
LiberTerra lance #PageBlanche
Nous demandons à la justice de reconnaître les femmes et les enfants victimes de prédateurs, de bourreaux commettant des violences conjugales et /ou sexuelles .
Que la justice ait la dignité de reconnaître tout le mal qui a été fait aux femmes victimes de prédateurs.
Un système d’impunité conçu et voulu et non issu du hasard .
Ce sont des vies brisées alors qu’il est cette espérance comme force de vie qui attend une justice qui n’est jamais et qui laisse des hommes violents détruire des vies .
#PageBlanche quand les victimes libèrent la parole depuis des années sans être entendues et respectées et que seul le support numérique demeure un soutien pour tenir le coup, pour témoigner, mais la justice demeure à son indifférence et pouvoir.
L’ hermine et noir ne font pas la paix ! Mais la force de vivre des femmes dépassant chaque jour les traumatismes, et n’ayant plus jamais leur liberté libre, mais traumatisée.
Pour elles, la condamnation est à vie et sans présomption d’innocence, sans droit à la justice.
Prédateur : Présumé coupable ! STOP À LEUR TOUTE PUISSANCE ET IMPUNITÉ
MERCI 🙏 @ONUFemmes

Relever des souffrances, donner à l’espérance toute la voix de son courage, au verbe Aimer sa force de vie, de liberté, bâtir un monde plus juste, plus équitable, plus sûr par une Humanité réconciliée, par le respect des droits des femmes.
La souffrance des femmes se réveillant en sursaut, en larmes en pleine nuit, la peur de mourir par trop de douleurs , cette peur et ce sursaut qui tue la vie, » il a détruit ma vie ». La souffrance incommensurable d’une mère maltraitée, violée enceinte et il faudrait qu’ elle écartèle son corps pour prouver ce crime, ce viol. Cette justice qui fait comme si elle ne savait pas, alors qu’ elle sait quand un homme est un prédateur.


La justice ne doit plus briser des vies innocentes qui crient je veux vivre, vivre ! Les larmes humaines sont ce fleuve qui jaillit des peines . L’ orage gronde en ce bouleversement que nos sociétés affrontent actuellement car les hommes de pouvoirs n’ont pas respecté la vie . Ils ont ruiné la paix pour servir leurs illusions, manipulations, cupidité, orgueils et la justice est leur écho, leurs échecs issus de ce mental prédateur qui ordonne, condamne, juge un être humain, une femme coupable des violences qu’elle subie. Cette justice qui laisse de côté des jeunes, des enfants victimes de pères de violences, qu’ elle n’a jamais eu la volonté d’ arrêter.

Des enfants en souffrances qui gardent au secret de leur cœur ce père qui ne les a jamais aimé et qui les a maltraité, abandonné en toute impunité.

Combien d’ entre eux possèdent cette conscience écologique, politique , ce sens de générosité, de lutter pour le bien de tous car ils connaissent la vie plus que certains adultes car ils ont souffert de violences sans que leur bourreau ne soit mis face à ses responsabilités et qu’ils ont eu ce courage de dépasser, d’espérer pour vouloir fonder des sociétés respectueuses de l’humain et de notre planète. Combien également de jeunes pauvres, en détresse ont souffert de cette violence si ordonnée du système qui laisse des prédateurs impunis, et tourne le dos à une jeunesse en souffrance ?
Toute l’ hypocrisie du système quand nous savons que des prédateurs sont dans les milieux politiques et de justice, dans les arcanes des pouvoirs et qu’ils sont protégés.

Une justice qui n’a jamais lutter contre les violences faites aux femmes, qui n’a pas protégé les plus vulnérables
Une justice qui demeure sans combattre la pauvreté, la violence des pouvoirs , la violence économique que subissent en première ligne des femmes, sans lutter efficacement contre les discriminations, les fortes inégalités, sans lutter contre un système qui surtraumatise les plus vulnérables, ce n’est que servir l’ ancestral d’un pouvoir prédateur qui n’a jamais véritablement respecté les droits humains des femmes et des enfants.
La justice a beaucoup à se faire pardonner et en premier de ne pas se faire plus petite que pour être au plus près de ceux vulnérables. On construit des prisons et non la liberté. On arme , et le pouvoir politique dit que la paix est menacée. Toute est à l’ incohérence et ce sont les plus vulnérables qui sont en première ligne à vivre une pandémie de violences.

