
Un appel – la liberté !
Liberté, ce cri fend la nuit encore une fois et appelle notre humanité à se lever pour elle, à s’éveiller à l’appel de son nom pour cueillir la paix en une renaissance. Une naissance dans la douleur des guerres, des peines et souffrances, un monde de violences qui a martelé notre histoire, nos frontières, quand l’union donnait à l’art la parole d’universalité de notre humanité. Nos langages, une multitude de langues traduisant notre mémoire, les mots de notre âme, les émotions, l’invisible de l’amour que la nature traduit par la richesse de sa beauté.
Toute cette vie menacée par la guerre, les mots de la propagande russe armant l’ombre nucléaire en poussière de notre monde. Ce printemps de tous les dangers, et les violences économiques font rage.
Emmanuel Macron en prince capitaliste
Emmanuel Macron prononce la continuité de sa politique en se positionnant en prince du pouvoir. Les élections lui sont acquises, pense-t-il, et il annonce ses mesures économiques comme s’il n’y avait pas d’élections présidentielles à venir. Il est dans une affirmation de sa présidence et c’est par ce jeu, qu’il fait campagne. Il s’inscrit dans une économie de guerre qu’il poursuit par un capitalisme destructeur qui s’accorde avec tous les pouvoirs, régimes politiques, dictatures. Les intérêts financiers sont la valeur première.
Emmanuel Macron pose une estimation de 30 milliards d’euros de profits par les ventes d’armes de 2021 à 2022. Nous sommes dans une logique de guerre qui par la pandémie de Covid a posé ses marques. Un enrichissement des milliardaires et simultanément, une augmentation de la pauvreté, une aggravation des violences aux personnes, aux femmes.
Une logique d’abus de pouvoir par des couvre-feux absurdes, qui semblait uniquement être décidée pour rendre l’espace civil militarisé. Les zones urbaines vident de population, laissant le terrain civil à la surveillance policière, à la gendarmerie, à des militaires. La population s’est pliée à l’ordre, a libéré l’espace public et se trouvait sur un lieu identifiable, leur domicile.
Au-delà de la pandémie, cela semblait un entraînement grandeur nature de ce qui peut se passer en cas de guerre. Un conditionnement, une habitude d’obéir à des mesures absurdes, de modifier sa vie suivant un ordre donné, et sans réfléchir, obéir à un pouvoir politique. Se protéger du Covid, ne veut pas dire, accepter l’absurde, accepter immédiatement tout ordre.
Des enfants cloisonnés dans des cours de récréation, interdits d’enlever leur masque à l’extérieur, la population a tout accepté des ordres politiques. Puis, les milliers de morts du Covid sont effacés. Il est de reprendre immédiatement l’infernal et être de nouveau en ordre, à l’obéissance à la seconde près. Être dans cet ordre politique qui fait de la vie une charge, une souffrance, un coût en milliards de dollars et imposant la pauvreté.
Dans le même temps où Emmanuel Macron évoque l’aggravation de la pauvreté dans le monde par la guerre en Ukraine, et sans qu’il ne le dise, par la guerre de la faim, par la manne se faisant rare, le blé en trésor de guerre et avant 2019, il était déjà 3 milliards de personnes ne pouvant manger à leur faim, et 690 millions de personnes en insécurité alimentaire, restant le ventre vide. Macron annonce sa politique économique dévastatrice pour la paix, pour la vie de millions de personnes. Ce n’est plus 10 millions de pauvres en France, cela va être dans les mois à venir, une explosion de la pauvreté.
Des mères isolées, des enfants, des personnes âgées, des handicapés vont payer le prix fort de la guerre. Ils subiront les humiliations par les violences économiques et Emmanuel Macron va durcir sa violence capitaliste. Un empire capitaliste affrontant son propre chaos. La Russie est capitaliste et tire ces richesses de la férocité de ce système.
