France – États généraux de Justice – Parlons Justice, pour un engagement : la liberté 

Les États généraux de la Justice ouvrent leur porte le 18 octobre jusqu’à fin février 2022.   Des ateliers de travail divisés en différents domaines de compétences, en présence de  professionnels du secteur judiciaire, de citoyennes et citoyens intervenant, ainsi que d’une plateforme – Parlons Justice – où chacun peut participer.  Des États généraux formant des ateliers thématiques où les professionnels sont chargés de formuler des propositions, ou encore des ateliers délibératifs en présence de citoyens dans le but d’approfondir les sujets. Il sera également  dans ce processus  un atelier de convergence en janvier 2022, pour mettre en avant les priorités. L’avis du comité des États généraux de la Justice sera remis fin février 2022.

Une nation qui protège, en thème central lancé le 18 octobre dernier depuis Poitiers par Emmanuel Macron s’exprimant  devant des étudiants en droits, des avocats, magistrats,  différents professionnels de justice, devant des élus et en présence de citoyens.

La démocratie a demandé par cette voix du peuple s’exprimant par le moyen des réseaux sociaux, par des manifestations, à travers d’études réalisées par des organismes tel que Amnesty, l’Observatoire international des prisons (OIP), le Haut-Commissariat des Nations Unies aux droits de l’homme (HCDH)  – qu’il soit une justice nouvelle non portée par la valeur du numérique , mais par celle des droits humains,  par les droits des femmes et des enfants, ainsi que ceux de la nature. 

Une nécessité absolue de refonder la justice pour qu’elle devienne dans le futur l’émanation de la paix universelle. Actuellement , la justice française ne peut être cette dimension d’universalité et c’est en cela qu’elle doit être profondément refondée. Elle doit pouvoir participer à la  construction d’ une justice universelle en adéquation avec les objectifs du développement durable. De plus, les pays riches ont une responsabilité, soutenir les pays en voie de développement en partageant un engagement commun pour la paix, l’équité, pour une harmonisation de notre monde sans laquelle ne peut se fonder un avenir serein. Les risques actuels sont majeurs et notre humanité est en sursis.  

Une justice de violences s’exprime dans le monde

Le Haut-Commissariat des Nations Unies aux droits de l’homme (HCDH), qui lors d’un débat au Conseil des droits de l’homme à Genève en juillet 2020, alerte sur le fait que plus de 700 000 femmes sont détenues dans le monde, un nombre augmentant très rapidement et supérieur aux hommes emprisonnés. Comme il est souligné les graves conséquences des mesures d’incarcération lors de la pandémie de Covid-19.

Une alerte lancée par le HCDH démontre la gravité des traitement inhumains et dégradants que subissent les femmes à travers le monde lors de leur arrestation, d’ interrogatoires, de garde à vue, ainsi que dans les prisons,  souligne Georgette Gagnon, Cheffe des opérations sur le terrain et de la coopération technique au HCDH, « des fouilles corporelles invasives, des viols, menaces de viol, autres actes de violences, insultes, humiliations de nature sexuelle et des « tests de virginité » »

Une justice en expression de violence à travers le monde qui ne peut établir le lien d’équilibre et de paix vital à la survie de nos sociétés.  Par les États généraux de la Justice, la France semble prendre conscience que la valeur de justice en don de paix est en détresse et que cela signifie également que des personnes n’ont pas accès  à la justice, sont laissées en souffrance. Ces points essentiels ont de graves conséquences pour la liberté, le respect de la vie, et l’engagement de nos sociétés  pour  que soit la démocratie en renaissance. Puis, pour réaliser les objectifs du développement durable, dont ceux liés au climat, aux droits des femmes et des enfants – qui sont par ce lien de la nature à l’humain, en grande vulnérabilité – il est primordial que cesse l’absence de justice pour les plus vulnérables.  L’absence de justice,  l’indifférence pour la vie que cela engendre, met notre humanité en danger à un moment crucial où la révolution climatique est en valeur exponentielle.

Justice –  la violence à l’égard de femmes et d’enfants victimes de prédateurs 

Une femme en grande vulnérabilité, son sourire au secret de ses larmes donne à la justice en  force de vivre, la possibilité d’être ce miracle de survivre à des violences sexuelles et conjugales, pendant que la justice issue d’un système politique et religieux, accepte qu’un homme maltraite, viole une femme, comme il est ces prédateurs brisant le merveilleux, un enfant, brisant une femme enceinte et l’enfant en elle est l’oublié. 

Les mouvements féministes révèlent depuis des décennies cet appel que la justice véritable fait à notre civilisation guerrière et marchande. Des hommes de pouvoir enterrent plus de la moitié de notre humanité, les femmes, sans penser qu’ils se perdraient eux-mêmes et établissent par la violence émanant de leurs systèmes, notre humanité contre elle-même.

