Clip – Au coeur de mon coeur – Fédora Hélène – Au loin un homme de violences, Philippe Palat

@liberterradaily


Au coeur de mon coeur
Ma princesse, ma reine 
Mon enfant sacré
Je tiens loin la peine
Ta vie en feu sacré
Des secrets, je tiens la douleur
Au secret au cœur de mon cœur

Ma vie, ma reine
Un écrin, mon amour
Te protéger, ta vie en moi
À l'aube du soir
Je chante sans détour
L'histoire triste brisant
La vie si belle
La laissant mourir fidèle
À ses prières à Marie
Au secours, il tue la vie

Un père de violences
Les rêves mis à mort
Un père de violences
Jette la vie sans remords
S'envole le dernière étoile
Avant, avant que je meure
Slame en douleur
Console la peine
Ô ma reine
Ma vie se confie sans voile



Au chagrin les prières
La bougie fond
Mes larmes tombent
J'essuie l'eau de ma main
La buée sur le jour éteint
Jolie Musique en éclair
Tu viens, tourne en rond
En vertige, mon corps sombre
Je tends l'appel à la vie, à demain
Sauvant des cimetières en fin
Ma vie, un homme de violences
Il me faut rompre le silence


Ma princesse, ma reine
Mon enfant sacré
Je tiens loin la peine
Ta vie en feu sacré
Des secrets, je tiens la douleur
Au secret au cœur de mon cœur


Sans plus de mots mettre en son
Les paroles, mon corps donnent le ton
Bat la mesure, libère sans mesure
La parole muette de ses douleurs
Cassé en deux, la vie d'un côté
De l'autre les blessures à l'effondrer
Mon corps souffle les lettres en pudeur
Comme s'étirent à l'orage la voile
Braver les tempêtes et en renaissance
Combattre le vent cruel, cet homme de violences

Je pourrais nommer son nom
Ternir la page par son portrait
Figer sur les lignes son visage
Tracer ces actes cruels d'un trait
Mais je préfère juste poser en rayon
Le miracle, si je suis vivante
Voir chaque matin le bonheur
Dépasser, au-delà du courage
Le miracle, si je suis survivante
Tant est sa haine, sa rage
Homme cruel, il n'a tué que son cœur

Homme cruel brisant une femme enceinte
Homme aux armes faisant d'elle la défunte
Homme cruel dressant sa haine en étreinte
Homme cruel effaçant sa proie qu'il noie
Au chagrin immense frappant la terre en loi
De ses crimes que la justice tait
Dans ses indifférences brisant La paix



Rejoindre le paradis pour éteindre la douleur
Consoler à coup d'espérance le cœur
La justice a construit le labyrinthe
Où la reconnaissance se perd
Abonnant les victimes au sort des drames
Une justice étouffant le courage des femmes
Éteignant leur parole, la privant d'air
De sa froideur, la colombe au sol s'éteint
Sans plus de prières, que le silence des peurs
La vérité s’enterre pour protéger un prédateur


À l'approbation de nos sociétés
Gagnant ses richesses en brisant l'humain
Il nous faut rejoindre forte l'enceinte
Bâtir un à un les drapeaux de paix
Changer le baptême de nos sociétés
À l'eau au sang des vies qu'ils ont tuées
La renaissance est pour notre humanité
Semer les champs au soleil des droits humains
Ne crois pas que c'est vain, sois sans crainte
On peut y arriver, sauver la bonté
Ne plus jamais perdre l'amour de vue
Garder les larmes pour la joie, ce jamais vu
Notre humanité réconciliée pour une flamme
Mettre fin aux violences faites aux femmes

Par les larmes en goutte à goutte à l’océan
J’éteins le feu des douleurs
Se battre pour l’innocence, un enfant
Faut toutes les richesses
D’un système prédateur
Aux mensonges destructeurs
Contre ce vacarme d’agresseurs
Je signe la liberté en manifeste
Combattre les tyrans sans faiblesse
En écrivant en lettres capitales
L’urgence, ce fondamental


Ma princesse, ma reine
Mon enfant sacré
Je tiens loin la peine
Ta vie en feu sacré
Des secrets, je tiens la douleur
Au secret au cœur de mon cœur

© Fédora Hélène

Philippe Palat – Cet homme de violences

En France, un homme violent peut détruire une vie en un claquement de doigt et demeurer impuni tant la violence à l’égard des femmes et des enfants est considérée comme un pouvoir et non comme un crime qui détruit une vie. 
La justice de ce pays est lamentable et ne peut correspondre à la paix, au respect des droits humains  
Une société qui accepte qu’un homme violent puisse détruire la vie d’un être humain, une femme ou un enfant , ne pourra avoir un avenir serein et en paix.  


Philippe Palat, escroc et faussaire multirécidiviste, connu de la justice, ayant fait l’objet d’articles dans la presse concernant ses barbouzeries d’escroc agissant dans le milieu de la politique et du journalisme, et contre qui est une plainte pour viols et violences depuis 25 mois, se balade ! 


Une plainte et des faits minimisés car ce prédateur a menacé de mort avec un couteau et devant les enfants, sa conjointe.  
Qu’il est également des actes de barbarie comme lorsqu’il a lancé de l’alcool dans les yeux de sa conjointe. 
Ce prédateur se balade , hébergé dans un bar où autres, a été vu très alcoolisé, parade sur les réseaux sociaux dont Facebook et continue sa prédation, ses odieuses manipulations comme si de rien n’était !  


