L’absence de justice menace la paix ! Ce sont des victimes de violences à travers le monde !

Justice, ton nom se perd depuis des millénaires, et part notre monde sans retenir ta voix qui pleure, appelle sans fin, et l’on tient dans nos mains tes lignes, la vie.

À travers le monde, l’atroce se relève, Justice, où es-tu, où est ta force, notre humanité ? L’enfant ne voit ta paix quand la faim prend sa vie, quand le chagrin submerge son courage, si puissant, si beau, si fort, quand sa mère a faim de justice pour sauver son enfant.

Les droits humains toujours en détresse, la justice serait véritable si des avocats ne faisaient pas fortune avec son nom. Elle qui a perdu son idéal en courtisant les pouvoirs, les sphères politiques, d’intérêts et de carrière. La justice ne défend pas les pauvres, ceux sans voix. Elle attend dans ces palais le nouveau jour qui n’y viendra pas.

Les droits humains toujours en détresse, la justice ne peut être que dans un seul pays, elle est celle universelle, propre à notre humanité et les combats ne peuvent être que pour toute notre humanité, il ne faut pas la rêver pour soi, mais pour tous. Elle est là possible.

La lutte pour les droits des femmes est celle internationale et les pays adoptant le respect de l’humain doivent accompagner les populations vulnérables pour que l’universalité de la justice soit ce qui domine et non ce qui la détruit, les mensonges affaiblissant la justice.

L’injustice n’alimente qu’un pouvoir corrompu, que les paroles servant que les promesses et non les actes, que les intérêts et influences de pouvoir, de profits qui assombrissent notre monde et notre avenir.

En France, la justice ne sauve pas les pauvres, elle permet à des avocats de faire fortune, à des magistrats, des procureurs de faire carrière, elle s’ordonne autour de la perversité des lois conçues par la manipulation que comprend si bien une société d’apparence, de préjugés, de mensonges qui ne peuvent que plaire à un monde prédateur, chassant, attaquant en dominant et laissant ceux pris au piège, mis en état de vulnérabilité à faire le deuil de toute justice.

Mais qui est-elle la justice quand la vie s’est effondrée et qu’elle renaît par ses propres forces, par l’immensité de la liberté comme l’herbe pousse persévérante sur les chemins au milieu de l’aride.

Les faux prophètes chassant les droits des femmes et des LGBTQIA+ –

Les engagements pris par les organismes onusiens pour réaliser le développement durable , rendre concret le respect des droits humains et élisant la décennie comme celle de la naissance d’une réalité, les droits humains vivants et non en un espoir lointain !

L’égalité est un droit humain

On a oublié notre humanité qui est l’accord parfait de la nature, qui nous prouve chaque jour les possibilités, la vie naissante dépassant les murs, la pollution, les profits, l’homme prédateur envahissant le monde par sa violence. Les puissants laissant à terre les pauvres dans le silence des souffrances et la justice n’entend pas les appels de leur cœur souffrant, en détresse qui survit à l’horreur. Ce néant des hommes de violences faisant de cette vie passant en un éclair, la haine ! Ils ont perdu leurs enfants, ceux qui les aimaient d’un amour pur, ils ont perdu leur avenir, ont fait sombrer leur vie à leur puissance de détruire, d’utiliser l’homme comme un outil, comme un objet pour satisfaire leur démence, leur mensonge à faire du mal, à détruire.

Que reste-t-il alors de leur absurde que le vide de la cruauté se faisant leur ombre éternelle en un mouvement macabre de l’homme prédateur et des femmes misogynes saluant ces fous !  Les bourgeois conservateurs, ingrats face à la liberté qu’ils s’offrent par leur argent, celle qu’ils interdisent aux autres, du haut de leur citadelle, fidèles à l’ignoble se dressant en soutien à des prédateurs qui violent et demeurent impunis par le pouvoir de leur société d’abandons, de mensonges priant à leurs hypocrisies cachées derrière leur religion leur servant d’excuses pour justifier leur intolérance, la violence de leurs préjugés, eux qui accablent les plus fragiles !

Ils sont contre tout progrès donnant force aux droits des femmes, des LGBTQIA+ et indifférents, blessant, mettant en souffrance ceux qu’ils dénoncent comme sortant de leur morale. Puis, ils s’exhibent dans leurs salons luxueux, regardant la place de la Concorde, eux qui sèment la haine et la discorde, vêtus de leurs apparences et décadences en vieux rois maudits des royaumes défunts des richesses et noblesses sectaires en puritains qui se sont mille fois trahis ! Puis, ils regardent la misère accabler des femmes et des enfants, des migrants, des anciens, des jeunes, tout une vie d’espérance, de vérité, de bonheur qui éclot sur les champs de ruines.