Celle établissant aujourd’hui un déséquilibre mettant en souffrance notre Terre. La vie chancelante, en peine, fébrile et tombant déjà sur tous les champs de batailles des famines aux guerres, aux conflits tuant sans relâche la paix , ou la faisant ce pont suspendu dans le vide, celui qui fait naître le désespoir quand l’amour semble mourir par tant d’injustices, de larmes ruisselant pour eau de nos rivières où l’Histoire de notre humanité y filent en métaphore à l’eau abondante qui ne cesse de transmettre ses récits, cette goutte à goutte de nos mots écrits en mémoire de notre naissance dans ce monde , en mémoire de notre civilisation. S’écoule la rivière calme, puis en colère aux récits de nos actes et périt le soldat inconnu portant dans sa mort le flambeau de la paix comme si la flamme ne pouvait vivre sur Terre. Quand les corps meurtris ne veulent que vivre. La liberté pleurant, se faisant les larmes de ces femmes, de ces enfants aux sourires au secret des souffrances. La justice perd son sens, elle est morte enterrée dans les tombes des femmes assassinées par leur conjoint. Elle est morte de chagrin sans fin sur le corps violé d’une femme.

France en 2020, 130 000 déclarations de violences à la gendarmerie, police. Un chiffre qui oublie les victimes au silence des grandes souffrances. France, samedi 6 novembre, 99 féminicides depuis le 1er janvier 2021. 

La France perd ses valeurs humanistes, quand une femme pleure, quand un enfant à peur, est en souffrance, car un père de violences menacent de mort avec un couteau sous ses yeux, sa mère. Novembre 2021, 26 mois d’une plainte pour viols et violences conjugales contre un homme cruel à la déchéance criminelle qui continue à nier une femme, une femme enceinte, ses enfants qu’il a fait horriblement souffrir en les maltraitant. Il a détruit une vie. Et, la justice a disparu le laissant tuer et ce n’est pas grâce à lui que la vie est toujours , lui qui a mis en danger la vie d’une femme enceinte et celle de son enfant. Certains avocats au silence quand l’argent ne couvre pas leur robe noire en serment des soutanes quand elle est le symbole des habits religieux où l’on compte l’âge du Christ par les  33 boutons qui l’ornaient à l’hermine royale pour ne servir que le pouvoir absolu et catholique. Des révolutions des acteurs de justice  voulant signer leur indépendance et coupant l’hermine aux fidèles du patriarcat , nostalgiques des grandes époques monarchiques et ne servant que leurs intérêts de carrière , de fortune, de pouvoir à la si belle ressemblance avec ce monde prédateur. 

La colombe est au sol glacé de leurs oeuvres latines qui animent les théâtres de justice où se joue des vies et ce jeune voulant mettre fin à ses jours pour rien que la violence de ce système judiciaire brandit en pouvoir , comme il était les rois et princes de cet héritage monarchique  en ombre de nos angoisses. Ils ont encore enterré Molière derrière les cours de notables richement parés quand les pauvres ont faim, quand ils peinent dans une France ne faisant pas sa révolution culturelle et ne donnant que quelques sursaut de droits tous les quarante ans aux femmes , mais gardant la culture du viol en dominance des hiers des pouvoirs à lordre établi aux princes politiques, de justice et religieux . Cette curieuse trinité qui laisse des femmes et des enfants à survivre aux violences cruelles du patriarcat et ses acteurs, les prédateurs. 

La justice n’est rien sans la force de témoigner des victimes 

Ce mot , victime, jamais prononcé , puisqu’il est d’être un être humain et que les prédateurs sont victimisés à plaisir dans ces jeux de justice que certains avocats prennent plaisir à jouer au confins des manipulations avec les acteurs de justice si attentifs au dramatique spectacle, dont des fines psychotérapeutes mettant en souffrance des victimes ou reines de la psychanalyse critiquant le mouvement MeToo –  se gavant de leur supériorité d’analyse pour effacer ce que l’ONU met en avant après des décennies d’efforts faits par les militantes du monde entier. La lutte contre les violences faites aux femmes est internationale, mais en France on aura toujours ces femmes portant le coup bas , se référant à leurs titres universitaires pour parler, vendre leur science au bon marché que saluent les prédateurs. 

Témoigner d’un viol vécu enceinte, une grossesse à risque, alitée, 7 mois de grossesse et cet homme de violences, violant cette nuit où il tue une femme. Ce prédateur a tant fait souffrir une vie, des êtres humains. Blessant sans cesse, son acharnement à détruire, sa haine courtisant si bien le système et ce continuel s’exposant fier de ses manipulations, de sa prédation par la puissance de l’injustice.

