Un gouvernement et ces ministres accusés de violences sexuelles – L’art pour en parler : Triste valse – Fédora Hélène

@liberterradaily

Des minsitres en violence au trouble du pouvoir

La violence faite aux femmes et un gouvernement dont plusieurs ministres sont accusés d’avoir commis des violences sexuelles. Dernièrement, la Secrétaire d’état, Chrysoula Zachaeopoulou, a été visée par 3 plaintes, dont pour viols et violences gynécologiques.

Emmanuel Macron a reconduit la lutte contre les violences faites aux femmes pour son deuxième quinquennat pour tenter de respecter les engagements de l’ONU pour réaliser l’ODD 5. Mais, la violence s’impose, le pouvoir demeurant aux systèmes prédateurs, manipulateurs dans la complexité d’un long patriarcat, où des femmes acceptent la violence, et celles en reines du bal commettant des violences. Sujet prochainement développé dans LiberTerra dans un article : Les femmes et le pouvoir.

Politique, pouvoir et violences –
Ce trio issu de l’ancestral patriarcat qui brise des vies innocentes.
La parole des victimes se libère . Les femmes victimes de violences témoignent, ont le courage de porter plainte – ce qui est très éprouvant – et l’art donne une liberté, une respiration, un mouvement de lutte pour l’élimination des violences faites aux femmes.
Triste valse – Fédora Hélène exprime la parole libre des femmes victimes.
Et au loin, triste gouvernement et la violence … Un triste président qui ne pourrait répondre à la question : Pourquoi ? …

© LiberTerra

Triste valse 
Triste valse 

Trois pas, la valse, triste danse
Le corps d’une femme
Encore, encore la peine
La douleur, la violence
Tourne valse malheureuse

Je ne compte plus les blessures
Les drames et s’en va le cœur joyeux
Sous les averses d’été à la longue plaine
Ces hommes en soldat de violences
Ces femmes se faisant les reines du bal
Du dernier écho des cris, dernier écho des drames

Trois pas, la valse, triste danse
Le corps d’une femme
Encore, encore
La douleur, la violence
Tourne valse malheureuse

Sans autres mots, sans autre monde
Que nous reste-t-il pour espérer
Que nous reste-t-il pour rêver
À une valse de joie aux sourires
De l’amour, s’en vont les ombres
Tournoie le corps d’une femme
Sur les chemins de liberté

Trois pas, la valse, triste danse
Le corps d’une femme
Encore, encore
La douleur, la violence
Tourne valse malheureuse

Je m’évanouis loin de la foule
Et, les larmes coulent à la rue
Les averses de l’été, la longue plaine
Le regard triste, les murs aussi
Sauter le pas et s’enfuir libre
Au-delà des champs noirs
À la lumière au brouillard
La justice en deuil sur le parvis

Trois pas, la valse, triste danse
Le corps d’une femme
Encore, encore
La douleur, la violence
Tourne valse malheureuse

Fédora Hélène

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