France – Féminicides, violences conjugales : l’échec politique

@liberterradaily

« Une injustice commise quelque part est une menace pour la justice dans le monde entier » Martin Luther King.

@liberterradaily

France – L’injustice blesse, traumatise la vie

Cette vérité définie le naufrage de la justice en France qui est tellement grave que ce sont des vies innocentes qui sont détruites, en grande souffrance. La perversité du système arrive à son extrême quand il est de sauver, de protéger la vie de femmes et d’enfants victimes d’un homme violent, cruel. Ces hommes qui calculent en premier leur impunité et qui sont certains de n’être jamais inquiétés, jamais face à leurs actes criminels tant l’incompréhensible cruauté dresse des murs emprisonnant les victimes dans un long calvaire.

La société française quitte l’humanité quand elle laisse des prédateurs détruire des vies, quand la justice partage le mental destructeur du système de l’inversion qui est la négation de la vie.

@liberterradaily

Une justice véritable est un don de paix et protège les plus fragiles – secoure, et donne la juste reconnaissance aux victimes. Ce n’est pas le cas en France qui ne peut être un pays libre et en paix quand des femmes et des enfants y sont en grande souffrance, quand il est en une semaine 4 féminicides, un infanticide, une femmes très gravement poignardée par son compagnon, et l’horreur, il lui a crevé les yeux et « l’a atrocement mutilée », a alerté Féminicides Par Compagnon. 

Féminicides Par Compagnons est un collectif féministe effectuant un travail éprouvant, difficile, de manière bénévole pour recenser les féminicides en France, pour que les victimes ne soient pas oubliées, effacées. Nier les victimes brutalement assassinées car elles sont des femmes, engage un effondrement civilisationnel lent et certain. 

Un pays qui accepte que des hommes violences puissent martyriser, tuer une femme, un enfant, ne pourra jamais espérer avoir un avenir serein. La violence faite aux femmes dans une indifférence macabre, est issue d’une société auto destructrice, où les droits humains fondamentaux sont bafoués, où l’apparence de liberté, n’est pas la liberté, et sans elle rien ne peut perdurer, vivre. La société offre aux prédateurs un environnement toxique propice à l’expression de leurs pulsions de violences, à leur déchéance et pour qu’un tel environnement soit, il faut que notre propre civilisation soit elle-même corrompue.

Un Terre juste ne peut porter une telle cruauté, et l’homme à modifier son environnement pour le soumettre à sa domination. Il détruit pour survivre. Et, bien les prédateurs détruisent pour penser exister, penser survivre en adéquation avec leur société.

Nos sociétés ont construit un système prédateur 

C’est la pauvreté qui est une immense cruauté. Des personnes très riches regardent leurs semblables souffrir de la faim et pensent qu’un simple don d’argent va laver leur conscience, alors que l’argent du don provient du système destructeur qui fait la pauvreté, l’esclavage, le travail forcé, les trafics humains. Dans cette rage de violences, de domination, les violences faites aux femmes et aux enfants en sont la dramatique conséquence.

Puis, nous pouvons être triste qu’a une époque de progrès technologique, où il est des chercheurs, scientifiques, d’universitaires qualifiés, où la connaissance nous permet de comprendre l’impact de la violence sur la santé,  une telle barbarie à l’égard des femmes puissent toujours exister. La violence en empreinte du système se retrouve  dans les institutions publiques,  la justice à l’égard des mères protectrices protégeant leurs enfants d’un « père » violent, incestueux . À partir du même fonctionnement fondé sur le mensonge destructeur, et la très contreversée théorie de l’ « aliénation parentale » retenue comme une certitude, provoquent des souffrances, détresses incommensurables pour les mères protectrices et leur enfant.

La psychiatrie est devenue un lobby, un moyen de profits et de pouvoir pour certains, pendant que des structures de soins pour la santé mentale, le traitement d’addictions, comme l’alcool, vecteur de violences conjugales, subissent une désertification des moyens financiers et humains. L’investissement fait par les gouvernements sont à servir un système destructeur, et non pour le respect des droits humains, de la santé, du droit de vivre en bien-être.