Les droits humains en détresse, nous combattons toujours pour que la justice soit un don de paix émergeant de la douleur, celle que l’on veut éteindre définitivement pour laisser la vie resplendir. Justice que signifies-tu quand la violence, l’incompréhensible cruauté des hommes ont déjà abattu l’innocence, que la vie a tout donné pour construire une renaissance et les victimes se levant au matin triomphant, puisque la vie peut tout, est le véritable sens de justice – pourquoi te vouloir, t’appeler toi qui ne protège pas, toi issue des fortunes, des carcans, des mensonges, des dominants, d’un patriarcat assassinant la justice, pourquoi t’appeler si ce n’est pour te sauver, toi ! Pour lui rendre son véritable nom, son véritable baptême, celui à l’eau de notre humanité, que la justice soit ce don de paix pour toutes et tous.

Une absence de justice pour les pauvres, les plus fragiles, les migrants

Justice mourant sur les flots emportant les migrants, les livrant à la torture, à notre civilisation de guerre et de marchands, celle se trompant de chemin et nous attirant toujours plus loin de celle nous livrant le message de la paix universelle en terre libre et pouvant renaitre seule à tout moment des catastrophe des lobbies, des profits, compétitivité, économies inventées par l’homme et qui n’ont aucune existence réelle ! Un lourd endoctrinement pour penser posséder par un matérialiste implacable s’imposant en unique raison de notre existence.

Ce sont les voix innocentes des migrants violentés et qui font deuil de toute justice tant celle-ci s’est éloignée des plus petits, et n’entend jamais les cœurs en peine, ne voit jamais les regards appelant au secours, se fait sourde quand les cris de souffrance percent nos cités indifférentes.

L’Office des Nations Unies contre la drogue et le crime (ONUDC) a publié une étude expliquant les violences que subissent les femmes, les enfants, les hommes fuyant la famine, les conflits, les conséquences présentes du réchauffement climatique, et tombant dans les mains de passeurs, d’agents dans différentes institutions comme les centres de rétentions et commettant des actes cruels à l’égard de migrants ne cherchant que la liberté et trouvant sur leur route le terrifiant de nos systèmes, de ses mensonges destructeurs.

Une étude intitulée Abusés et abandonnés – établit les violences multidimensionnelles vécues par les migrants transitant par l’Afrique de l’Ouest et du Nord, par la Méditerranée et l’Amérique centrale.

Des personnes fragiles devenant coupables ! Les victimes sont coupables par une justice qui oublie systématiquement que la victime  n’a rien demandé et certainement pas d’avoir sa vie en souffrance, sa vie détruite, sa vie sans terre, sans nom, sans reconnaissance, sans celui qui aurait dû choisir d’être son frère et qui se fait son bourreau.

Des migrants victimes qui comme toutes les victimes ne veulent que vivre en paix et non dans la violence qu’elles connaissent, qui marque leur mémoire, leur corps, que subit toujours l’innocence par les traumatismes se transmettant à une nouvelle génération portant avant même leur premier pas, le poids de la peine de ceux que la violence a profondément touchée.

Des migrants pouvant être confrontés à la cruauté d’homme utilisant l’ignoble d’un système pour commettre des actes barbares sur des personnes sans défense, démunies et traumatisées par la violence qu’elles ont déjà vécue et qu’elles fuyaient en quittant leur pays sans rien d’autres que leur vie pour trésor !

Morgane Nicot, qui a coordonné l’étude de l’ONUDC explique à l’ONU que les recherches effectuées dans l’étude « ont montré que la violence est utilisée par les passeurs et d’autres agresseurs comme une forme de punition, d’intimidation ou de contrainte, souvent sans raison apparente ». Ces agresseurs que l’on retrouve en tyrans domestiques et maltraitant leur conjointe et leurs enfants, en faisant en premier souffrir leur mère sous leurs yeux. Ces agresseurs au nom commun mettant un être humain en souffrance. Ces prédateurs et leur système de punir leur victime, punir la vie, son merveilleux, son bonheur qu’ils ne peuvent vivre, ressentir ! Punir leur victime qui contrairement à eux aime la vie , sa liberté, se battant pour la vie jusqu’à lui donner leur vie ! Être cette résistance toujours présente ainsi que le définit Lucie Aubrac « le mot résister doit toujours se conjuguer au présent« . Pour ceux vulnérables, fragiles qui sont le témoigne de la paix, ce verbe se conjugue chaque jour durant des années de leur vie et parfois durant toute leur vie tant la violence impacte la liberté d’un être humain, comme elle touche la nature qui a besoin de la même manière de la paix pour exister.