Les politiques, leurs financiers, les lobbies, milliardaires par leur cupidité, orgueil ont créé un monstre. Des conséquences gravissimes qu’ils ne vont pas subir, mais faire subir aux populations. Et, ce sont les plus vulnérables, des femmes et des enfants qui seront au front en tentant de survivre. L’impérialisme dominant va provoquer une accélération sans précédent du bouleversement avec à la clé un risque de guerre nucléaire. Le bluff politique peut à tout moment déraper et se transformer en catastrophe nucléaire.
Les comprimés d’iode sont alors devenus ce secret défense, cette gestion de la guerre. Puis, la Russie compte également ces alliés et notamment celui de l’ombre, la Chine. Son ambiguïté rend sa position toujours plus dangereuse pour l’Occident. Renverser le dollar, provoquer une confrontation directe avec les États-Unis, défier cette puissance et tenter de renverser les pôles de puissances entre l’Ouest et l’Est.
L’injustice en règle capitaliste





L’histoire inachevée en mouvement perpétuel
La revanche de l’histoire, celle qui surgit et fait face à notre humanité. Nous sommes pris au piège des erreurs du passé. Après la Seconde Guerre mondiale, la pauvreté a saisit les plus vulnérables et une économie capitaliste s’est développée en donnant une apparence de richesses et laissant le reste du monde dans un enfermement culturel, dans une infériorisation, même si la lutte contre la pauvreté a permis de faire reculer les famines, qui aujourd’hui deviennent extrêmes. Le système économique n’a pas cessé de produire un enrichissement constant, absurde et faisant perdre à la vie son sens précieux, la liberté.
Des millions de jeunes soldats, dont des jeunes russes, ont donné leur vie pour libérer notre société de l’horreur nazie, mais toute l’architecture qui a construit la puissance du nazisme n’a pas été anéantie. Et, pourtant, il aurait été nécessaire de mettre le système à terre et de profondément changer nos sociétés. Mais, les politiques ont choisi de faire de la paix, un intervalle entre deux guerres. Un espace où l’armement, l’économie deviennent des valeurs importantes. L’humain reprend sa place derrière au loin, n’entendant que les sonneries d’usines. Celles résonnant dès l’enfance, celles punissant, celles décidant en dominante majeure du « La » imposé à une vie.
On paie cher le droit d’apprendre à lire et à écrire, oubliant les émotions, l’harmonie, la nature et notre lien indéfectible avec elle. On oublie la liberté et aujourd’hui l’enfance est devenue cette répétition générale avant de devenir l’employé, l’outil de la machine. Cette machinerie en rouage torturant les âmes, enlevant les rêves, ce salaire de la faim se délivrant au compte-goutte, la pauvreté hissée en déesse éternelle, comme indissociable de notre humanité.
La violence terrasse, on apprend la peine, l’angoisse, les humiliations, à retenir les larmes et on avance le cœur lourd, lui voulant s’échapper, lui nous apprenant la liberté. La voilà la paix posée comme l’oiseau sur la branche de la démocratie, celle cassée, tombée sur le bord du chemin, ce bois mort que l’on ramasse et abandonne. L’arbre mimant notre douleur et à l’hiver ne portant que l’écorce sombre, rugueuse, vibrant sous nos doigts, nous faisant entendre ce cœur qui bat. Il est donc là, vivant, même si on ne l’entend pas, ne le voyons pas – il est ce son limpide, cet arc invisible, l’alliance d’un arbre à une autre, cette famille unie, notre nature.
Écouter la Terre
Il vient l’air nous frôlant, nous donnant l’assurance d’être un membre de la Terre. Pourtant, nous continuons à nous penser exilés, orphelins et cherchant ailleurs la patrie. La Terre est alors ce refuge précieux accueillant la vie, ces mots s’écrivant au fil des siècles et dans toutes les langues. Ce bien vital, des hommes le conçoivent en moyen de chercher un ailleurs, parmi l’inconnu, cette dimension qui serait nôtre, avec qui nous pourrions établir une harmonie, notre filiation avec l’univers qui nous entoure. La conquête de l’espace pourrait être cette recherche de cet idéal, une planète permettant à notre humanité de bâtir l’âge d’or. Atteindre cet Olympe, cet asile fraternel, mais avant l’homme reprend ce glaive de la guerre et veut déterminer qui sera le premier conquérant d’une planète où la vie pourrait être créée. La science en outil rend possible la découverte de cet espace et notre autodestruction. Mais pas l’aboutissement de notre histoire, pas la conquête de l’équilibre, pas ce qui nous permet de survivre, alors que le progrès scientifique n’a jamais été aussi impressionnant.
