Jean -Luc Mélenchon – Meeting de Caen : dernière ligne droite pour un gouvernement de Gauche

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NUPES – Meeting Caen 2022 – Des législatives en troisiène tour

Les Normands sont venus en nombre pour entendre et soutenir Jean-Luc Mélenchon, leader de la France Insoumise, s’engageant pour devenir premier ministre en cas de victoire de NUPES.

NUPES que l’on pourrait traduire par le New PS, soit le Nouveau Parti Socialiste.

Le troisième tour, l’appel de Jean-Luc Mélenchon en réponse à la réélection d’Emmanuel Macron le 24 avril dernier avec 58,54 % des voix, dues en partie pour faire barrage à Marine Le Pen.  Une élection en triste anniversaire célébrant les 20 ans de présence de l’extrême droite au 2ème tour des présidentielles.

Le RN restant présent dans le calvados, Marie-Jeanne Gobert, intervenant en première partie, revient sur l’élection Emmanuel Macron « élu dans un océan d’abstention et de votes blancs », et rappelle le risque de l’extrême droite qui demeure dans certaines circonscriptions, « Même s’il paraît atone, nous sommes très conscients de son danger », souligne-t-elle.

Militante communiste caennaise, Marie-Jeanne Gobert âgée de 67 ans, ancienne conseillère régionale, se tient auprès de NUPES pour les législatives, comme elle s’est investie dans le comité de campagne de Fabien Roussel pour les présidentielles. L’engagement toujours présent, elle a rappelé lors du meeting, « Le cœur de nos combats communs à nous tous », définissant ainsi l’union mobilisée pour gagner les législatives.  

Une union « pour défendre les services publics, l’emploi, la paix et la préservation de la planète », souligne-t-elle. Elle ajoute également que dans « les 24 pages de son programme présidentiel, l’expression « services publiques » est totalement absente ». 

Selon NUPES, le gouvernement donne tout pouvoir à la finance qui « mutile tant de vies », et souligne que la nomination d’Elisabeth Borne, est la confirmation d’un « capitalisme actuel », précise Jean-Luc Mélenchon, qui a déjà commis des « dégâts irréversibles », considère Marie-jeanne Gobert, notamment par le passage d’Elisabeth Borne au ministère des transports, et les mesures prises à l’encontre des chômeurs.

Olivier Faure – Au cœur du rassemblement de la gauche

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Le premier secrétaire du parti socialiste, Olivier Faure, a déclaré lors d’une interview à Médiapart, « J’ai toujours plaidé pour le rassemblement de la gauche ». Une plaidoirie, aujourd’hui, gagnante, pour « gouverner ensemble ». Effacer les divisions pour établir une réconciliation, et atteindre la victoire aux législatives en démontrant la sincérité de la politique engagée par la Gauche, et prêchant la paix.

C’est sous les applaudissements chaleureux qu’est accueilli Olivier Faure, lors de ce meeting faisant salle comble, et ce sont près de 1 500 personnes qui n’ont pu entrer faute de place, qui montrent leur attachement à NUPES, et expriment le besoin d’une nouvelle politique s’inspirant de l’humanisme, que cite Jean-Luc Mélenchon, « c’est l’harmonie des êtres humains entre eux et avec la nature », et il précise, « c’est chasser les discriminations, les dominations ». Jean-Luc Mélenchon qui cite le Figaro qui tourne en ridicule le projet humanisme de NUPES en ces termes « Le soleil bolivarien sur une piscine de burkinis ».

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Olivier Faure rappelle que les citoyens n’ont pas donné un blanc-seing à Emmanuel Macron, et que les législatives vont donner la possibilité « à la Gauche de l’emporter » par l’union, comme si elle était inspirée « par le peuple de France » demandant aux acteurs politiques de Gauche de se réunir. « Un miracle » dans la laïcité pour que quelque chose se passe pour les Français, pour l’égalité, pour les Oubliés, pour l’environnement.