 Un système à la perversité des lois, issus du mental politique, des pouvoirs d’un 19 -ème siècle esclavagiste, colonialiste, qui va hisser l’industrialisation de toute chose. Ce sont les profits acquis par une monarchie élective, par des marchands cupides, avides de pouvoir et prêts à tout pour être les dominants. La République trahie, une instabilité, le terrifiant des deux guerres mondiales, sont les conséquences de ces empires, de la division suicidaire de notre humanité qui perdure.  Leur fortune qui achète la liberté, la puissance. ils n’ en ressentent aucune souffrance, sans conscience.  Une souffrance qu’ils provoquent et infligent à leurs semblables. Les pouvoirs leur appartiennent et ils n’ont jamais été séparés ! La France vit dans un mensonge, une omerta sans limite, une hypocrisie du verbe et ne se fait pas cette Union européenne pour un progrès humain primordial, pour insuffler une liberté réelle à nos sociétés.

Dès lors, le peuple est maltraité, des femmes sont reniées, jamais écoutées, et le système les définit toujours par « la folie » ! On ne croit pas leurs témoignages, les déshumanisent, tout ça pour faire triompher la haine, une destruction de notre humanité. Aujourd’hui, nous savons par les scientifiques que l’humanité est au bord du précipice par le bouleversement qui s’accélère, que ce soit par la crise climatique, les crises humanitaires, et les conflits armés.

Photo @liberterradaily

Nous ne pourrons pas espérer ralentir le réchauffement climatique si un mouvement de violences perdure, s’amplifie. Il est absolument nécessaire de respecter les engagements du développement durable, dont un des objectifs est : l’élimination des violences faites aux femmes d’ici 2030. La situation dans le monde s’aggrave, cet objectif doit être réalisé en urgence.

Il faut pour cela avoir le courage d’affronter un système prédateur, et exiger des décideurs politiques, du gouvernement des actes concrets immédiats.  Si Emmanuel Macron demeure aux effets d’annonces, aux États Généraux de la Justice qui seront l’écho de celles-ci, qu’il quitte la présidence, que la France quitte l’Europe, l’ONU et s’enferme dans sa droite extrême, son obscurantisme, la perversité, et ses mensonges – que sa position soit claire.

Les actes concrets doivent être pour lutter contre les violences faites aux femmes. Parmi des mesures, il serait de mettre fin à des procédures judiciaires entassant des papiers, des rapports d’expertises, faisant subir des confrontations traumatisantes, des années éprouvantes, sur les seules épaules des victimes. Mettre fin à la toute-puissance de certains magistrats- es, d’institutions publiques imposant une interprétation patriarcale des éléments et condamnant des femmes et des enfants à une vie de peur, d’humiliations, de traumatismes pouvant impacter toute une vie.

C’est absurde de mener cette guerre contre les femmes, de faire subir de telles douleurs à leurs enfants ! C’est un système suicidaire qui est cultivé en France. Des conventions internationales, des rapports dont celui de février 2001, définissant le rôle des professionnels de santé pour lutter contre les violences faites aux femmes. Le rapport Henrion, dirigé par le Professeur Roger Henrion, a expliqué qu’en France, l’écoute des victimes par les médecins était insuffisante, comme le dépistage systématique des violences conjugales subies, et a souligné que « l’examen a posteriori des cas d’homicide a parfois permis de constater que si les acteurs de santé et de justice avaient tenu compte des signes d’alerte, le drame aurait pu être évité ». Un rapport remis au gouvernement de l’époque, et répondant à la résolution du 16 septembre 1997 sur la nécessité d’une campagne européenne pour que soit respecté l’objectif de l’ONU, l’élimination de la violence faite aux femmes et zéro tolérance pour les agresseurs. Le parlement européen a souligné alors, « L’importance de la formation s’agissant des personnes – représentants de l’ordre, juristes, personnel médical ou personnel des services de logement et des services sociaux – qui s’occupent de femmes victimes de sévices », et précisait que « cette formation doit être obligatoire pour les magistrats devant juger des cas de violences sexuelles ». La France ne respecte toujours pas cette recommandation et la formation des magistrats-es en matière de violences conjugales reste à la discrétion des professionnels de justice dans le cadre de la formation continue.