La violence est ce chaos qui n’est pas la réalité de la vie, mais l’illusion de notre société, ce mensonge persistant voulant anéantir ce qui lui résiste, la liberté ! Le jour nouveau est donner force à la justice , à son sens d’être cet élément vivant , ce simple se faisant tel que l’air que nous respirons. Elle doit être celle présente, celle s’agenouillant auprès du plus petit pour qu’il puisse confiant s’adresser à elle sans crainte, sans être terrifié, sans ressentir cette peur que les prédteurs imposent à leur victime pour garantir leur impunité. « Cette intimidation » , cité par l’ONUDC, qui met tant la vie des victimes en souffrance. C’est ce deuil de toute justice qu’elles subissent, ce qui s’impose, devoir faire le deuil de leur propre vie, la réduire au néant d’un agresseur. Le néant, c’est un agresseur, pas l’innocence !

Les migrant.es démuni.es de tous droits dans cet étourdissement, ce bouillennement de nos sociétés se heurtant aux larmes de ceux sans défense, de ceux sans voix – devant dresser l’inhumanité face à eux pour pousuivre une économie issue de ce mental prédateur, faisant de tout un commerce, une compétitivité, un profit, quand la vie est ce consentement, cette gratuité , cette universalité, celle coulant dans chacune de nos veines commes celles d’un arbre, de la Terre, de celles traçant les courants de l’océan, celles s’enlaçant dans le corail en lien des uns aux autres, de la nature à nous, cette grande famille: la nature et notre humanité, possédant ces éléments de vie communs. Cette communauté extraordinaire que nous sommes et les agresseurs sont cette hargne s’opposant à la vie toute entière. C’est peut-être ce message que la justice devrait porter et signifier à un agresseur que sa violence attaque l’humain et la nature. Ne plus séparer notre humanité de la vie dans son immensité. Les cratères des bombes laissant la terre désertée de vie. Puis, il est cette herbe naissante poussant au milieux des ruines, cet enfant apprenant à marcher sur les chemins écroulés par la guerre. Nous sommes ce brin d’herbe, cet enfant, on apprend à marcher sur le sol tremblant par la folie que des hommes possèdent , détruisant sans relâche par cette incompréhensible cruauté.

Cette violence qui étouffe la vie, qui se propage et met en danger l’équilibre de notre monde puisqu’elle ne conçoit pas la vie, mais ce qui la détruit.

Des tyrans imposant des violences anéantissant la liberté d’un être humain et ce sont des femmes qui subissent des violences sexuelles qui peuvent entraîner des grossesses forcées, des grossesses sous l’emprise d’un agresseur prenant le droit sur une vie, sur un corps humain en le mettant dans un état de souffrance extrême. Celui-ci devenant le silence, des victimes prenant toutes les forces qui leur restent pour survivre.

Une étude de l’ONUDC qui révèle que « les migrants masculins sont principalement soumis au travail forcé et à la violence physique, tandis que les femmes sont davantage exposées à la violence sexuelle, ce qui entraîne des grossesses non désirées et des avortements. Les traitements inhumains et dégradants sont quant à eux infligés aux personnes des deux sexes« , souligne Morgane Nicot. Au 21ème siècle, notre monde subit cet atroce des violences et nos pays riches ne peuvent effacer la vie de milliers de migrants qui chaque année sont victimes de trafic illicite, se noient en pleine mer , subissent des tortures, des violences multiples et sont contraints au silence, sont ce long et pesant silence qui affronte notre société qui fait preuve d’un progrès technologique, scientifique, d’un savoir inégalé et cette deuxième moitié de son corps qui périt à cause d’une violence inouïe et s’aggravant sans possibilité à la justice d’être présente ! La justice absente ainsi que le souligne l’ONUDC , nous sommes alors cet absurbe, ce non-sens si nous ne savons pas sauver ceux fragiles, ceux souffrants, ceux vivant l’injustice marquant irrémédiablement leur vie. Cette vie qui a le droit de vivre en paix et libre, le droit de réaliser ses rêves, de se reconstruire, d’être heureuse. Cela est possible si nous laissons l’amour être le dominant !