Combien de larmes humaines seront encore versées ?

On compte en larmes humaines, 26 mois d’une plainte pour viols et violences et la justice absente. Compte ma vie en sablier, cet étrange sable écoulant ma vie, faisant d’elle la nuit, quand elle ne veut que vivre libre, que se délivrer de cette douleur. Mon corps tremblant encore, il a mal , la main de ce prédateur sur lui , ces cigarettes allumées qu’il lance sur lui , ces viols et tout meurt , quand la vie est là, belle, et que les femmes victimes ont le droit de vivre paisiblement, sereinement et non dans l’ attente douloureuse d’une justice qui a tout moment peut leur demander de témoigner comme si elles étaient des mécaniques. Et, tombent les aiguilles de ce temps qui ne se remonte pas. Je pleure la liberté meurtrie et refuse d’ accepter la violence d’une telle justice qui fait trembler combien de femmes et d’enfants ?

Ne plus accepter un système politique, de justice qui n’est pas un don de paix . Pendant que ces femmes et hommes de pouvoir perdent le temps de la paix, au dehors la vie est mise en danger par cette puissance prenant ces racines dans ce que l’homme ne peut posséder, le pouvoir. Il se heurte alors toujours aux murs de ses échecs et provoquent les drames de notre Humanité.
La nature est comme les plus vulnérables, en peine. Puis, il est cette force de vivre, de ne vouloir qu’elle radieuse, cette espérance en flambeau que nous portons en nous, il faut éveiller cette lumière, lui faire confiance et résister, être cette résilience.
Être cette force, vivre et sourire au monde. La justice doit profondément être refondée et nous avons le droit de vouloir un monde plus juste, en paix pour nous, pour nos enfants, pour les futures générations.
Numériser la justice quand l’outil IA et Big Data est à servir des intérêts politiques qui sont identiques à ceux d’un passé destructeur pour notre humanité et notre planète, c’est aller vers plus d’ opacité, de contrôle, de surveillance, mais pas vers plus de justice quand nous savons que des femmes victimes ont porté plainte et n’ont jamais reçu de nouvelles de la justice. Des plaintes classées, oubliées , des non- lieux en faveur de prédateurs, et des années de procédures éprouvantes pour les victimes.

Pour une justice en don de paix : Agir maintenant
#PageBlanche pour une justice qui traumatise les victimes, qui pense nécessaire d’ éveiller la mémoire traumatique des victimes pour connaître la vérité qu’ elle connaît mais tait. Les méthodes d’ enquête de la justice ne sont pas efficaces et inédites et basent leurs jugements en commençant par mettre la victime en souffrance.
#PageBlanche pour une justice qui ne respecte pas les témoignages des victimes et de leurs proches. #PageBlanche pour l’opacité de la justice, ces enquêtes en dédales de procédures administratives, à la perversité des lois, ainsi qu’à la manière de poser des questions dans le but de protéger un prédateur, de rapports de psychothérapeutes faisant le procès, et qui pensent connaître un être humain en 10 minutes de questions absurdes. Le tout bercé par une culture patriarcale.

#PageBlanche pour une justice commettant des violences psychologiques à l’égard des femmes victimes, comme dans ces procédures éprouvantes d’ interrogatoires à charge contre la victime, pendant que le prédateur ne sera pas entendu durant des mois , puis il sera à être excusé pour ces actes de violences dans le système d’ inversion cultivé dans la culture patriarcale qui est un système prédateur.
#PageBlanche pour la justice qui a oublié les enfants qui ont souffert de la violence de ces hommes faisant le choix de la haine. #PageBlanche pour la justice qui ne doit pas oublier tous ces enfants qui ont souffert à cause de ces pères de violences maltraitant, menaçant de mort leur mère sous leurs yeux.