De plus, le rapport a rappelé que « Beaucoup de médecins sont inconscients de l’ampleur du problème et du fait que la violence peut s’exercer dans n’importe quel milieu, sans égard à l’âge, la race, l’éducation, la religion, le statut marital, le niveau socio-économique. Beaucoup pensent que le phénomène est réservé à des couches de population défavorisée et ne peut atteindre leur clientèle. »

Depuis près de 30 ans, les gouvernements n’ont rien fait de véritable, de concret pour pour sauver des vies. Au contraire, et certains politiques sont des hommes violents à l’égard de femmes, et un conseiller d’Emmanuel Macron a été condamné pour violences conjugales, et il est pourtant investi pour les prochaines législatives. Élu, comment pourrait-il s’engager pour le respect de l’objectif de l’ONU : l’élimination des violences faites aux femmes et zéro tolérance pour les agresseurs ? S’est-il engagé auparavant pour lutter contre la violence faite aux femmes ?  A-t-il secouru des femmes, des enfants victimes d’un bourreau ? Le nouveau quinquennat commence par une aggravation des violences faites aux femmes, des féminicides, des plaintes semblant être oubliées, des magistrats qui n’ont toujours pas l’obligation d’être formés pour écouter avec empathie des victimes de violences conjugales et sexuelles, alors qu’il s’agit d’une recommandation de l’ONU. Il ne peut dans ce contexte être garantie une véritable sécurité pour les femmes et la justice poursuit sa route d’autorité faisant souvent subir des traumatismes supplémentaires aux victimes.

Pendant que l’Espagne vient de renforcer sa loi contre le viol, la France demeure à la perversité de ses lois. Une France divisée entre les notables et dominants, et le reste de la population. Les plus fragiles mis en état de choc, d’humiliation, c’est ce que subissent des femmes et des enfants, en France. Ce qui est légal n’est pas le respect de l’égalité et de nombreuses violences persistent. Que cela  soit la gauche ou pire la droite, les mêmes blocages s’imposent dans un système conçu en labyrinthe, où les plus fragiles n’ont aucune chance de s’en sortir, car la sincérité de leur vie s’oppose aux mensonges des pouvoirs.

Le système ment, et les conséquences sont dramatiques pour l’humain et la nature

Un système destructeur où naviguent des manipulateurs, prédateurs, barbouzes, que l’on retrouve dans certains milieux de justice, médiatiques, de la santé en lobbie, car ce sont des réseaux de pouvoirs, où la loi du plus fort s’applique, où il faut être le dominant, le plus manipulateur, où il est de faire carrière et parfois  fortune. Une domination s’imposant au peuple par la peur, la peur de la justice, la peur de la puissance de l’administration, des violences économiques. Une conception toxique de la société pour le profit d’une minorité, de ces hommes qui font la guerre assis dans leur bureau, par le cynisme de décideurs protégeant le pouvoir politique avant toute chose.

La violence faite aux femmes devient une normalité, la règle, une sorte de preuve de virilité, d’être capable de tout, de franchir toute limite tout en étant assuré par l’omerta et les corruptions, d’être impuni.

La légalité devient la possibilité de briser une vie, une femme. Et, certaines femmes acceptent la violence des hommes, qu’elles peuvent elles-mêmes subir, par endoctrinement, par goût du titre, des pouvoirs qu’elles obtiennent, d’une carrière qu’elles ne feraient pas, d’un personnage qu’elles jouent et elles n’agissent pas pour lutter contre les violences faites aux femmes. Certaines femmes vont jusqu’à soutenir, excuser des prédateurs et c’est aussi le cas dans le milieu de la justice ! Il y a également une sorte de fascination pour les criminels, leurs apparences pouvant se situer entre le docteur Jekyll et M. Hyde.

Dans la grande majorité des cas, les forces de l’ordre, les magistrats savent très bien ce que les femmes subissent. Ils savent qui sont ces hommes violent et leur volonté de détruire un être humain. Pourtant, nombreuses femmes victimes ont l’impression de parler à un mur lorsqu’elles témoignent et subissent un état traumatique sans que personne ne se soucie de leur santé, de comment elle vont tenir le coup, surmonter pour leurs enfants et chaque jour debout, elles dépassent.

