
Le révélateur d’un choc
La pandémie est un élément révélateur au coeur du bouleversement actuel et démontre sa valeur exponentielle par notre entêtement à ne jamais reconnaître la paix. Nous faisons toujours de l’or , une richesse, alors qu’il n’est que la pierre vivante de notre Terre : ce soleil , témoin de lumière, juste cet art, ce beau donné à notre imagination, l’amour. Il nous donne cette infinie possibilité de créer, de faire de notre monde , ce sens , cette valeur de vie.
Nous vivons un effondrement civilisationnel qui s’accélère par le mouvement d’une économie destructrice qui impacte l’ensemble de notre humanité et pour la première fois de notre histoire, notre Terre.
La pandémie de Covid révèle les traumatismes graves que vivent notre environnement, la nature et les plus vulnérables à travers le monde , y compris en France. Un mal être profond apparaît , jaillit du flot des larmes silencieuses de millions de femmes, d’enfants qui à travers le monde subissent la violence terrifiante que des hommes sont capables de commettre.
Nous ne pouvons espérer bâtir une société de paix, un monde par l’équilibre, la force de la paix, en acceptant qu’un homme violent martyrise une femme, des enfants en toute impunité par un esprit de dominant infériorisant la moitié de notre humanité. Cet absurde tue, autant que les mesures sanitaires arbitraires, convre-feux et confinements pour soulagner une économie suicidaire ne peuvent sauver d’un choc civilisationnel révélé par la pandémie de Covid.
Nous devons plus que tout révéler la paix en opposition à ce qui détruit . Cette paix exige une unité , ce que la politique ne réalise pas. Emmanuel Macron ne trouve pas la solution car il ne souhaite pas la posséder. Celle-ci est la solidarité et demande en premier de concevoir les droits humains comme la priorité absolue, alors il serait abandonner non la paix, mais ce qui la détruit.
Prendre conscience de la liberté, et permettre à la vie de s’épanouir, c’est ne plus concevoir ces sociétés se basant sur la notion de sacrifice pour servir un pouvoir.
Le sacrifice , des malades sauvés et d’autres n’ayant pas accès aux soins et les femmes dont la santé est la dernière roue du carosse de nos société de profits . Les conséquences de dévaloriser la santé, est qu’il ne peut être conçu la résilience pour notre Terre et donc notre humanité.
Nous ne pouvons concevoir ce qui détruit la vie et penser la sauver. Près de 100 000 morts du Covid-19 en France, plus de 2 millions de morts dans le monde et pourtant tous poursuivent une économie destructrice qui a depuis longtemps briser un véritable lien social. Les conséquences de ces politiques fermées sont l’aggravation des violences qui sont la pauvreté et les violences faites aux femmes. Les féminicides sont en grave augmentation, alerte l’ONU . Puis, il est ce crime, plus de 641 millions de femmes sont victimes de viols commis par leur mari, compagnon. Ce crime régnant dans l’indifférence générale marque notre humanité du sceau de la cruauté.
L’injustice prend place et les gouvermnements sont majoritairement dans l’incapacité de mettre aux fins aux violences, à la pauvreté et consacre leur dominance budgetaire pour renforcer la guerre, le fleuron de l’industrie , l’armement.
Des gouvernements inventant la folie suicidaire de la dette enterrant l’avenir et laissant la violence s’aggraver par principe puisqu’ ils génèrent un mouvement de violences . Des populations riches favorisent une accélération du déséquilibre par une volonté de surconsommation faisant de la vie un artifice , et ne prennant jamais le temps de réfléchir pour nourrir une solidarité universelle qui a besoin de tous pour vivre.
Le gouvernement Macron est pris par cette course folle aux profits et tout devient l’impossible alors qu’il est la chance de ce qui est possible car il nous fait vivre, notre coeur. Écoute ton coeur, écoute la liberté , ce rêve de paix qui bat en toi, et réalise ce voeu précieux , la vie.
Mettre fin aux violences à l’égard des femmes – Il suffit d’une lumière, la paix
Comment les femmes font-elles pour survivre à tant de violences subies ?
Ces hommes aux poignards de violences qu’ils plantent au cœur de la paix sans jamais y aimer sa lumière de bonté, celle qui attend avec patience depuis tous ces siècles que celui qui détruit , aime.
Il est ce temps de la pandémie où les femmes vivent ce front de la misère, de violences, ces fleurs tombant au printemps comme si la paix n’avait aucune chance d’orner nos vies.
Ce champ de bataille, ces ruines et fumées et les corps s’effondrant, pourtant l’homme n’aura de cesse que de tuer et celui semeur de paix fermera les yeux un instant pour vivre sa flamme, cette étincelle dans la nuit sombre de notre humanité. Tout est tellement le chaos , ce chaos dressant les murailles et nous pensons nous protéger des foudres des hommes de violences qui n’arrêtent jamais de chevaucher dans le trouble des déserts, cette brume, cet opaque , transpercé par le soleil, sa lumière qui est au plus profond des déserts, pourrions -nous espérer ?
