresseurs, anxiolityques et autres, ainsi que des hospitalisations en psychiatrie. Une pandémie révélatrice d’un mal-être profond issu du non respect des droits humains fondamentaux dans une société dont le moteur est l’argent, la recherche du pouvoir , le culte du mensonge.

Le soleil s’éteint sur la mer calme qui se métamorphose en un lac de sérénité. La vague douce en un murmure fredonne la liberté. Découvrir notre monde au simple détours d’un paysage, du somptueux de la nature et admirer des couchers de soleil tout en douceur dans un monde qui ignore les guerres.
Puis, vient ce temps de rupture par des politiques séparant l’humain du bonheur de vivre , le confinant, imposant des mesures strictes de couvre-feu pensant que la lutte contre un bouleversement planétaire dont la pandémie est un élément se fait en brisant les ailes des rêves, de l’essentiel liberté qui coule dans nos veines, ce souffle qui nous permet de respirer, de vivre. Il est alors les couchers de soleil de ce printemps qui s’annonce qui sont tenus à l’isolement de nos cœurs, du regard de nos âmes.
Emmanuel Macron et son premier ministre Castex en valet ordonne la pire des séparations en interdisant cette liberté de pouvoir se déplacer, pouvoir se rencontrer, vivre, voir l’art respirer, être ce souffle léger qui suit les saisons et qui lorsque les jours rallongent, entend le nouveau chant des oiseaux libres regardant du haut du ciel ce triste des hommes enfermés dans un mental destructeur, refusant de voir toute poésie et battant la paix pour acquérir un pouvoir.
Posséder l’amour de notre Terre est la seule chose qui domine , qui bâtit l’homme à ce verbe d’aimer, de cette connaissance qui dès l’origine emplie sa force de survivre, de traverser les tumultes, les folies des hommes en loup qui parcourent tous les chemins sans s’arrêter, ruinant la Terre et les villages de notre humanité, refuges où naissent les enfants. Nous avons besoin de nourrir notre mémoire des richesses que nous offre notre Terre mère , de contempler sa beauté , d’amener nos enfants au bord des océans splendides d’ivresse de paix qui s’étirent librement loin du bruit des ordres politiques dévastateurs pour les plus vulnérables. Courir libre sans compter l’absurde de l’heure décidée par ces fous du mondialisme, du marchand, des lobbies, innovations en coupant la sève de l’arbre comme à l’hiver éternel, sans jamais laisser les fleurs fleurir.
Technocrates en chaînes enchaînés et menant la peur, la peine en victoire sur l’autel des profits. Leurs manipulations , le bien-être en larmes coulent sur les visages des plus fragiles, d’une jeunesse, d’enfants interdits dans les carcans des pouvoirs politiques, de préfets et polices se précipitant sans relâche à l’ordre pour tâche et valeur d’une république qui a trahi ses promesses et laisse la pauvreté jaillir de nos sols épuisés par les milliardaires d’argent sans l’or des cœurs à l’écoute du printemps, une envie de renaissance, de vie, de douceur et de sourire.
La détresse étend ce long linge sur les corps fatigués, désespérés et des jeunes magnifiques d’avenir qui ne pensent plus avoir la force et qui tombent au bras de cette solitude du béton et du verre de nos villes en reflet constant de nous-même , du ciel, emprisonnant notre mémoire dans un langage numérique qui sera telle la boîte impénétrable enterrée au fond des océans , l’oubli de nous , de notre temps . Les mots ne s’effacent pas de la pierre, des murs, des tablettes de terre, des parchemins et ils s’effaceront comme le sable inscrit dans une virtualité de notre humanité.
Tout semble s’effacer et l’inhumanité gagne sa place aux côtés des pouvoirs qui sont toujours ceux des dictatures imposant le choix, ce choix destructeur du capitalisme acharné à produire, à arracher les racines des arbres et en calcul d’une bourgeoise de droite toujours puissante, niant les plus fragiles, ne les voyant pas, aveugles au milieu de leurs trésors inventés, leur fortune en valeurs boursières, de consommation en un tourbillon filant et avalant tout sur son passage. Les politiques décidant de confinements oublient que ce tourment tue et tuera dans ce système de pandémie similaire au mondialisme, par les guerres, conflits, crise humanitaire et l’extrême pauvreté qui se lève en spectacle de l’argent au sommet du pouvoir qui s’élève toujours plus haut.