Les prédateurs sont comme ceux laissant faire, jamais ils n’auraient la force de dépasser la souffrance, les violences qu’ils font subir à une femme, un enfant. Ces hommes cruels qui sous les yeux des enfants maltraitent leur mère. Ils sur traumatisent en permanence, détruisent la vie !  Ils menacent de mort une mère sous les yeux de ses enfants, la tuent sous leurs yeux.

Comment une société dite évoluée peut-elle accepter cela ? Quel avenir construire dans le respect de la vie, sans justice, sans paix et liberté ?

La justice doit être profondément refondée en urgence ! Combien de drames faut-il pour que la société française s’éveille, change profondément, que les notables, donneurs d’ordre, puissants cyniques, quittent leur embourgeoisement, mépris, indifférence, 19ème siècle pour ne plus entraver la paix ! La droite extrême, la cupidité, exister par le titre, par un système d’héritiers, par le nom, l’apparence, cet orgueil doit prendre fin, car la république est volée au peuple par ceux ayant pris le titre de rois, oubliant qu’ils sont des êtres humains, oubliant leur conscience, brisant la fraternité.

Si l’Union européenne est une réalité, elle doit rappeler à Emmanuel Macron son humanité, sa conscience, car loin de ses beaux discours, dans son pays, ce sont des milliers de femmes et d’enfants qui chaque année sont victimes de prédateurs et qui n’ont pas accès à la justice, subissent des traumatismes supplémentaires. Si Emmanuel Macron continue dans l’absurde d’effets d’annonce, ses discours politiques finiront en sable dans un océan de douleurs, aux larmes de chagrin.

Jouer avec la souffrance des victimes pour servir des ambitions politiques, donner une belle apparence à la France, alors que des vies innocentes sont gratuitement effondrées, c’est de la perversité.

Aujourd’hui, des tribunaux seraient moins dangereux fermés qu’ouverts quand ils laissent faire des hommes de violences, accablent des femmes, font vivre un calvaire aux femmes et enfants ayant eu leur vie brisée par des hommes cruels.

Les femmes victimes, ont donné de l’amour et un prédateur ne cherche qu’à détruire le verbe aimer. Notre humanité est une force d’aimer, elle est vivante par l’amour et détruire l’amour qui constitue un être humain, c’est lui ôter la vie. Les hommes violents tuent.

Nous sommes dans un système politique et économique qui brise l’amour et la nature nous appelle à aimer, car c’est l’amour qui sauve la vie.

La France demeure aveugle, certains politiques, magistrats, professionnels de justice, de santé, des médias, l’ensemble des pouvoirs, lobbies ont une grave responsabilité dans l’effondrement civilisationnel qui s’opère par tout simplement la crise climatique que ce système suicidaire a provoqué.

Les générations futures retiendront que la politique a sacrifié la Terre pour des profits inventés, pour faire la guerre dans une continuité assourdissante. La justice n’existe pas en France et ne sera pas tant qu’une économie destructrice persistera, dirigera le monde.

Une vie fraternelle, solidaire est possible. Elle est à créer par la volonté, la force de vivre que chacun de nous possède. Déserter le capitalisme, comprendre que ce qui détruit ne sauve pas. La France s’est fait le fleuron de l’industrie de l’armement que nous pensons être un enrichissement, alors que cela est une défaite. Nous construisons les progrès de la guerre et non de la paix.

@liberterradaily

Les droits des femmes doivent être inscrits en une valeur d’universalité et les femmes unies à travers le monde sont ce lien universel pour lutter contre les violences. Partout dans le monde, la justice s’exprime par les témoignages des femmes, en force de vie, de liberté !  

Fédora Hélène

Cpyright © LiberTerra 2022 – Tous droits réservés – Tous droits de production et de diffusion réservés

Votre commentaire

Choisissez une méthode de connexion pour poster votre commentaire:

Logo WordPress.com

Vous commentez à l’aide de votre compte WordPress.com. Déconnexion /  Changer )

Image Twitter

Vous commentez à l’aide de votre compte Twitter. Déconnexion /  Changer )

Photo Facebook

Vous commentez à l’aide de votre compte Facebook. Déconnexion /  Changer )

Connexion à %s