Urgence climatique – Rien ne s’arrête le 12 novembre pour faire de notre avenir une chance

Ce nous de notre humanité en osmose avec la nature

La COP 26 laisse un sentiment d’échec, de celui des décideurs politiques, de cet « accord » qui pour une jeunesse militante sonne en désaccord avec les engagements fondamentaux à respecter pour protéger notre monde d’un désastre climatique qui impacte déjà les plus vulnérables.

Cet échec leur signifie que leur voix n’a pas été entendue, que leurs témoignages ont continué à ne pas être respectés alors que ceux-ci rendent hommage aux personnes décédées des causes d’une pollution dramatique de notre environnement, de catastrophes climatiques, de la pauvreté que la crise climatique aggrave. Ce sont des récoltes qui sont fortement impactées par le changement climatique. C’est cette industrialisation qui détruit tout sur son passage et les engagements pour limiter la déforestation laissent déjà une terre abîmée, des populations démunies, des territoires en peine, des familles endeuillées car une ou un des leurs est mort à cause de cette économie de profits qui précipite tout dans ce vide de l’enrichissement quand il ne signifie pas celui de la paix, enrichir notre humanité par la réconciliation des peuples.

Les décideurs politiques buvant à la source des injustices et oubliant leur responsabilités dans le déclin de notre survie qui pourrait être si ce monde économique s’acharne à ignorer l’essentiel, le freiner. Une justice en douleur étouffant la vie de femmes au front à combattre la violence, la pauvreté qu’elles subissent pour refonder notre monde et prenant sur elle et voir sans l’injustice que la justice en équilibre, en don de paix, ne voir que l’amour qui sauve et relève des douleurs. 

Ne voir que ce matin où anonyme on prend son souffle pour survivre.  Être à marcher au cœur de la nature, reprendre ses forces pour les faire nôtres car nous faisons partie d’elle, car nous sommes issus de cette Terre, de cette harmonie, de cette liberté que nous cherchons à retrouver. Ce bonheur libéré de nos systèmes destructeurs, d’une justice volée et laissant ceux fragiles à s’éteindre si doucement à la lumière de leur cœur pourtant si généreux.


Nous avons le droit de croire en un monde plus juste, plus équitable, en une économie de partage et à la fin de la toute puissance politique.  Nous avons le droit de croire cela possible pour que plus jamais un enfant, une femme aient ses yeux brûlants de larmes, de ce chagrin qui détruit la vie car un homme violent à le droit de détruire en toute impunité car il correspond au mental des pouvoirs, à ce qui veut dominer, posséder. L’être humain ne possède pas, il transmet et pour cela il a le verbe aimer. Les pouvoirs mènent l’humanité droit dans le mur et toute une jeunesse militante, magnifique d’espérance appelle chacun d’entre nous à être cette flamme de paix, ce sourire à la vie.


Une page Blanche pour la justice, celle qui n’a jamais véritablement respecté les droits humains des femmes, celle qui n’a jamais combattu la violence de la pauvreté, celle qui n’a jamais écrit le mot « écocide » en ses lois et qui ne garde que l’État dans sa supériorité absolue.
Je voudrais, loin des tourments que causent les pouvoirs, ne voir naître qu’un monde de la gratuité.  Ce monde nouveau où les ressources de la Terre ne représentent pas un profit.  Cette Terre qui nous donne l’air, l’eau, la lumière pour vivre et nous avons inventé ce fardeau, l’économie, ce fardeau de la toute puissance politique.

Une déception, un désespoir, le monde change tout doucement et nous avons l’impression que nous ne pourrons arriver à temps, que nous ne pourrons réaliser la paix universelle. Celle primordiale à la réalisation de la protection de notre environnement. Le mondialiste a créé cette chaîne au fer du capitalisme et toute notre société est attachée à la prison qu’il forme, à cet enfermement de nos libertés tant la démocratie est niée au sein des pouvoirs et qu’il est imposé à toute notre humanité ce chemin à suivre des profits et compétitivités pour créer une civilisation numérique au déclin de nos mémoires, faisant d’elle le sable à l’image du béton et du verre ne reflétant que notre virtualité et excluant la nature, comme ce langage numérique aux mains des politiques qui devient l’arme de leurs manipulations, de leurs ambitions, de leur égo, de leur cupidité, de leurs discours qui ont été la trame de nos drames à ne pas écouter la liberté.