Des migrantes subissant des traitements inhumains, toutes ces femmes à travers le monde subissant l’inhumanité d’agresseur et les autorités politiques, institutions publiques, la justice, se faisant l’autre violence, celle qui abandonne, fait perdurer en toute connaissance de cause un système hautement inhumain mais qui garantit le pouvoir de quelques-uns mentant et inventant une économie comme une obligation pour que nous puissions survivre, alors qu’elle accable notre humanité. Elle impose la violence grave divisant les êtres humains en riches et pauvres, c’est-à-dire en un pouvoir ne cédant rien à la liberté !

Refondre profondément la justice, ce que les décideurs politiques et les acteurs de justice ne feront pas car ils y perdraient leur pouvoir. La cause pour l’élimination des violences conjugales et sexuelles est internationale et cela doit être un mouvement de paix universelle pour le respect des droits humains. Ce que le Forum Génération Égalité ouvrant ses portes à Paris ce 30 juin donne comme message. Mais, nous savons que cette journée dans le quotidien de milliers de victimes ne changera rien et faudra-t-il encore des années de discours, de Forum, de réunions pour qu’il soit une réalité et non plus un espoir. Pouvons-nous avoir cet élan de gratuité, de partager, d’offrir à tous le droit de vivre en paix et en sécurité ?

Les femmes précaires, migrantes sont souvent victimes de violences sans avoir accès à la justice et ainsi de suite pour des milliers de victimes, d’enfants, puisque notre système donne privilège au mental des prédateurs convenant si bien aux manipulations formant l’ordre de nos sociétés.

Des femmes ne comptant que sur elles-mêmes pour protéger leurs enfants, pour tenir le coup et avancer en sachant que la justice ne sera jamais là pour elles et leurs enfants

Ce matin un agresseur s’est levé comme chaque matin fier de sa cruauté, fier de renier la vie des siens et détruire le bonheur et la liberté. Ce matin, un de ces agresseurs ayant menacé de mort sa conjointe avec un couteau, fait révéler lors d’un témoignage fait devant la police depuis plusieurs années et oublié par la justice, pense avoir le droit de détruire, de saccager des vies pour satisfaire son propre plaisir! combien ainsi à travers le monde ? Leur néant à passer leur temps à faire souffrir des êtres humains dans l’indifférence d’une société qui a toujours laissé faire.

Le 26 juin, il était une marche blanche en hommage à Sarah, 27 ans, retrouvée morte dans un appartement. « Un suspect, un homme de 41 ans, est toujours en fuite alors que le parquet a ouvert une information judiciaire pour meurtre sur conjoint », a indiqué France Bleu. « STOP, STOP, STOP » une parole de douleur émanant de la tante de Sarah, un cri que toutes les victimes de violences conjugales, leur famille reprennent et disent depuis des années sans jamais être entendues !

Sarah, victime de féminicide

France – Ce sont 57 féminicides le 28 juin 2021. Une femme a été tuée par son ex-compagnon dimanche 27 juin, une journée après la Marche blanche en hommage à Sarah.

21 mois d’une plainte pour viols et violences

Aujourd’hui un agresseur ayant martyrisé sa conjointe enceinte, l’ayant plusieurs fois menacé de mort avec un couteau, ayant imposé une souffrance incommensurable à une mère, se balade tranquillement et continue sa criminalité, s’affiche sur les réseaux sociaux comme si de rein n’était ! Alors, pour les victimes de ce prédateur, la justice, c’est la vie ! Celle qui leur donne la force de survivre, d’aimer, de sourire, de rêver et de dépasser ce silence des souffrances, tous les mensonges de cette société, de dépasser une justice qui a perdu son idéal et n’est pas véritable, n’est pas ce chemin de paix si précieux, celui qui permet de respirer, d’avoir le cœur qui bat même si les larmes couleront toujours. 

C’est aussi le courage des victimes de témoigner des violences subies et en étant en état de choc sans aucun soutien, aucun accompagnement humain, et repartir en taisant la douleur pour survivre et donner toutes forces pour vivre , ainsi que #PayeTaPlainte enregistre des témoignages de victimes de violences conjugales et sexuelles. Des femmes, qui sont parfois des mère isolées et précaires ayant besoin de toutes leurs forces pour élever leurs enfants, pour leur donner tout le meilleur et les protéger en ne comptant que sur elles-mêmes.

Henri Ford disait, « Les avions décollent toujours face au vent« , c’est ainsi que les victimes de violences conjugales et sexuelles résistent face à un prédateur et face au système d’inversion qui le protège et non les victimes qui diviennent les coupables ! Ce que le système judiciaire et non la justice est capable d’inscrire , quand son nom est pris par un pouvoir inventé et brisant la paix sans jamais avoir le courage de le reconnaître !

© Fédora Hélène

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