Le nucléaire nous donnant la possibilité de conquérir l’espace, une autonomie énergétique, est en réalité cette dualité entre survivre et détruire. Il devient ce Dieu sans lequel notre humanité ne pourrait maintenir son progrès, assumer son industrie, réaliser ses guerres, sans lequel les puissants que la folie désigne perdraient leur pouvoir.
Cette folie et actuellement, Emmanuel Macron récite les alertes faites par l’ONU sur l’augmentation de la pauvreté, pendant que le système qu’il a choisi est une fabrique de pauvreté. Les politiques ne l’ont jamais anéantie, car elle est une arme puissante contre les peuples et dénoncer les famines, ce n’est pas anéantir la pauvreté. Emmanuel Macron annonçant ce qui est su depuis plusieurs années et que nombreux rapports ont dénoncé, notre monde au bord du précipice. Et, dans le même temps, Emmanuel Macron fera tout pour porter une économie destructrice à son sommet.
Emmanuel Macron, c’est la double voix, cette dualité qui nous éreinte et se prononce par l’absurde, prend le chemin de la guerre, de l’indifférence. Il annonce les drames, mais ne porte pas la paix. Or, c’est la solution de paix qui est essentielle. Le drame nous le connaissons, nous avons besoin de sauver notre monde et non de politiques qui laissent l’espoir à terre quand il s’agit de le réaliser.
Les élections présidentielles approchent et ce vote capitaliste que certains feront pour servir le désespoir, pour exprimer leur propre violence à travers celle d’un politique, pour devenir ce petit despote à travers celui qu’ils auront élu en idole. Emmanuel Macron, c’est le vote de la violence. Le vote de l’hypocrisie, des manipulations, d’un giscardisme archaïque. C’est dresser un empire contre un autre. C’est plonger notre humanité dans le tréfond de sa dualité, c’est le risque de perdre en gagnant des richesses.
Des richesses corrompues brisant le cœur de notre humanité et fabriquant une pollution meurtrière qui ne s’arrêtera pas par la puissance nucléaire, c’est un leurre. Nous détruirons de la même manière en utilisant une autre énergie et la liberté sera encore bafouée par les intérêts financiers. Nous ne pourrons pas acquérir l’universalité de la paix en poursuivant le capitalisme, en refusant d’établir la gratuité, une économie de partage où l’un donne à l’autre, comme la Terre nous donne. Regardons l’air, il n’a besoin que de l’expression de la liberté pour nous donner le droit de vivre. Quand il est chargé des particules émanant de nos industries, il tue.
Guerre – Notre humanité en dualité
Une énergie en divinité – Nucléaire
Nous sommes au bord d’une guerre nucléaire, nous sommes à marcher sur ce fil suspendu dans le vide. Il est temps de se libérer des politiques, de reprendre la liberté en cœur battant, de vivre libre et d’apprendre cette liberté pour la donner en héritage à nos enfants. Il n’est plus que les enfants héritent de pierres et d’argent, il est qu’ils héritent du droit de vivre en paix.
En France, des millions de personnes continuent à alimenter un système qui met la vie en péril. Le sens de vivre perdu. Il suffit de regarder les villes où les habitants sont de plus en plus nombreux, les politiques ont conçu une augmentation des services de police pour ne servir que leurs manipulations sur l’insécurité, alors que dans le même temps, la justice est cette pierre morte qui regarde des prédateurs détruire la vie de femmes et d’enfants, qui regarde des personnes âgées isolées, en grande souffrance pour dernier voyage.