#PageBlanche pour la justice – les enfants ayant perdu leur mère tuée par leur conjoint ou ex-conjoint, et qui sont abandonnés par la justice. #PageBlanche pour ne pas oublier toutes les femmes assassinées par leur conjoint ou ex-conjoint et qui avait alerté la justice sans jamais être respectées, écoutées.
#PageBlanche pour lutter contre la perversité de la loi sur le consentement

#PageBlanche pour la justice pour ne pas oublier toutes les femmes victimes de prédateurs qui subissent l’autre violence, celle de la justice.
#PageBlanche pour une justice qui ne protège pas, mais sachant se faire celle que les femmes victimes redoutent. Une justice sachant décourager et désespérer des femmes isolées, vulnérables, en détresse. #PageBlanche pour une justice qui accepte qu’un homme violent puisse détruire la vie d’un être humain car il est une femme.

#PageBlanche pour la justice qui abandonne, humilie des femmes
La justice doit écouter avec empathie le témoignage des femmes victimes de violences, ainsi que ceux faits par les proches. Elle doit garantir leur sécurité, veiller au bien-être et à la santé des femmes vulnérables en ne provoquant pas notamment des traumatismes supplémentaires.
De plus, la justice ne doit plus être pour servir des intérêts de carrière, de volonté de faire fortune et d’ appartenir à une valeur d’argent et de notabilité.
La justice doit aspirer à reconnaître toutes les femmes victimes de prédateurs et respecter leurs témoignages qui pourraient être fait par écrit si la victime le souhaite. Comme il est d’entendre les victimes dans des lieux adaptés et sécurisant ou à leur domicile si elle le souhaite. Il est important de ne pas provoquer la mémoire traumatique.
#PageBlanche pour la justice qui peut organiser des confrontations où la victime se retrouvant subitement face au prédateur peut de nouveau subir un état de choc et rappelant d’ autre part au cerveau humain un état de survie . Mettre un être humain en souffrance, d’ autant des années après les faits, replonger la victime dans un état traumatique, c’est inhumain et en rien cela signifie la recherche de la vérité. Ce sont des méthodes d’ enquête totalement archaïques et préjudiciables au respect des droits humains.
Les confrontations organisées par la justice et mettant une femme vulnérable face à un prédateur qui prendra plaisir à savoir sa proie en souffrance, c’est inadmissible, pervers. Un prédateur ne souffre pas, il joue, manipule et il ne fera que s’ amuser de la situation en sachant que son avocat- e ne fera qu’ enfoncer le clou si facilement face une victime choquée, démunie. D’ autant quand des confrontations peuvent durer plusieurs heures. Cela représente une violence à l’égard des femmes.
De plus, les délais de prescription en matière de violences conjugales et sexuelles doivent être abolis, d’autant que la justice met souvent des années avant d’agir et dépasse donc elle-même les délais de prescription qu’ elle impose aux victimes.
Dans certains dossiers, des avocats expliquent que des agresseurs contre qui il était une plainte sont décédés avant que le procès soit tant des années c’étaient écoulées . Des avocats soulignent également que des procédures pour viols peuvent durer 7 ans à plus de 10 ans ! La victime ne peut alors jamais se reconstruire.
#PageBlanche pour une justice complice de prédateurs et se faisant par son système d’impunité conçu et voulu, l’ alliée d’ hommes malintentionnés, destructeurs.

Respecter les engagements pour réaliser les objectifs du développement durable
Notre société est à reconstruire si nous voulons que notre monde perdure et les organismes onusiens, associations et collectifs féministes et humanitaires étant sur le terrain, auprès des plus vulnérables, ainsi que des personnalités tel que récemment le Pape François, demandent aux gouvernements de mettre fin aux violences faites aux femmes, contre les plus vulnérables par également les violences économiques qui ne cessent pas et qui augmentent la pauvreté dans le monde, ainsi que l’ horrible injustice à l’égard de femmes vulnérables.

Donner une chance à la paix de vivre, à la liberté d’être vivante. Lutter contre la machine infernale du système que des arrivistes imbus de pouvoir font avancer coûte que coûte oubliant leur propre conscience, leur propre humanité en se gavant de supériorité et mépris à l’égard de ceux fragiles. Fragiles car la violence des systèmes, dont celui de la justice, les a traumatisé.
#PageBlanche pour résister, s’indigner, être en résilience, pour manifester pacifiquement, s’ opposer à une justice brisant celle véritable qui est un don de paix.
Donne une chance à la paix de vivre .

©️ Fédora Hélène ©️ LiberTerra
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