Une jeunesse ressent cette peine et exhorte les gouvernements à changer, à laisser leur pouvoir de côté pour laisser entrer la parole des plus vulnérables au centre des Sommets, institutions où seuls les politiques règnent par cette suprématie, par le leurre des élections qui les légitiment, alors qu’il est la trahison, la communication politiques faisant à coups de millions les élections des puissants. Les inégalités commencent le jour où ils sont élus par le prestige des investissements financiers, des campagnes électorales à la valeur de l’argent qui y est investi, et ce sera non que le meilleur gagne, mais le plus riche.

La réconciliation dont notre monde a besoin pour perdurer se noie dans les profits amassés par l’industrialisation de tout qui prime et penser que le tout nucléaire va sauver la planète et qu’il suffit d’ériger une énergie maîtresse, nous nous trompons car avant que l’énergie dominante soit à servir le mondialiste, celui-ci aura d’autant plus fait sombrer notre monde dans la pauvreté.

Emmanuel Macron dans sa dernière allocution a déclaré que la pauvreté n’avait pas augmenté et que « grâce à une politique d’hébergement social inédite et aux aides exceptionnelles versée, nous avons évité à près d’un demi-million de personnes de basculer dans la pauvreté ». L’aide versée aux personnes éligibles au dispositif gouvernemental est égale à celle récemment annoncée par Emmanuel Macron, soit 27 cts / jour sur un an. Elle a permis une survie alimentaire, mais n’a jamais permis de sauver de la pauvreté les plus de 10 millions de pauvres en France, ainsi que les précaires qui vivent d’autant plus la pauvreté par l’augmentation des prix des produits alimentaires, du carburant, ainsi que des charges.  Et, nous sommes au-delà d’un demi- million supplémentaire de pauvres si nous suivons ce qu’il est nécessaire comme somme financière pour survivre dignement. Emmanuel Macron ne peut annoncer la fin des fortes inégalités, des discriminations, ni la baisse de la pauvreté. Il demeure à l’interprétation des quota, des statistiques. Il n’est pas à la mesure de la réalité quotidienne pour les plus vulnérables qui demeurent à subir l’incertitude, la peur de demain, et qui sont traumatisés par la souffrance d’une pauvreté lancinante les laissant derrière les belles vitrines éclairées d’une France profondément divisée et basculant à l’extrême droite.  Un peuple fracturé, divisé qui démontre l’échec de la politique d’Emmanuel Macron qui laisse la liberté en peine, la paix menacée. Le tout pour justifier le renforcement d’une politique capitaliste porteuse de promesses virtuelles comme la baisse du chômage où des demandeurs d’emploi deviennent des pions sur l’échiquier que l’on bascule d’un système à un autre par les procédés algorithmiques qui ne rendent que plus l’économie opaque, ainsi que les manipulations politiques. Les effets d’annonce et c’est ce bagage que va transporter Emmanuel Macron au sein de sa présidence de l’Europe.

Tout est à la virtualité, à des programmes économiques et investissements de milliardaires et le peuple se situe alors au bas de l’échelle à se voir intimider l’ordre du travail non pour la prospérité du bien-être, de l’autonomie de chacun, de la réalisation de son épanouissement, mais comme outil de la machine.

Emmanuel Macron, par son discours et ces mots clés répétitifs comme le mot « travail » qu’il énonce 9 fois au cœur d’un simple paragraphe sur le « travail » est notre « boussole ». Il martèle tel le marteau frappant pour imposer sa vision de la société sans qu’il soit une réel débat démocratique au plus près du peuple et nous constatons que les différentes Assemblées, et au niveau internationale ne répondent plus aux exigences des populations, dont de la jeunesse qui est l’héritière directe des engagements pris aujourd’hui.

