
Si on rêvait à un dimanche de liberté !
Le dimanche qui vient, n’est pas un jour comme les autres. Il porte l’espoir de millions de personnes à bout de souffle, de souffrances et pourtant si fortes. Demain, toute une jeunesse si belle de vie pourra agir pour son avenir. Elle pourra choisir de créer sa société. Une jeunesse qui porte le poids des défis immenses de ce début du 21ème siècle. Le défi est de protéger la vie, la nature, notre Terre mère. Le défi est de protéger l’humain, lui donner l’élan de ses rêves, la grandeur de son imagination par les possibilités de créer, de réaliser un monde en paix et libre. Ce monde nouveau que des millions d’enfants souffrant de la faim appellent de leur espérance.
Demain sera un dimanche pour la générosité, ce vote pour les autres, pour les plus vulnérables, pour une alliance entre notre humanité et notre Terre. Demain, donne une chance à la paix de vivre. Donne une chance au bonheur de venir sur les places remplir les cœurs de joie, ce droit au bien-être, ce nouveau contrat social que nous devons bâtir, ensemble.

Demain, il ne sera plus l’humain en peine, l’humain n’étant plus qu’un numéro de matricule comme le système actuel l’impose. Il ne sera plus un code barre en numéro RSA sans aucun respect de l’humain, de son humanité, de sa vocation, de la richesses de ses dons, de ses rêves à réaliser. L’injustice, la pauvreté, les humiliations sans fin, l’humain considéré comme un objet à insérer dans la machine capitaliste. Les droits humains bafoués, l’objectif premier du développement durable : pas de pauvreté, oublié – pendant que la corruption déroule le tapis rouge aux systèmes politiques et économiques, faisant des donneurs d’ordres des tyrans aux paroles de mensonges.
Insertion, ce mot ignoble, cet enterrement de l’humain qui devient cet artifice dans une interprétation de richesses économiques qui ruinent la vie, la liberté. Insertion, on insère l’humain comme une pièce de la machine par tout un système vivant de la misère, se nourrissant de toujours plus de pauvreté et accusant les plus vulnérables. Un RSA qu’accuse Emmanuel Macron, et qui ne peut être qu’une semaine de plus de courses alimentaires, et la misère.
La liberté est à la naissance qui doit être protégée et ne pas devenir l’injuste au berceau des politiques enterrant le futur dans un non-sens séparant l’humain de son humanité. « Vous semblez avoir perdu votre humanité » a déclaré Zelensky. La guerre, l’atroce et la mort. La vie nous appelle, nous supplie de la sauver, de l’aimer, de ne pas l’abandonner dans ce labyrinthe sans fin que nous avons fait de nos sociétés créatrices de pauvreté, de souffrances à l’écho retentissant jusqu’aux terres arides du Sahel. Des enfants magnifiques au regard limpide, ils sont loin et pourtant si prêt de nous. Fraternité, le vote de ce dimanche se baptise fraternité, universalité de la paix. Ce n’est pas un politique qui le porte, c’est le peuple. Le peuple qui ne peut limiter sa voix à celle d’un vote qui peut faire naître le pire.
« N’oublions jamais, et l’histoire nous l’a montré, que si l’on n’y prend pas garde ; le pire peut aussi sortir des urnes ». Abbé Pierre
Emmanuel Macron, c’est l’oligarchie et les oligarques français à l’ignorance de leurs richesses virtuelles en financement sans fin vers le néant et l’arbre par ces racines centenaires nous apprend ce monde durable qui ne cultive que la Terre, l’eau à ses veines comme unique richesse à l’air que l’on respire. Il n’a pas d’autres choses que notre vie, que la vie. Voulons-nous la limiter dans cet espace de folie des élections où tout se précipite, où il est la haine se dressant sur les places à l’appel de l’extrême droite ? Cet échec d’Emmanuel Macron d’avoir par les manipulations, le fait du prince à l’acquis du pouvoir qu’il pense éternel, en armes de guerre vendues à coup de ces milliards effondrant la paix, attisé la haine et par la violence politique avoir établi la violence policière. Emmanuel Macron a -t-il perdu sa conscience ? Il porte en sa mémoire les mutilés, les blessés graves lors des manifestations, lors du mouvement des Gilets jaunes qui ne fut que leur liberté que des femmes et des hommes ont exprimée. La liberté jaillissante dans les rues.

Pendant ce temps, Emmanuel Macron était à ses faiblesses et ayant besoin du secours de la droite conservatrice, en bourgeoisie du 19ème siècle, aux millions dorés par les héritages, pour sauver la République se vantent-ils dans les jardins des manoirs à leur rentrée politiques invitant les barons de LR et des Centristes. Emmanuel Macron n’a jamais su gouverner seul, il n’a pas su porter la liberté, écouter la paix et comprendre les souffrances. Ces peines qu’il nomme par son ignorance « ce pognon de dingue », pendant que ses alliés battent les cartes de l’argent des banques en virtualité de notre monde, en fausse interprétation des richesses et s’écoulent les milliards en fontaine de désespérance.