Olivier Faure qui répond aux adversaires de NUPES en posant cette question concernant le projet de la gauche, « Sommes-nous sérieux ? ». Il répond, « C’est le monde dans lequel nous vivons qui n’est pas sérieux ». Un monde pas sérieux pour Oliver Faure quand la France fait partie des 7 premières puissances du monde et qu’il est en France, « entre 2 à 3 millions d’enfants pauvres », rappelle-t-il. Comme il est en France, « 9 à 12 millions de personnes, suivant les évaluations, qui vivent soit au niveau, soit en-dessous du seuil de pauvreté ».

Le premier secrétaire du parti socialiste souligne également que « l’hôpital est au bord du Burn out », comme il rappelle que pendant que les personnes mises au chômage partiel durant la pandémie ont perdu 14 % de leurs revenus, quelques milliardaires ont « fait un bénéfice record de 160 milliards de bénéfices », ajoutant, « Nous, on n’est pas contre les bénéfices, nous sommes pour les partager, c’est ce qui nous différencie de la Droite ».  

Puis, rappelant « le grand défi qui est devant nous », le réchauffement climatique et qu’il préférable à la dette financière, à des « gens qui en réalité mourront riches », de comprendre que « la réalité est que la dette écologique est infiniment moins supportable que toutes les dettes du monde parce que nous avons une urgence à relever : ce défi climatique », et expliquant, « Nous ne pourrons pas dire à celles et ceux qui nous survivrons , que nous n’avons rien fait », et  « que nous n’aurons même pas tenté d’interdire ce réchauffement qui menace les espèces, menace tout simplement l’espèce humaine, qui fera de la vie de celles et ceux qui nous suivrons, un enfer ».

Olivier Faure conclut par l’humanisme qui doit définir la valeur travail, « La valeur travail, on la respecte, d’abord, en accordant des salaires qui sont dignes et qui permettent à chacune et à chacun de vivre ». Et, a rappelé ainsi une des mesures de NUPES, le smig à 1 500 euros.

  Puis, il établit la valeur travail « en abolissant la flat-taxe, en rétablissant l’ISF, en surtaxant les super profits » pour partager « avec ceux qui créent la richesse ».

« Respecter la valeur travail, c’est que l’on ne peut pas laisser des gens entrer dans la précarité pour toujours » a affirmé Olivier Faure. Insistant également sur la né

Il souligne également la nécessité de revenir sur la réforme du chômage et dénonce le fait que « 1,5 milliard d’euros par an » seront prélevés sur « ceux qui sont au chômage », et ajoute « c’est insupportable ». Olivier Faure soulève alors les applaudissements du public.

Jean-Luc Mélenchon – « Il y a un troisième tour. Un vrai troisième tour »

 Jean-Luc Mélenchon fait son entrée en s’adressant en premier aux personnes venues l’entendre, mais n’ayant pu accéder à la salle. C’est donc dans le hall où les gens sont restés pour écouter, être là, que celui qui se présente pour être le futur Premier ministre exprime la volonté de NUPES, un changement profond du système économique et des choix politiques. Pour une raison, « Vouloir vivre tout simplement » a exprimé M. Mélenchon.

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 « La bonne ligne, c’est la rupture. Rompre avec ce monde pourri », a-t-il affirmé.

« Rompre avec ce monde irresponsable capable de saccager la planète, capable de plonger les gens dans une détresse sociale absolue », et ajoute-t-il « Le système est devenu tellement tordu, tellement nuisible, que quand il commet des erreurs aussi monstrueuses que celles qui nous ont amené à la pandémie de Covid, non seulement lui n’en pâtit pas, mais s’enrichit ». Le capitalisme du 21ème siècle fortement dénoncé car « Il se nourrit de tout, transforme tout en marchandise, y compris le malheur et la catastrophe » a déclaré M. Mélenchon.

Jean-Luc Mélenchon souligne également la considération que porte, selon lui, Emmanuel Macron à la démocratie en refusant le débat lors des présidentielles et en reportant dans les législatives « la même stratégie nuisible, destructrice pour la démocratie, qui n’est pas de débat ». Selon M. Mélenchon « On ne peut parler de rien, on ne peut confronter aucune idée ». Un capitalisme sans limite toujours plus dangereux, NUPES veut y mettre un frein, si ce n’est lui imposer le mot : fin.  