Ce prédateur a également fabriqué de faux diplômes, dont un de Sciences Po, sans que visiblement ça pose problème, alors qu’il mentionne être journaliste , conseiller juridique en inventant une fausse société, à une fausse adresse et avec de fausses références professionnelles.  
Des articles de presse quand il fait un faux et usage de faux contre une personnalité médiatique et pour lequel il a été condamné à 6 mois de prison ferme, mais quand il maltraite une femme, ses propres enfants, quand il détruit la vie d’une femme, c’est l’indifférence.  
Il bénéficie d’une impunité macabre comme nombreux prédateurs, en France. 


On préfère un escroc buvant H24 et ayant flatté des politiques , des avocats, des journalistes – dont une de la honte soutenant ce criminel, – au lieu de respecter les victimes qui dépassent chaque jour les traumatismes, qui ont le courage de témoigner et d’avancer.  
Ce sont plus de 210 000 femmes victimes chaque année de violences conjugales et plus de 91 % prédateurs impunis. Cela fait plus d’un million de femmes victimes en 5 ans . Puis, ce sont des procédures judiciaires pouvant durer des années et particulièrement traumatisantes pour les victimes. À quel moment ce pays peut être celui de la paix ?  

La justice qui a réagi immédiatement quand Philippe Palat faisait un faux et usage de faux contre Hervé Bourges, à qui elle n’a pas fait subir des traumatismes, et qu’elle n’a ni humilié ni abandonné. Philippe Palat froid, manipulant et inventant une histoire de complot et laissant un jeune journaliste innocent être accusé. Un jeune journaliste tombé dans le piège de cet homme cruel se réjouissant du mal qu’il fait. Celui qui me terrorisait, me martyrisait enceinte et qui prenait plaisir à regarder sa proie souffrir. Plus il lisait la peur dans mon regard, plus il hurlait de plus en plus fort toutes ses injures très obscènes à mon viaage, me poussant, me jettant des objets dessus, comme lorsqu’il a lancé sur mon corps des cigarettes allumées alors que j’étais enceinte. Le coeur battant si fort, mon corps tremblant, il regardait sa proie souffrir avec tous les traits de son atroce haine modelant son visage, impreignant son regard. « Je connais son regard de haine, celui que tu décris« , son propre père.

Philippe Palat qui fier de sa violence, de son atroce lâcheté s’attaquant à une femme enceinte et alitée, continue ses manipulations, son sordide, ses flatteries à l’égard d’une journaliste-auteure de la honte. Il perpétue ses mensonges macabres si certain de son impunité, de sa puissance à détruire sans aucun affect. Abject, il effacce, nie, tue la mémoire de ses victimes, oublie toutes les violences terrifiantes qu’il nous a fait subir durant des années.

La patiente, les pardons donnés, tant traumatisée, humiliée, maltraitée, violée pendant qu’il courtisait des journalistes, politiques, avocats et autres avec qui pour certains il buvait en ivrogne, manipulateur, barbouze notoire, manipulant les siens, les mettant constamment en état de choc, et jamais aucun d’eux n’a prêté attention à une femme et des enfants sur qui il défoulait toute sa haine, ses frustrations, ses manipulations dont il est toujours si fier.

La seule personne qui a été humaine, contrairement à la journaliste-auteure odieuse, c’est Sylvie Baumet, alors que philippe Palat nous maltraitait, faisant des scandales publics, ivre, horriblement méchant, vicieux, attaquant, menaçant, manipulant sans vergogne et qu’il était en conctact avec notamment des RG et que des journalistes étaient informés de l’ivrogne passant ses journées au bistrot et dans ses barbouzeries de médiocre.

@liberterradaily

Quand les journalistes ont écrit sur cet homme de violences, c’est sur une jeune femme, jeune mère qu’il se vengeait de leurs articles , eux qui ont oublié l’escroc et faussaire qu’ils citaient. Les seuls qui sont légitimes pour citer son nom, sont les véritables victimes, des enfants et leur mère. Il a détruit une vie, comme ça, gratuitement et continue à tuer de manière lancinante sa victime, tant il ment, salit leur vie, leur mémoire et toute vie, tant il lui a été donné, alors qu’il se moquait de nous, riait dans ses bars de son épouse qu’il humiliait. Comme il est le bar qui l’héberge depuis des mois où il s’alcoolise sans avoir besoin de travailler pour payer ses verres, lui qui a abandonné les enfants qu’il a traumatisé. Il se balade hautain, méprisant, suffisant, et jouant ses personnages politiques, l’avocat, le jouranliste et manipulant le nom de ses victimes en se faisant passer pour le « bon catholique » comme il a toujours manipulé avec cette religion en se mettant à pleurer devant la croix à Noël dans une cathédrale en jurant encore une fois, ses engagements pour changer et ne plus détruire des vies.

Toutes les alertes faites ont été vaines. Le pire, sa violence à la maternité. Il arrivait ivre, violent, sale, sentant l’alcool, buvant dans les bars avec des notables, alors que je venais de subir une césarienne en urgence. Moins de 24 heures après, cet homme cruel arriva violent et ainsi chaque jour où il restait quinze minutes, le temps de défouler sa rage quotidienne sur sa conjointe et l’enfant nouveau né qu’il méprisait sans un regard aimant, le tout dans l’indifférence générale de ce pays violent, froid aux belles apparences si trompeuses.

Jamais , je ne laisserai cet homme cruel détruire encore la vie en niant, effaçant les victimes, leur mémoire en se servant de son impunité macabre, de l’horrible injustice à l’égard des femmes et des enfants victimes de tels prédateurs, tyrans domestiques.

La France a perdu ses valeurs, une femme pleure.

© Fédora Hélène

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