Le climat exige ce débat de grande ampleur et de haute qualité démocratique. Il ne peut rester prisonnier de décisions politiques prises en puissants de ce monde qui n’ont pas su jusqu’à présent protéger les populations du réchauffement climatique, qui n’ont pas su inclure au cœur de nos sociétés, la nature comme élément vivant primordial. Ce qui semble évident, inclure la nature en fondamental. Et, puisque nous ne pouvons pas vivre sans elle, l’homme pense pouvoir la réinventer par son pouvoir et sa capacité de dominer, de domestiquer.

Par cette ambition, l’outil IA devient la stratégie des institutions gouvernementales au niveau national et international, maintenant une opacité importante à l’égard des populations ne pouvant maitriser son application. De plus, ces stratégies de gouvernance fragilisent les équilibres du fait que les pays en développement non pas les moyens de développer ces systèmes de dominance et de surveillance avancée.

La gestion climatique s’inclut dans ces objectifs gouvernementaux qui transforment la lutte contre le réchauffement climatique en stratégie de profits et concurrentielle ne pouvant établir une alliance internationale sûre entre les différents États directement concurrents dans les domaines économiques et militaires.

Il en ressort une instabilité pouvant mettre en péril les acquis pour les droits humains et par conséquent fragiliser d’autant plus l’équilibre de la nature par les influences économiques restant l’impératif des gouvernements. L’intérêt prime et tout doit être source d’enrichissement et domination d’où la future bataille pour la possession de l’énergie nucléaire et de celles qui en découlent directement comme l’avenir spatial.

Emmanuel Macron est particulièrement attiré par la numérisation à outrance de la société, par les investissements majeurs dans les outils IA, la robotique, par cet ordre colonisateur des nouvelles stratégies de domination. La Russie, ainsi que la Chine pourraient avoir des têtes d’avance sur la France en la matière, ainsi que sur d’autres pays de la communauté européenne. Emmanuel Macron lance une course après le temps dans le but de rattraper selon lui le retard de la France en la matière et dans l’espoir de devancer la Chine et la Russie en sondant par ailleurs une alliance avec les États-Unis. Ceux-ci resteront les maîtres du jeu et ne laisseront pas la France posséder les futures centrales nucléaires qui seront sur le territoire français, puisque les réacteurs, l’ingénierie pourrait être de propriété américaine et non française. Selon cette hypothèse la France devient ains que certains américains peuvent déjà le considérer, une province dépendante des États-Unis. C’est fort de ces accords, qu’Emmanuel Macron aime à signifier qu’il est le prochain président de l’Europe, qu’il incitera, nous pouvons le penser, à aller vers la révolution numérique en nouvelle civilisation.

Le climat deviendra alors dépendant de la politique et de l’économie nationale, ainsi que des forts rapports de force internationaux qui vont augmenter entre les différentes puissances, comme la Chine et la Russie. Notamment en matière nucléaire et numérique dans le but ultime de la création d’une civilisation interplanétaire. Les objectifs politiques ne sont déjà plus sur le climat qui devient epsilon et permettra de développer de nouvelles technologies robotiques intelligentes, comme il en sera dans le domaine de l’alimentaire et de la santé qui sont les deux enjeux majeurs qui rappellent à l’homme qu’il est un être humain.

Les technologies développées pour permettre à l’humain de survivre dans l’espace pourraient être transposables sur Terre pour une minorité de bénéficiaires si la famine qui est en valeur exponentielle, gagne des territoires par le réchauffement climatique et la pollution des sols et rivières. La nourriture est l’or de demain et les routes de la soie que développe la Chine fait qu’elle pourrait posséder cet essentiel à notre humanité, l’alimentation par la possession des terres et des voies de transport.

La configuration planétaire change et l’Occident pourrait se trouver en dualité avec l’Orient voulant reprendre ses droits dont il estime avoir été bafoué durant la période de la colonisation. L’affrontement des puissances, Emmanuel Macron l’a compris et tient à très certainement être dans la course et à établir sa carrière et domination en se positionnant en adversaire, tout en sachant que concernant l’emprise que pourrait exercer les États-Unis, la France aura beaucoup de mal à s’en détacher.