Comme jadis, on enterre Molière derrière les palais, à la tombe oubliée d’un chant littéraire, laissant nos mémoires au chagrin, et les mots évanouis joués en théâtre, celui qu’Emmanuel Macron recherche sur la scène des publicités, des shows divisant notre humanité et la pauvreté du texte qu’il récite et que quelques publicitaires lui aura écrit. Lui prenant nos mots, nos cœurs, l’amour volé pour ne servir que des manipulations politiques.
En triste soir, la violence de Zemmour, la dangerosité de Marine Le Pen, la culture française à ses perversités, à son labyrinthe des inégalités et mensonges. Cette France noyée en veille châtelaine pleurant ses ors à la monarchie des princes déchus faisant la guerre, et laissant la famine pour pain. La France regrette-t-elle tant ce jour finissant ? Ce siècle des lumières qu’Emmanuel Macron cite – et aux balades de l’histoire, les monuments au soldat inconnu signent de cette plume d’ange, la misère des philosophes trempant la pointekiol_ç dans l’encre corrompue des noblesses tuant le peuple de faim, à l’horreur des champs de bataille, et l’enfant ne peut fuir, ni écrire ses larmes, lui à qui l’on impose l’ignorance, alors que son cœur porte toute l’intelligence du monde. Cette école, aujourd’hui, à refonder en alliance avec une nouvelle justice. Faire table rase de celle aux pouvoirs et issue de ce calvaire qu’on porté des générations de miséreux. Cette justice indigne aux milliers de lois et ne trouvant pas la clé de la paix. Cette justice enterrant des femmes et des enfants victimes de ce système prédateur lâchant ses loups en tyrans à l’abri de l’impunité et des corruptions.
Emmanuel Macron a ses effets d’annonce, doit régler ses propres problèmes avant de promettre de faire mieux la prochaine fois. Il sera réélu par l’argent, l’égocentrisme, les caprices de bourgeois, par l’ignorance, le non-sens, et en ministre des très riches, des lobbies qui le portent. L’hypothèse de sa réélection qui n’est possible que par le système d’inversion qu’il cultive et s’entourant de ces acteurs. Le préfet Lallement restera le serviteur des violences politiques. Ces cours monarchiques avançant aux ors de la République qu’ils ont toujours volé au peuple.
Emmanuel Macron a perdu cinq précieuses années à un moment crucial, où il était de lutter contre les fortes inégalités, contre l’injustice, contre la pauvreté pour protéger notre monde. L’écologie en berne, l’humanisme écologique sacrifié. Les bourgeois écologistes se partageront les morceaux du Macronisme, comme ils l’ont fait quand ils étaient assis sur les bancs du socialisme agonisant.
Aujourd’hui, trois candidats sortent du lot et on vote faute de mieux. La démocratie en danger en France depuis les années Sarkozy qui ont fait un mal fou, ont cassé une ambiance, une France. Valérie Pécresse dans cet ancien sarkozysme, cette ritournelle de la droite et une France archaïque et patriarcale aux perversités des violences sexuelles trônant sur les marches de la culture française comme fleuron de la violence des hommes. L’histoire traîne ces rois maudits, ce Pétain, l’horreur, et Macron charmé par les cours latines où Brutus se souvient de son père. La trahison en art politique.
Emmanuel Macron n’expliquera jamais la réalité de son entrée en politique, comme celle dans le monde des banques et les gens élisent cet inconnu, cette opacité des systèmes corrompus, une France perdant le sens.
Tous les partis politiques sont cette ombre opaque, cet espoir perdu et le peuple n’a pas encore élaboré un Conseil national de la Résilience qui aurait dû être cette nouvelle annonce pour se libérer des politiques.
Les Ouïghours oubliés, ce génocide se faisant ce présent, que le monde politique oublie, que l’Europe abandonne. Mélenchon ne reconnaissant pas le génocide Ouïghour, est cette blessure. Alors, nous votons pour cette fin de République, fin d’un système. L’effondrement du capitalisme, celui qui n’est que cette définition qu’il tient pour mère.
Le mondialisme, et une jeunesse espère sortir de ce drame de l’industrialisation de la vie, de l’outil numérique utilisé contre l’homme, contre la liberté et devenant la nouvelle arme de guerre dans ce permanent des attaques et surveillances militaires, d’espionnage, de politiques en dominants, oppresseurs.