Les prédateurs tissent le linceul de la justice, couvrant la mémoire des victimes, l’éteignant, manipulant dans leur incarnation du mensonge, ce sans fin, plus aucun souffle ne persiste. Ce sont ces milliers de prédateurs laissant leurs victimes à terre avec pour meilleure alliée, la justice aux ordres religieux et politiques. Si, c’est cela le catholicisme, s’il signifie cette obscure rédemption de prédateurs en mensonges laissant les victimes innocentes sans aucune reconnaissance, aucun amour réside en cette religion, aucun.

Les prédateurs préméditent leur stratégie, leurs viols, ils savent ce qu’ils font et ne violent pas au hasard. La culture du viol excuse dans son abominable les prédateurs et va jusqu’à les victimiser. En 2021, la France porte toujours cette culture des violences faites aux femmes, cultive toujours un système d’inversion destructeur.

Sauver la vie, entendre ce chant au silence, et vibrant à la voix en peine, aux regard de souffrance et la liberté n’est plus au jour sans devoir dépasser pour survivre, sans devoir regarder l’immensité pour y accrocher la voile de l’espérance et marcher encore demain sur cette Terre, ce sol de France où s’écoule les larmes de sang de femmes au corps meurtri. La présomption d’innocence est à l’innocence, pas à un homme violant une femme enceinte, pas à un homme attaquant des enfants que la justice oublie aussi.

La justice a conçu le verbe abandonner la vie dans son système trouble qui trahit toute la confiance des victimes 

Des avocates témoignent, « Une de mes clientes a eu des nouvelles de la justice, 6 ans après avoir déposé plainte », une autre avocate souligne, « j’ai défendu une cliente ayant porté plainte pour viol, cela a duré sept ans ». Les associations féministes expliquent « le parcours de la combattante » affrontant une justice traumatisante, blessant et le fait grave que les femmes ne peuvent jamais se reconstruire. L’attente inhumaine qu’impose la justice et devoir témoigner comme une mécanique quand la justice le décide, replongeant ainsi la victime dans des traumatismes douloureux et ne garantissant pas à ce moment-là : la sécurité, le bien-être de la victime et lui coupant encore une fois, sa vie.

C’est une folie suicidaire que ce fonctionnement judiciaire à l’égard des victimes. Une justice qui ne parle pas de « présumé coupable » quand il est un homme violent ayant détruit une vie par des violences conjugales qu’il a souvent également fait subir à ses propres enfants, abattant la vie des siens durant des années.

Une justice interrogeant souvent les femmes victimes de violences sexuelles et conjugales comme étant responsables, coupables et se faisant la voix d’avocats vantant des non-lieux au bénéfice du doute en osant tous les mensonges quand ils savent pertinemment leur client coupable.

Justice au coeur de pierre – Ne pas ressentir l’humain, n’avoir aucune sensibilité et laisser des êtres humains en souffrance, enfermer également un homme dans son mental prédateur en l’excusant, en classant des plaintes, en dégoûtant les victimes de porter plainte, en signant que la justice n’existe pas, en faisant perdurer des délais de prescriptions concernant les violences conjugales – la justice ne peut être l’expression de la Justice, de la démocratie, mais de ce qui fonde un système d’inversion issu d’un mental archaïque où la violence masculine est considéré comme un pouvoir, un droit.

La justice a besoin d’être profondément refondée, et certaines équipes doivent être changées. Des professionnels de justice cultivant le patriarcat ne peuvent du jour au lendemain déstructurer leur culture et on ne peut pas instaurer un système de surveillance qui ne ferait que nuire à la valeur recherchée, la liberté. Quand une procureure ne protège une fillette de 11 ans , victime d’un viol, cela pose question –  faire carrière dans la justice, est-ce possible ? Pourquoi ne seraient-ils pas des élections ne leur donnant qu’un mandat limité ? 

Victimes et la justice écroule une vie  – Ce froid qui surgit la nuit quand un prédateur agresse, hurlant toute sa haine, et ce sursaut vais-je vivre, cette résistance et la justice française ferme la porte à la vie.

L’océan fidèle en son eau accueillant la naissance regarde certains de ces juges qui ont oublié leur conscience entre leurs livres de loi, leur latin appliqué aux langages politiques et n’entendant plus le son des vagues venant s’échouer dans les tribunaux, pendant que la planète est en péril, alors qu’elle ne souhaite qu’accueillir notre humanité. L’écocide pendu, Greta Thunberg injuriée, le temps avance sur un fil près à céder sous le poids des cupidités et orgueils et notre humanité en survivance depuis la nuit du temps pourrait recouvrir le jour par le même drap blanc qui couvre les corps de femmes assassinées, violées, battues. La vie à Terre dans cette urgence à l’aimer.