La pauvreté en augmentation et le réchauffement climatique suivant son cours pourraient être les chemins pris pour l’avenir.

Les jeunes déçus par le résultat de la COP 26 l’ont bien compris, le climat sert des intérêts politiques et économiques, mais il n’est pas la lutte pacifique, généreuse, sans intérêts pour uniquement servir la vie.

Face au pouvoir politique, la jeunesse a un courage immense, et tient à faire entendre sa voix comme elle l’a fait par les nombreuses manifestations présentes à Glasgow. Antonio Guterres, Chef de l’ONU, leur a adressé directement un message, comme à l’attention des communautés autochtones qui luttent chaque jour contre la destruction de leur territoire, « Je sais que vous êtes déçus. Mais le chemin du progrès n’est pas toujours une ligne droite. Il y a parfois des détours. Parfois, il y a des fossés. Mais je sais que nous pouvons y arriver. Nous sommes dans le combat de notre vies, et ce combat doit être gagné. N’abandonnez pas. Ne battez jamais en retrait. Continuer à aller de l’avant. » Un message d’encouragement car ainsi que le signifie le Chef de l’ONU, il s’agit de la vie et que le combat pour le climat est également celui pour l’égalité, pour le respect des droits humains, des plus vulnérables. Il est également un combat qui rejoint les luttes féministes qui impliquent un respect de la nature, une respect de la vie. Rien n’est séparé et tout s’unit dans ce combat d’une vie qui implique chacun d’entre nous, qui implique une humanité réconciliée et par conséquence le respect des droits humains des femmes qui sont cette convergence, cette union pour lutter contre un système prédateur.

L’accord final – « Pacte de Glasgow pour le climat »  

Le président de la COP 26, M. Sharma a déclaré aux délégués que l’objectif de 1,5 degré était maintenu, « Mais son pouls est faible ; Et il ne survivra que si nous tenons nos promesses. Si nous traduisons nos engagements en actions rapides. Si nous traduisons nos engagements en actions rapides. Si nous répondons aux attentes formulées dans ce Pacte de Glasgow pour le climat afin d’accroître les ambitions jusqu’en 2030 et au-delà. Et si nous comblons le vaste fossé qui subsiste, comme nous devons le faire ».

Un fossé qui peut nous être fatal et le Premier ministre Mottley, a rappelé que pour Barbade et d’autres États insulaires, « deux degrés, c’est une condamnation à mort ». La vie est en danger, nous en sommes arrivés là et la conscience de toutes et tous doit s’éveiller sans la panique de la maîtrise du temps que nous ne pouvons posséder, mais avec la force d’exiger maintenant que les gouvernements organisent des débats démocratiques où chacun pourra participer aux décisions qui engagent la vie de tous. Il s’agit de nous, de nos enfants et des générations futures à qui nous devons léguer la vie et non un champ de ruines.

Des promesses et engagements à tenir pour sauvegarder notre avenir

M. Sharma soulignant, « Nous devons maintenant veiller à ce que le prochain chapitre marque le succès des engagements que nous avons solennellement pris ensemble dans le cadre du pacte climatique de Glasgow ».

Par ailleurs, la Chine et les États-Unis, à la surprise générale, précise l’ONU, se sont engagés à coopérer pour lutter contre le réchauffement climatique durant la décennie. Ils ont ensemble confirmé leurs engagements pour l’objectif de 1,5°c, ainsi que sur les problématiques liées au méthane, à la transition vers les énergies propres et à la décarbonisation.

Par ailleurs, plus de 40 pays dont la Pologne, le Chili ont exprimé leur volonté de mettre fin à l’utilisation du charbon.

De la même manière, ce sont les promesses faites pour réduire les émissions de méthane. Promesses engageant les États-Unis, l’Union européenne, ainsi que plus de 100 pays devant tenir cet objectif d’ici 2030 pour réduire les gaz à effet de serre.