S’éloignent de nous, les objectifs du développement durable. Loin s’en va une économie de partage, l’argent en arme fatale qui abat nos sociétés fraternelles.
Une économie de partage, d’entraide abandonnée, un monde d’équité mourant, et l’obéissance sans fin de ceux se pliant pour un salaire à ce désert qu’un capitaliste destructeur fait de nos vies. Le droit de manger pour avoir contribué au silence, à l’omerta, pendant que des politiques font fortune, mentent, détruisent le climat, soumettent des vies à ce qu’ils ne pourraient eux-mêmes supporter, affronter.
Chaque pion à sa place, nos vies étouffées en file d’attente dans les embouteillages, la violence des cités, la violence politique et Emmanuel Macron porte en sa conscience les mutilés, les blessés graves, lors des Gilets jaunes. Il porte avec ses ministres, préfets, directeurs, la responsabilité d’arrestations arbitraires, de condamnations traumatisant des vies. Une justice qui là, a eu les moyens de condamner dans l’urgence, quand elle laisse des femmes et des enfants victimes de prédateurs, en souffrance dans une cruelle indifférence.
Ce monde de mensonges, de corruptions et les prédateurs sont de sortie dans leurs plus beaux costumes et prenant en valet, ceux appliquant des lois iniques sans se réveiller en sursaut à l’effroi des vies innocentes qu’ils ont détruites. On oublie l’humain, il faut être un titre, un pouvoir, un compte en banque, un numéro, ce système détruit et demain combien aura-t-il effondré de vie ?
Aller au bout de ses rêves, faire table rase de ce système destructeur et donner à la paix le droit de vivre, de bâtir une véritable justice et ne plus accepter ce qui assomme la vie, sans appel.
L’être humain n’est pas une somme d’argent, un ordre administratif, cette administration en dictature appliquant jusqu’à l’obscurité, sans conscience, tout ordre politique. Emmanuel Macron en oligarchie qui se conçoit comme possédant le titre pour les années à venir, limitant la démocratie au vote. Puis, éteignant la démocratie, lui prenant son pouvoir auprès d’une droite conservatrice en tombant dans les bras de Bayrou. Une droite se vantant d’avoir sauvé la République de l’avancée du mouvement des Gilets jaunes. Ce mouvement est l’expression de la liberté, celle que l’on ne peut retenir au fond d’un puits sans air.
Emmanuel Macron caché derrière cette droite en bourgeoisie du 19ème siècle, celle battant à coup de bâton Jaurès. Ces bourgeois en propriétaires possédant les ouvriers comme outil, moyen de gagner l’industrie en esclavage de notre monde. Laissant la liberté du peuple abandonnée dans les cours populaires des immeubles délabrés, et ne pouvant espérer respirer qu’à la mesure des sonneries des usines.
Ne pas oublier l’héritage politique de Macron, de la Gauche caviar en compteur de places Boursières, des affaires, du luxe de milliardaires en champions du vide réduisant les ressources naturelles à néant pour satisfaire leur folie consciente d’acquérir des richesses sans aucun sens.
Ne pas oublier les droits humains à terre, les droits des femmes en effet d’annonces et on compte les tombes des femmes tombées sous les coups d’hommes violents. On compte les femmes maltraitées, violées, et Macron crie accroché au wagon de tête, « Je suis féministe ». Il pleut nos larmes au noir des ombres à paupières qui colorient nos chagrins, ces femmes défuntes, ces enfants pleurant une mère.
Emmanuel Macron en tête du premier wagon crie à tue-tête dans le vacarme des larmes, de la pauvreté, son humanisme qui l’a quitté sur le quai abandonné. Aux applaudissements des députés de La République Emmanuel Macron, assis sur leurs chaises, aux applaudissements de ministres tirant leur violence vers le haut. Le sommet des fortunes à atteindre, ils gravissent les marches de l’Hydre capitaliste, laissant le peuple à terre au bas des rues enfumées de gaz lacrymogènes. Nos yeux n’en finissent pas de pleurer, la police en ombre dans ces rangs avançant. Le train part et Emmanuel Macron est resté à quai avec la démocratie, aussi.
Demain, faisons table rase, mettons les désespoirs contre les murs du pouvoir et ouvrons en grand les portes de l’espoir ! L’espérance en réponse aux défis qui nous font face pour lui, l’enfant pauvre qui attend de toi : la fraternité, l’égalité, la liberté.
Demain, laissons le capitaliste à ses cendres, ce feu éteint avant qu’il ne brûle nos champs de culture d’aimer. Demain, soyons la solidarité, l’entraide, l’avenir, le sourire de ces femmes en peine au loin, derrière les frontières, qui te demandent ta main, juste une fois pour la serrer contre ce cœur humain.
Demain, notre humanité a envie de liberté !
© Fédora Hélène

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