Le débat impossible avec Emmanuel Macron, selon Jean-Luc Mélenchon, il le tient au meeting de Caen face aux citoyennes et citoyens

Jean-Luc Mélenchon monte sur la scène chaleureusement accueilli par son auditoire et pour tenir un débat face à « un monarque présidentiel » ne voulant nommer Jean-Luc Mélenchon 1er ministre, en rappelant que ce n’est pas inscrit dans la constitution. Lequel souligne la tradition qui a désigné Chirac 1er ministre sous la cohabitation, puis Lionel Jospin. Une tradition qui de facto doit s’appliquer de nouveau en faveur de Jean-Luc Mélenchon, ainsi qu’il le rappelle.

Le leader de la France Insoumise, arrivé troisième à la présidentielle, comme si ce chiffre trois s’imposait à la démocratie, et non plus celui de la dualité des présidentielles, met en valeur lors de ce meeting à Caen, le projet économique de NUPES. Il répond ainsi à ces adversaires voyant le soviétisme aux portes de Paris, si NUPES est en tête, et imagine déjà sa victoire célébrée par l’arrivée des chars russes sur les Champs Élysées.

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Jean-Luc Mélenchon qui annonce plutôt une nouvelle mesure qu’il souhaite soumettre à la coalition de la Gauche, la création « d’une autorité indépendante chargée des élections » pour éviter, selon lui, les dysfonctionnements lors des élections qui pourraient influencer le vote, commettre des entraves à la démocratie. De ce fait, le ministère de l’Intérieur n’organisera plus les élections. Pour Jean-Luc Mélenchon, « La France n’est pas une République bananière où les citoyens sont si peu considérés ». « C’est la souveraineté du peuple » qui doit primer, et « Du seul peuple » a affirmé M. Mélenchon.

Élisabeth Borne – la première ministre à qui Jean-Luc Mélenchon lance, « Qu’elle s’en aille !»

Jean-Luc Mélenchon reproche à Élisabeth Borne les décisions qu’elle a prises, notamment celle de reculer la fin de l’usage du sac plastique unique et il a rappelé la dangerosité du plastique pour l’environnement et la santé. Nous mangeons du plastique. « Revoir la copie de A jusqu’à Z », selon M. Mélenchon concernant l’usage du plastique hautement toxique pour l’environnement et qui se retrouve parmi un des problèmes majeurs : les déchets. Le plastique a favorisé la société du jetable, du gâchis, et sa pollution est sans précédent et pour de nombreuses années, même s’il était l’arrêt total de fabrication du plastique.

Jean-Luc Mélenchon évoque les nouvelles matières écologiques remplaçant le plastique.  Il s’agit de l’Algopack (100 % d’algues) et l’Agloblend (50 % plastique, 50 % d’algues). Algopack, c’est une société créée en 2010 à Saint-Malo en Bretagne.

« Qu’elle est la limite à l’exploitation : la résistance à l’exploitation, qu’elle est la limite au macronisme : la défaite du macronisme » exprime Jean-Luc Mélenchon

L’ambition de NUPES est de gouverner après les élections législatives pour mettre fin à un capitalisme destructeur, selon l’union de la Gauche.

Jean-Luc Mélenchon qui donne la parole au projet économique de la gauche tant décrié par leurs adversaires. Le leader de la France Insoumise cite alors le ministre de l’économie, Bruno Lemaire s’exprimant à propos du programme économique de NUPES, « Tous les pays qui ont mis en œuvre un projet similaire, collectivisation des moyens de production, augmentation massive de impôts et des charges sur les entreprises, redistribution des richesses qui n’ont pas été créées, tous ceux qui ont fait ça, se sont retrouvés sous la surveillance du FMI quelques années plus tard ».

M. Mélenchon confirme le progrès économique que porte NUPES, par la réponse donnée, « Ni le Venezuela, ni l’Argentine, ni la Grèce n’étaient dirigés par nous au moment où le FMI est arrivé pour proposer le programme ». M. Mélenchon souligne que « Si jamais le FMI regarde de trop près » les comptes de la France, il verrait que « ce pays est en récession », et il ajoute, « la production, c’est – 0,2 % au premier trimestre, en France ». Il précise aussi « l’inflation, le plus haut niveau depuis 37 ans » pour définir le bilan du gouvernement, comme il souligne que « le déficit du budget de l’État, c’est 140 milliards ».