Il est également l’engagement pour les objectifs de l’Accord de Paris, dont la limitation du réchauffement climatique à 1,5°c que 500 entreprises mondiales de services financiers tiennent à soutenir en investissant 130 000 milliards de dollars – soit 40 % des actifs financiers mondiaux.

Le domaine des transports étant un sujet primordial, 100 gouvernements, des villes, des grandes entreprises ont signé la déclaration de Glasgow sur les véhicules à émission zéro signant la fin de la vente de moteurs à combustion interne d’ici 2035 sur les marchés les plus importants et d’ici 2040 pour le monde entier.

D’autre part, la France, l’Irlande, le Danemark font partie des 11 pays qui ont créé l’Alliance « Beyond Oil and Gas » (BOGA), une première pour fixer une date limite pour l’exploration et l’extraction nationales de pétrole et de gaz.

La COP 26 est l’alerte, la dernière ligne avant que l’urgence climatique imminente prononce son caractère irréversible

En 1992, l’ONU a organisé à Rio de Janeiro, le Sommet de la Terre créant la Convention-cadre des Nations Unies sur les changements climatiques (CCNUCC). Ce traité compte actuellement 197 signataires. Puis, en 1994 à l’entrée en vigueur du traité, les Nations Unies ont conçu la COP « Conférence des parties » réunissant pratiquement la totalité des pays du monde lors de ces sommets mondiaux pour le climat.

Depuis 1994, les gouvernements auraient dû prendre toutes les initiatives pour éviter la situation critique actuelle et le fait que les initiatives comme celle des véhicules électriques ne provoquent une autre pollution par la masse significative des déchets technologiques à venir, ainsi que sur le fait que les ressources de la Terre seront prélevées par d’autres moyens en apparence non polluant, mais arrivant au résultat de mettre la biodiversité en danger constant.

L’impact de la pollution sur l’eau est un élément fondamental à notre survie et les navires de marchandises très diversifiés en fonction de ce qu’ils transportent comme marchandises, lesquelles sont évaluées à un poids de 9,1 milliards de tonnes, soit près de 288,559 kilos traversant les mers chaque seconde, selon planetscope.com, représentent le déséquilibre qui commande l’avenir de notre planète. Nous pouvons alors en hypothèse penser que les navires « propres » ne conduiront que de la pollution pour satisfaire le mondialisme qui tient une priorité, s’enrichir. De plus les investissements annoncés justifieront la prospérité de la surconsommation pour obtenir les gains financiers pouvant répondre à leurs engagements non sans perdre des bénéfices, mais en gagnant des profits.

Le danger demeure important pour la survie de notre humanité si perdure une interprétation marchande de notre monde, si nous nous ancrons dans l’esprit des guerres économiques, de territoires pour posséder des richesses. Nous séparer de la valeur d’enrichissement, c’est permettre à l’équilibre de revenir à un point permettant au climat de se stabiliser. Les sommes vertigineuses en milliards de dollars annoncées risquent de ne pas freiner le réchauffement climatique car nous sommes dans un bouillonnement de la valeur donnée à l’argent et celle-ci va augmenter pour transformer la société en valeur numérique, être au potentiel quantique pouvant également provoquer un choc des cultures et l’abandon des plus vulnérables.

Les crises humanitaires sont déjà les conséquences de l’avancée de ce monde de marchandises qui élabore une consommation virtuelle de la vie. Rester enfermer chez soi et marcher dans la nature par l’intermédiaire de casques de réalité virtuelle et augmentée. Un monde de privilégiés enfermés dans leur bulle avec autour d’eux un monde asphyxié.

Toute une jeunesse veut respirer l’air pur, toute une jeunesse veut vivre, veut sentir la pluie, le souffle du vent, veut prendre la terre dans ses mains, nous sommes ses enfants, pas son IA.

© Fédora Hélène 

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Une réflexion sur “Urgence climatique – Rien ne s’arrête le 12 novembre pour faire de notre avenir une chance

  1. liberterra j’aime votre poète pep’s liberta paroles « juste d’être libre » c’est le plus grand rêvé « Alors une petite fille aussi belle que nature
    Me prit par la main et me dit « suis cette aventure » votre aventure est belle mais comment être des votres

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