Pour la première fois de notre humanité s’offre à nous un savoir technologique, un savoir sur l’histoire de notre humanité, une connaissance scientifique jamais égalée, et nous périssons à ne pas savoir aimer la vie, à ne pas instaurer la paix universelle en notre humanité. Les richesses dominent, l’enrichissement demeure la première valeur dans ce suicidaire de notre économie où la réussite se compte en argent, quand elle devrait n’être que de bonté, de générosité, de partage, de gratuité.

La Terre nous donne l’air, l’eau, les ressources nécessaires à notre survie et nous avons inventé ce qui détruit, l’économie. Regardons ce qui nous permet demain d’être là. D’être ce « la » parfait à la résonance de la lumière sans laquelle le temps de notre humanité n’existerait pas.

Tout ce donne à nous pour que nous puissions vivre et la survie de notre humanité dépend des promesses  faites sur des milliards d’investissement en promesses politiques et groupes financiers, qui n’ont pas eu lieu et nous pensons arrêter la force des éléments, ralentir la montée des eaux par nos raisonnements financiers et industriels quand nous entrevoyons en premier les profits et les compétitions de frontières en frontières en affrontement; Dans ce dédale de fortune, la Chine  signe sa volonté de revanche sur les années d’exploitation établies par le colonialisme, quand il est en priorité de faire « Paix ». Mais tout se sépare et la Justice n’est pas cette force pouvant œuvrer pour la paix. Elle doit être à tous les ministères, il doit être réfléchi en justice nos actes fondant notre avenir. La justice doit être l’inspiratrice de nos Constitutions mettant les droits des femmes et les plus vulnérables au cœur des législations.

La paix en chance de vivre 

Tout se perd donc entre les champs renouvelant le blé et les printemps, puis fuit les rayons à l’hiver sur les plaines, nos villages, nos villes et cet enfant qui regarde sagement par la fenêtre l’avenir s’échapper.

Une jeunesse en lumière qui ne demande que nous puissions établir la réconciliation, la gratuité, des États se rappelant que leur puissance n’est que leur armée, quand il faudrait qu’elle soit d’anéantir la pauvreté, les violences par cette main tendue aux plus vulnérables, d’entendre leur souffle en survie.

La paix ne peut être qu’universelle 

Afghanistan, au froid de l’hiver s’annonçant et le cœur d’un enfant espère,  étoile Yémen, jusqu’au ciel de France, la justice pleure, encore. Le sommeil du verbe aimer est donc à l’éternité, comment les gouvernements peuvent laisser faire et penser la justice merveilleuse à l’intérieur de leurs frontières, alors qu’elle meure. 

Va la Vita, et plus loin, la justice devrait libérer des prisons, ceux souffrant d’addiction. Les toxicomanes qui ont besoin de soins et non de barreaux. La violence derrière les murs continue à effondrer la paix. La prison doit être l’exception pour des faits particulièrement grave tels que le viol qui est un crime, les violences faites aux enfants, aux femmes, à des êtres humains mais elle ne doit pas être conçue en vengeance, mais permettant une prise de conscience du prédateur, d’appliquer un réel suivi efficace, concret et permettant d’éviter les récidives.

Concevoir la justice en don de paix, celle qui sauve, qui donne la chance à la vie de resplendir. Construire des infrastructures de santé, accueillir, secourir, et non emprisonner. Emprisonner, ce choix est contraire à la justice, comme il devrait être une véritable défense des personnes en soins psychiatriques. Des avocats qui la plupart du temps ne connaissent pas le dossier de leur client, ni celui-ci, des audiences où souvent la personne hospitalisée est seule, et lorsqu’il est le témoignage d’un proche, là encore, il n’est pas entendu. Les hôpitaux psychiatriques enferment derrière leurs murs une grande souffrance humaine, la justice véritable doit s’appliquer à y entrer pour les malades, leur famille et les soignants.

La justice a besoin de la paix pour vivre. C’est toute la société qui doit changer, évoluer pour que soit le respect des droits humains, pour que soit la réalisation de cette espérance que nous confie le monde par ce lien de vie qui nous unit à notre planète, et crée l’équilibre fondamental.

La justice, nos systèmes l’ont limitée aux tribunaux, à la perversion des lois alors qu’elle ne peut s’épanouir que lorsque l’environnement est propice à sa liberté. Nos systèmes économiques sont violents et prédateurs et demeurent ce pouvoir nous promettant notre survie. Tant que nous serons cette civilisation, il sera notre humanité contre elle-même. La seule valeur qui peut fonder la justice est la liberté. Comment pourrait-elle s’exprimer sur le parvis de la misère et de la violence ?

Instaurer la paix universelle est le défi de notre siècle et c’est sur son socle que va reposer notre avenir. Les possibilités de ralentir le bouleversement climatique, d’éveiller notre justice, de fonder le partage, se feront par la voix de la paix. Aujourd’hui, la justice est une violence, faisons d’elle celle véritable, un don de paix. 

© Fédora Hélène

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