Puis, il revient sur la réforme de l’éducation et l’autonomie des établissements scolaires choisissant « leur personnel et s’ils font de bons résultats, ils auront des sous. » Un principe expérimenté par le gouvernement actuel. « Si, vous les réélisez, ils iront au bout de cette histoire-là ». « Quel est ce bout ? » pose-t-il comme question, « c’est que si tu arrives avec ton bac – il y a 66 modèles, on ne comprend rien Quel lycée, quelle adresse ?  – Vous avez compris ! » le choix entre deux bacheliers, « ce qui va compter », ce ne sont pas les compétences, mais c’est là où habite la ou le jeune choisi, explique M. Mélenchon.

« 6 millions de chômeurs », le chiffre que Jean-Luc Mélenchon cite, en expliquant qu’il y a « 900 000 apprentis, autrement dit 900 000 faux emplois. Ce ne sont pas des emplois. Un apprenti n’est pas un employé. Un apprenti apprend son métier », selon Jean-Luc Mélenchon.

M. Mélenchon rebondit alors sur l’éducation « pour aider la nouvelle génération a allé le plus loin possible dans la qualification » pour aussi répondre à la transition énergétique, car « plus, il y a de qualifications, plus les processus s’améliorent », par l’amélioration aussi de conditions de travail, avance M. Mélenchon.

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Le macronisme : l’éducation en danger

« Avant début septembre, il faut débrouiller le sac de nœuds » fait par le gouvernement, selon M. Mélenchon. Soit, « Cette ignominie qui s’appelle parcoursup », cite en exemple le leader de NUPES.

Ce qui signifie, « Tous les pauvres à un endroit, tous les riches à un autre », exprime-t-il. « Autrement dit, la ségrégation permanente », a-t-il affirmé.

L’hôpital au bord du Burn out

« Tout en disant, on va aider les gens, ils suppriment 17 000 lits », a rappelé M. Mélenchon qui souligne également la problématique des urgences. Une influence car « les gens n’ont nulle part où aller », souligne-t-il en évoquant ainsi les déserts médicaux. « Les gens qui ne vont pas aux urgences, vous les retrouvez après car ils sont encore plus malades », expose-t-il. Évoquant également le paiement de 18 euros pour un passage aux urgences sans hospitalisation.

« Voilà, comment ils regardent les êtres humains » exprime Jean-Luc Mélenchon à l’égard de la politique d’Emmanuel Macron.  « Les gens n’en peuvent plus, les gens sont au bout du rouleau » a lancé M. Mélenchon à Elisabeth Borne. « Donc, il faudra utiliser toutes les méthodes possibles pour que les Français aient accès à un point d’urgence quand ils en ont besoin » propose le leader de NUPES. Pour ce faire, « Nous réquisitionnons tous ceux qui ont un métier de santé », précise-t-il et ajoutant, « Nous allons partager le travail avec aussi ceux du secteur privé ». « Donc, nous pouvons avoir du renfort dans le respect des congés annuels des gens ».

Un système effondrant

Sans citer le nom d’Emmanuel Macron et lui préférant le pronom, « il », Jean-Luc Mélenchon évoque l’engagement pris par Emmanuel Macron à la Commission européenne au nom de la France, « Il s’est engagé à ramener le déficit du budget de l’État à 3 % », et ajoutant, « Aujourd’hui, il est à 6,5 % ».

Pour obtenir ce résultat de 3 %, selon M. Mélenchon « Ou bien, vous faites un bond incroyable dans l’activité et vous remettez les comptes d’aplomb, ou bien comme vous êtes à moitié étouffé, vous n’y arrivez pas et vous partez à budget constant. Un budget constant pour revenir à 3 %, il faut enlever 80 milliards » Il souligne que « 80 milliards, c’est le budget actuel du ministère de l’Intérieur et du ministère de la Santé ». Ce qui signifie, selon M. Mélenchon, « La pire crise d’austérité ».

