Billet – Justice absente – Si nous n’avons pas la force de protéger les enfants, nous n’aurons la force de rien sauver

@liberterradaily

 Les violences faites aux femmes et aux enfants sont évitables

L’élimination de la violence faite aux femmes et aux enfants doit être la volonté de toute la société, son engagement pour les droits humains. Celui qui permettra à notre monde de perdurer.

Notre humanité ne pourra pas face au bouleversement actuel persister en abandonnant plus de la moitié d’elle-même, en laissant de côté des êtres humains, les plus vulnérables. Abandonner, cette violence serait alors destructrice et mettrait notre humanité dans l’incapacité de protéger ni l’humain, ni la nature. 

Lutter pour mettre fin à la violence faite aux femmes et aux enfants, refondre profondément la justice 

Est-ce que les magistrats accepteraient de passer leur week-end avec leur agresseur ? Pourquoi obligent-t-ils un enfant à subir un parent violent ?  Un père de violences, ne sera jamais un bon père. Il n’y a pas une once de haine dans l’amour et comment peut-on aimer son enfant quand on le brise, traumatise par la violence ?

@liberterradaily

Quelle est cette cruauté de confier le plus précieux, fragile de la vie, un enfant à la tyrannie d’un adulte, comme la justice n’écoute pas les enfants et la force de leurs témoignages et les abandonne. Ces longs témoignages faits et confiés à la police, et qui restent lettres mortes. Un enfant a eu ce courage exemplaire de dépasser, de traverser la douleur de la mémoire traumatique pour lancer cet appel au secours pour que soit la reconnaissance de sa vie, de ses rêves, de son droit de vivre en paix et sécurité. La justice demeure ce silence aux allures cruelles face à la dignité de ces enfants témoins de la force de vivre. Comment la justice peut-elle demeurer à cette folie de fermer les portes à une véritable justice ? Car c’est bien leur justice qui se choque à ce tonnerre qui gronde, à cet éclair jaillissant, une justice véritable. Les enfants et les parents aimants et protecteurs ont déjà créé ce nouveau monde en leur coeur et il n’est que de les écouter, de les laisser lui donner vie !

De la même manière , un homme violent qui maltraite sous les yeux des enfants, leur mère – est cet homme cruel et nos sociétés noyées sous les pluies torentielles d’injustice, laissent faire l’atroce. Comment pouvons-nous espérer demain, quand on le tue aujourd’hui ?

Aujourd’hui, un parent qui protège son enfant, qui ne le confie pas à la garde de celui commettant des violences, qui est incestueux, peut se retrouver poursuivi pour non-représentation d’enfants. Comme il pourrait l’être pour non-assistance à mineur en danger. 

La perversité des lois, est celle d’une culture inventée par l’homme. L’humain peut donc décider d’anéantir les violences faites aux enfants et aux femmes. Les violences faites aux femmes et aux enfants sont évitables. 

Un homme violent se nourrit d’un environnement qui le rend puissant

La société française garde un mental napoléonien, l’obscur du patriarcat qui sévit encore et toujours dans le monde entier.

Le conflit Russo-Ukrainien est l’expression de cette violence, de nos cultures qui acceptent la cruauté. À une échelle différente, cela donne des conflits majeurs. L’homme conçu comme étant le soldat, celui prêt à mourir pour la patrie, cette dimension donnée à notre humanité ne peut apporter la fin des violences faites aux femmes et aux enfants. 

S’ajoute à cela la notion de prisonnier. Faire d’un être humain un prisonnier, pouvant devenir un esclave et le trafic d’enfants et de femmes persiste, est en augmentation dans le monde. Toute notre économie se façonne avec la pierre de cette violence. Une violence si terrifiante qu’elle abîme la nature, déstabilise gravement le climat. Nos actes ont ce mouvement concret.

La vie prouve sa réalité et ce que nous faisons à un impact au-delà de nous-même. 

De la même manière, un homme violent détruit la vie dans toute son ampleur car le système est en corrélation avec sa violence. Nous ne sommes pas indépendants d’une société, mais dépendants d’elle. Ainsi un magistrat.e obéit à un ordre, alors qu’il devrait écouter son humanité. Et, de ce fait protéger plus que tout la vie d’un enfant, d’une femme. Puis, il peut être des magistrats, et autres professionnels de justice, qui sont violents et qui alors utiliseront leur pouvoir pour satisfaire leurs pulsions.

Les professionnels de justice sont des êtres humains, ce que le système efface et fait de l’être une fonction, un outil, une production. Le suicide de policiers exprime toute la violence, la perversité du système et du mental politique qui produit ce mouvement destructeur car il fait de l’homme la machine du pouvoir. Les politiques oublient leur humanité et alors déclenchent des guerres. Ces séismes continuels provoquent une instabilité grandissante, la théorie du chaos, et qui ainsi maintient leur pouvoir en continuité par ce même mouvement.  

Si je génère un éclair de manière continuelle, je vais saturer de la même manière l’espace en une forte charge électrique.  

La puissance politique, est celle-ci, elle génère un mouvement destructeur d’une manière ou d’une autre et plus son pouvoir est puissant, plus la paix et la liberté sont en danger.

La Chine impose cette force de violences et il est le génocide ouïghour. 