Des politiques qui commercialisent tout de la vie, et tout doit rapporter de l’argent. Les statistiques devenues la parole et la croissance économique l’unique valeur. Cela n’a aucun sens, et des gens s’enfoncent dans le déni en faisant perdurer une économie morbide.
Le captitalisme sonne la guerre de la faim
Concrètement le capitalisme signifie la famine, donc valoriser ce système, c’est suicidaire. Les personnes comme Emmanuel Macron diront que le capitalisme permettra de créer les milliards nécessaires pour venir en aide aux populations, et donner les moyens à l’humanitaire. Les organismes onusiens font appel aux dons, demandent que des sommes soient consacrées à l’humanitaire. Mais, cela n’incluent pas la continuité d’un esclavage qui produit inlassablement les crises humanitaires et l’aggravation de la crise climatique. Le capitalisme, c’est dire s’achète le pain, alors qu’il est de dire, je te donne les champs pour cultiver le blé, je te laisse la récolte pour la partager, et il est important de comprendre alors que cela signifie donner à chacun le droit d’accéder à la terre.
Les petits agriculteurs, les marchés locaux, les ateliers locaux qui produisent une économie saine doivent être pensés en première valeur. Le projet d’Emmanuel Macron au sujet du RSA est aberrant et violent car il humilie les pauvres, mais ne donne pas à la personne la terre à cultiver. Par cette métaphore, comprendre qu’il faut aimer les autres, aimer la vie, aimer le bonheur qui ne peut exister que s’il est partagé. Donner la possibilité à chacun de vivre le sens de son humanité et ainsi une réelle croissance naîtra. Une croissance positive pour tous et pour la terre. Il faut sortir de l’endoctrinement des politiques, de l’atroce du mental de certains milliardaires, y compris en France, qui font subir aux plus fragiles une vie en calvaire. Ces gens mentent en plaçant l’argent en seule solution économique possible, en montrant du doigt la famine et en accablant de l’autre main, les plus pauvres.
Chaque être humain naît pour vivre, pour réaliser ce qu’il porte en son humanité, ses rêves. Si l’environnement est favorable, alors le printemps qui apparaît en ce moment signifiera pour toute notre humanité, la renaissance. Aujourd’hui, en France voter pour un capitalisme féroce en Hydre, c’est suicidaire.
Le HCR a annoncé qu’il y a 10 millions d’Ukrainiens déplacés, réfugiés fuyant la ruine qu’est la guerre. Et, avant que ces pleurs nous effondrent, les lobbies, comme Total, les ventes d’armes comme celles réalisées par Emmanuel Macron étaient le fleuron de notre industrie, la croissance si attendue et aujourd’hui pour des millions d’enfants à travers le monde, il est la promesse d’une catastrophe alimentaire dans les prochains mois. Une insécurité alimentaire qui touche déjà l’Europe, y compris la France.
Chaque seconde compte pour la paix
Comprenons bien l’enjeu actuel, c’est la vie. Nous n’avons pas besoin des 30 milliards d’euros promis par Emmanuel Macron par les ventes d’armes en perspective économique de 2021 à 2022, nous avons besoin de paix, d’une économie vertueuse, de savoir accueillir et partager. Il serait d’inviter chacun, par son libre arbitre, à boycotter les industries comme Total, à boycotter une économie qui barre la route à la construction d’un monde équitable, juste, durable.
Comment espérer vivre si nous élisons des inconnus aux intérêts de milliardaires et à qui nous confions nos vies, celle de nos enfants ? C’est insensé et il est temps de refuser ces choix destructeurs, de ne plus accepter une obéissance nocive à ce système, de ne plus être ces automates en milliers sur les périphériques, transports en commun, tous à la même heure pendant 40 ans de notre vie, pour en réalité paver un chemin de guerre sur lequel les puissants érigent leur folie.
La guerre en Ukraine est un signal d’alarme retentissant dans le monde, ne faisons pas du présent ce « trop tard », et mettons fin au capitalisme, anéantissons la pauvreté par notre volonté, force de vivre.
© Fédora Hélène
Copyright © LiberTerra 2022 – Tous droits réservés – Tous droits de production et de diffusion réservés