Cette espérance naissante , celle qui vient du haut des citadelles , fidèle, aux rayons de nos cœurs qui illuminent cette paix , celle aux mille couleurs , cet arc-en-ciel, cette lumière venue de l’espace, et notre univers, notre monde séparé de lui et unit dans cette dualité qui nous affronte. Un et deux, les femmes et les hommes, ce possible UN, cette unité parfaite qui tient l’éveil de la Terre à la vie.
Poser une lumière sur le bord de la fenêtre, dans les rues, sur les marches à franchir pour que notre humanité gagne sa paix. Cet aigle volant dans les profondeurs de nos espaces et venant à nous par son envol. Toute la nature nous montre le chemin, de cette cascade douce où l’eau en abondance laissant nos mains se joindre pour recueillir ce qui nous nourrit. Cette eau pure, séparée du sang, boire et être sauvé. Cette eau essentielle qui n’est possible que la naissance de la lumière. Elle éblouit notre cœur, elle est ce qui lui permet de vivre, d’être cet enfant qui vient au monde, sa force de vivre, de respirer, ce premier jour et la lumière inonde sa vie comme elle l’éclairait à travers le corps de sa mère.
Nous sommes la vie et sa lumière, chacun de nous. Il est si difficile de savoir que des hommes violents donnent leur existence pour la briser, l’abandonner alors qu’elle saisit leur propre vie, la porte et leur donne cette possibilité de la naissance qui fut aussi la leur. Cette eau et ce sang unit pour que l’enfant vive et qui toujours unis donne le premier sens à sa vie. Une femme et la vie est née. Comment un homme peut-il tuer celle qui reçoit la vie, la porte et lui donne naissance ?
Cette force et les femmes survivent aux plus terrifiantes violences, offrant leur paix à chaque pas, leur amour à toute vie, et suppliant dans l’intimité de leur âme qu’aucun ne soit perdu, que tout se révèle à la lumière de ce jour accueillant l’envol de l’aigle. L’aigle volant au-dessus des sommets, la puissance de la paix.
L’or vivant de la Terre est cette pierre de soleil et les hommes ont en fait une richesse, tuant pour elle. Notre monde est toujours cette folie et autant l’homme détruit par sa violence , autant il vend le bien de la terre qui est universel. Cet or parant la flamme, il brille simplement pour chacun de nous à la cire coulant de nos espérances.
Les femmes victimes de violences , de pauvreté extrême au milieu des richesses, sont par leur courage, la présence de leur vie, cette lumière de paix éternelle, ce feu au bout des nuits sombres, par leur amour. Offrir cette lumière, une simple bougie veillant sur la paix, rappelant à ceux qui l’ont oublié que nous sommes qu’un peuple, notre humanité.
Des hommes violents traumatisent des êtres humains prennant en otage la vie de femmes et d’enfants , puis les abandonnant – leur impunité ne peut être , tant la justice est indispensable pour que le respect des droits des femmes qui sont des droits humains, soient respectés.
En France, quand un homme violent traumatise ses propres enfants et les abandonnent, il n’est que rarement face à ces actes criminels, face à sa cruauté. Les politiques ne peuvent alors dire que la paix, les droits humains sont la priorité quand la justice est blessée et que l’injustice domine. Les prix de l’alimentaire sont en inquiétante augmentation et la justice accepte que des hommes violents ayant commis des violences conjugales multidimentionnelles , abandonnent en plus leurs enfants . Ces hommes violents sont la lie de la société et il aurait été aux politiques devant honorer leur engagement pour réaliser les enjeux du développement durable de valoriser l’objectif premier, « Pas de pauvreté » et celui de mettre fin à toutes les violences à l’égard des femmes .
Emmanuel Macron oublie les mères isolées précaires qui subissent en première ligne les conséquences des mesures sanitaires , ainsi qu’ une justice qui les abandonne. Elles sont celles dont les plaintes ne sont pas entendues , celles qui affrontent en ne comptant que sur elles-mêmes dépassant chaque jour la souffrance de ne pas être un être humain libre, reconnu, respecté, mais subissant en plus les discriminations et une justice défaillante.
La lutte pour mettre fin aux violences à l’égard des femmes est celle universelle à travers le monde, elle est celle de nos frères, de nos pères, de nos fils, de nos sœurs , mères et filles. Elle est l’amie, il nous faut qu’une lumière à toutes les fenêtres , dans toutes les rues de tous les pays pour qu’elle rassemble la lutte pour la paix.
Mettre fin à la pandémie de violences, de souffrances et n’être qu’un souffle, une bougie allumée, témoin de notre unité, de notre nombre à chérir la liberté , à aimer les différences , à aimer la vie et ces soleils brillant dans chaque cœur.
Éveiller et faire taire les ombres, les peurs. Supplier par la voix de nos âmes la fin des hommes cruels tuant la vie, les femmes. Notre humanité, à l’or témoin du vivant de notre Terre qui nous donne en premier sa lumière pour que nous soyons vivants. Rendons à la source sa liberté : debout en un combat, anéantir toutes les violences faites aux femmes. Unis en notre universalité, en résonance il sera la vie de notre Terre.
©Fédora Hélène