L’importance de reconnaître le génocide ouïghour est celle d’opposer une force inverse et toute l’extrême difficulté sera que celle-ci confrontée à l’autre force ne déclenche pas une guerre. Les milliardaires, lobbies ayant participé à la violence, ayant utilisé la production faite par le travail forcé, ont une grave responsabilité.  

Donc, il est aussi d’être conscient que nos richesses proviennent encore d’un système esclavagiste. 

Le pouvoir donné à l’argent est extrêmement dangereux et rend coupables les pays riches qui le sont par la misère du monde. La cupidité qui persiste est terrible.  

Et, une dette d’argent à plus de valeur qu’un être humain ! La prescription est alors royalement prolongée, alors qu’un barbare pourra commettre des violences conjugales et /ou sexuelles graves et ne pas être poursuivi à cause du système de prescription ! 

Puis, quand la victime peut s’échapper par sa force de vivre et qu’alors elle témoigne d’autant plus, la justice qui ne l’a jamais écoutée, lui répondra que les faits sont prescrits. Et, nous revenons au système destructeur de nos sociétés.  

En conclusion, la justice est fondée par un système de guerre, de droit de vie ou de mort, et non par un don de paix. Pour que la justice change profondément, toute notre société doit en faire de même. 

Aujourd’hui l’être humain à ce choix, survivre ou pas. La Terre a répondu avant nous, sans notre consentement, comme nous avons décidé sans le sien. La liberté est un consentement et le respect de celui-ci préserve la vie. 

Nous l’apprenons comme dit la fable, à nos dépens !

Une urgence de paix

La souffrance coule notre humanité, la misère sème nos champs perdant à la sécheresse les récoltes et nous remplissons nos ceours d’argent pour combler le vide, oublier nos peurs.

On rêve alors de ce matin où l’aurore n’attend pas la nuit, on rêve à ces demains libres. La liberté qui au coin des rues prend la main des pauvres et laissent à leurs prisons les richesses, cet enfer.

Nous avons besoin d’amour

Il suffit d’aimer pour ôter les armes de haine barrant la route du bonheur, de la réconciliation. Perdus quand ce chemin nous échappe, la nature nous lance la corde pour traverser le vide que forme nos systèmes et rejoindre un autre monde pour survivre.

Si nous pouvions écouter l’onde du jour qui s’émerveille et donne son reflet aux neiges éternelles. Aimer, pour consoler notre monde. Il suffit d’aimer.

Nous n’avons pas encore donner notre cœur à notre humanité et aujourd’hui, se lève cette chance, cette espérance et si nous voulons éteindre le feu de la guerre qui gronde, nous devons nous unir et savoir abandonner des systèmes économiques violents qui menacent les accords de paix. Nous sommes dans cet épais brouillard et c’est nous que nous abandonnons en refusant de changer profondément nos sociétés. Prenons conscience que nos richesses ont abandonné les Ouïghours à la souffrance, que nos richesses ont abandonné des enfants qui ont faim.

La vie nous montre nos actes et leur destin

Rendons à la Terre ce que nous prenons pour nourrir cette folie économique, pour que la nature puisse continuer à nous donner ce dont nous avons besoin pour survivre. Elle nous offrira alors l’immensité de la liberté. Ce miel de la vie que nous n’avons pas encore goûté.

Des enfants sont blessés dans ce monde avide de guerres, de pouvoir et de fortune. Des enfants vendus, violés, battus, traumatisés grandissent dans l’atroce de la violence. Pourtant, il garde en eux cette force de vivre, de s’émouvoir, d’aimer le monde par cette lumière de paix se posant doucement sur eux et éclairant le jour qui pourtant se brise avant de se lever.

Que nous faut-il de plus que cette preuve, la douleur d’enfants, pour être certain que nous devons engager une révolution culturelle et pacifique ? Dans le monde entier, les peuples attendent ce renouveau possible et les populations doivent lancer le coup d’envoi en établissant une économie de partage, en refusant une robotisation de leur vie, obéissant à la perversité des lois inventées.

Aujourd’hui, nous devons désobéir aux lois qui brisent l’humain

Les juges ordonnant à un enfant de rester en lien avec un parent violent, ont cette responsabilité de décider de ne plus être ces automates de l’absurde qui saccagent des vies innocentes. Chacun de nous doit penser en premier à son humanité et protéger les enfants est cette priorité absolue si nous voulons leur donner un futur. Aujourd’hui, il est de prendre conscience que le temps est déjà passé, et que nous sommes en survie dans cet espace où la vie nous donne toutes les chances, tous les possibles. Saisir cette chance de bâtir un autre monde plus juste, plus équitable, plus durable, ne sera pas si nous n’avons pas le courage de créer la paix, une réconciliation en secourant les plus vulnérables. Si nous n’avons pas la force de sauver des enfants en danger, alors nous n’aurons la force de rien sauver.

Liberté, cette Terre demain

Nous ne savons pas quel est ce monde libre. Nous ne l’avons jamais vécu. Nos yeux s’ouvriront alors sur un autre monde. Il n’est pas sur une autre planète, il est ici sur Terre.

La liberté est un consentement, à toi de lui répondre, oui.

© Fédora Hélène

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