Un modèle inverse à celui de NUPES et Jean-Luc Mélenchon affirme : « Je vous garantis une chose : 1 – nous allons arriver. 2 – Je vais signer le smic à 1 500 euros. 3- Ils vont le faire ».

Jean-Luc Mélenchon s’exprime sur la police

« Je sais ne pas dire que la police tue. Mais, si je ne le dis pas, ils n’en parlent pas ». Jean-Luc Mélenchon revient sur les derniers événements dramatiques, « Le problème est qu’une jeune femme de 21 ans a pris une balle dans la tête ». Il rappelle que 10 balles ont été tirées.

« Demain, il y aura encore une police, mais une autre police » définit Jean-Luc Mélenchon. « Dans la police, il y a des milliers de policiers qui en ont marre d’être utilisés de cette manière-là », affirme-t-il en exprimant sa volonté de revenir aux gardiens de la paix qui apaisent une situation par une nouvelle conception de la police, remplaçant celle qui fait monter les tensions.

« Nous en sommes à 4 morts en quatre mois, c’est trop ! » dénonce M. Mélenchon. Il pose la question de métier, et souligne les gaz lacrymogènes utilisés sans respect des personnes. Puis, il revient sur l’événement du stade de France « Qui nous a ridiculisé aux yeux du monde entier ». Puis, affirmant « Je remettrai de l’ordre là-dedans ».

S’adressant aux policiers, Jean-Luc Mélenchon dit : « Espérez notre arrivée au pouvoir, car c’est elle qui va redonner du prestige à votre uniforme ». Et ajoutant, « Je ne suis pas d’accord pour qu’on dégaine, je veux une police de la paix ».

Une police constituée de policiers, mais aussi « de sociologues, et d’intellectuels qui comprennent ce qu’est la tâche de la police ». Puis, il annonce que la formation des policiers sera de deux ans et non plus de 6 mois. Il annonce également une police de proximité « faite de gardiens de la paix ». Il est également annoncé la fin des brigades motorisées, « Où il y en un qui tape, et l’autre qui conduit ».

M. Mélenchon propose « une police judiciaire plus nombreuse. Ceux qui s’occupent de réprimer la fraude, les trafics de toutes sortes ». Il évoque aussi les douanes pour lutter contre les trafics en rappelant que s’il n’est plus de frontières avec l’Europe, il est « Une frontière avec le reste du monde ».

Lutter contre le trafic d’armes, « Il y a 9 millions d’armes qui circulent dans ce pays » a souligné M. Mélenchon.

Contre une police violente

Jean-Luc Mélenchon évoque le président François Mitterrand lorsque la question sur la peine de mort lui fut posée et qu’« il a répondu clair et net  « Je suis contre », alors qu’ à ce moment-là, il aurait pu se défiler » et reprend-il  « Et, bien moi , je suis contre ce modèle de police ».

Conclusion

« J’essaie de faire avec mes camarades de faire une France apaisée, moins violente, moins à cran sur tous les sujets », affirme M. Mélenchon. « C’est mon devoir de dire haut, fort et clair ce qui m’apparait bon pour la patrie ».

À quelques heures de la fin de la campagne avant le premier tour des législatives, les candidats de NUPES fidélisés autour de la personnalité de Jean-Luc Mélenchon – qui joue son destin à travers celui de la France pour devenir premier ministre – appellent les Français à voter pour l’union de la gauche, comme le meeting de Caen, c’est fait la voix de NUPES auprès des Normands-es. Convaincre et garantir un changement allant vers la 6ème République qui gardera peut-être cette réconciliation de la Gauche pour établir le futur de la France, alors que l’enjeu majeur est non seulement de lutter contre le réchauffement climatique, mais aussi contre la triple crise planétaire qui pourrait lourdement toucher notre humanité, dont la crise climatique et l’ONU a alerté.

Au-delà des meetings des différentes formations politiques, il y a un choix primordial, protéger la nature pour protéger notre humanité en harmonie avec elle-même par la réconciliation et par ce chemin de paix, avec la Terre mère.

Fédora Hélène 

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