Les enfants en souffrance enfermés dans des hopitaux psychiatriques, et il est cette jeune femme ayant eu la force incroyable de dépasser la souffrance que ces infrastrutures lui ont imposé à un moment fragile de sa vie où les psychiatres sans poser un diagnostic lui faisaient prendre des médicaments noyant son regard dans le vide, et décidant auprès d’une justice lamentable où les malades voient souvent un avocat qu’ils ne connaissent pas juste cinq minutes avant qu’ils soit décidé arbitrairement de leur enfermement sans écouter la vérité s’exprimant pourtant, et imposant le choix pire que tout dans cette société qui perd l’humain, qui perd son humanité et la remplace par une folie qui emporte tout, des lois et normes en remplacement d’elle, et la démocratie ne voit pas le jour.
Je me souviens du regard magnifique de cette jeune de 20 ans pleurant de ses larmes puissantes pour sortir de cet hôpital psychiatrique parlant de bienveillance et mettant en souffrance un être humain. La force de vivre splendide de cette jeune fille qui aujourd’hui réussit brillamment et tait la douleur qu’ils ont placé en sa mémoire . Nous ne montrons plus les rêves possibles aux enfants , mais on ouvre les portes des psychiatres qui se referment sur eux et l’on pense ainsi soigner, secourir, en continuant ce système qui ravage, dévaste tout bien-être.
Il serait aussi à cette justice de ne plus laisser faire les hommes violents et cruels blessant un enfant, une femme au lieu de faire perdurer un système d’impunité conçu et voulu, et ne plus être à ignorer la souffrance des victimes pouvant aboutir à une hospitalisation en psychiatrie alors que la vie est là belle et magnifique et tend ses bras à toute une jeunesse qui a tant envie de vivre.
Vivre , ce mot qui ne s’entend plus, se noie dans les tréfonds des pouvoirs et tous les murs se dressent en effets d’annonces et manipulations d’un gouvernement qui ne sera jamais à respecter la liberté, le ciel bleu et les rayons du soleil nécessaires à un être humain. Il a besoin de les ressentir en lui pour s’épanouir, être serein et confiant.
Le Chef de l’ONU peut rappeler que les mesures sanitaires ne doivent pas être prises pour entraver les libertés fondamentales comme cela est dans des pays sans qu’il les cite, sans pouvoir de toutes les manières libérer les peuples des pouvoirs politiques.
Les soleils couchants au ciel paisible qui au-dessus des hommes ignore ses tourments et nous montre en lueur de ses teintes libres celles qui doivent éclairer notre choix. C’est ce choix que nous devons prendre , celui à la douce lumière d’un matin , celui à travers lequel on marche sans crainte, sans entrave, respirant l’air libre, ressentant la rosée en eau si fraîche qui nous éloigne du sombre des industries, des cités de puissance, ou payer pour vivre est le moteur, où la vie à moins de valeur qu’une marchandise et où l’ économie décide de notre humanité.
Tu seras riche, tu seras pauvre dans une loterie où les inégalités fortes brisent la solidarité, la fraternité et les populations obéissant à cet ordre par l’endoctrinement, vivant dans l’urgence, la contraindre de casser sa vie pour correspondre à ce que le système attend faisant des êtres des outils de la machine économique, pendant que les donneurs d’ordre ne vivent pas ce qu’ils font subir aux autres. Jusqu’où ira le sordide ? Une révolution pacifique qui n’aura pas lieu comme un monde meilleur ne se bâtit pas et les confinements règlent la pendule, perdent ce temps de donner une chance à la paix , à la résilience.
Un bouleversement qui fragilise la paix par les conséquences de la pollution, d’une biodiversité en danger, et nous avons besoin de dessiner sur les murs le mot vivre ! Vivre en paix et sérénité car le précieux de la vie ne se vend pas aux mains de ceux s’inventant un pouvoir, être puissant sans la dignité, le courage de prendre conscience que pour qu’ils le soient , il faut que des milliers d’êtres humains soient plongés dans la pauvreté.
Un soleil couchant, des enfants apprenant la beauté de leur Terre, libres de courir , de rire, d’être heureux . Chaque jour compte quand des enfants sont en souffrance, chaque jour compte quand en cette année, il pourrait être 6 000 enfants mourant de faim par jour . Une phrase qui laissera indifférent les pouvoirs et une partie de la population qui ne voit que son argent à gagner pour penser exister.
Macron, ce n’est pas son nom qu’il laissera dans l’histoire , mais la souffrance qu’il aura apportée à des êtres humains comme tous ceux prenant un pouvoir le font chaque jour en oubliant que cela est la violence et qu’elle blesse la paix essentielle à notre survie.
© Fédora Hélène