Lumière sur – Droits des femmes en danger , notre humanité face à un défi majeur pour la liberté. Art – Triste valse – Fédora Hélène

Triste valse

2022 – L’aggravation des violences faites aux femmes ne cessent de s’ accélérer et ce triste jour où la Cour suprême des États-Unis annule le droit humain de l’avortement. Partout dans le monde , les femmes sont victimes de violences, d’indifférence inhumanité , leur corps violé, leur liberté de vivre en souffrance. Des politiques, idéologues, religieux confortant la haine, la cruauté comme valeur de notre humanité soumettant un être humain car il est femme à la constante de la violence, lui interdisant de vivre .

@liberterradaily

C’est la vie qui est blessée, la vie de millions de femmes à travers le monde, aujourd’hui la vie de millions d’ Américaines basculant dans l’obscurantisme. La politique de Trump, de l’extrême droite trahissent non seulement les droits humains, mzis la possibilité de réaliser la paix universelle, pour imposer leur pouvoir. La paix universelle qui ne peut vivre si notre humanité est cruellement séparée. L’égalité est le fondement de nos possibilités de survivre, mais surtout de vivre libre et par cette interprétation juste de notre humanité, vivre en harmonie dans le respect de notre Terre mère.

Cet arbre féminin plongeant ses racines au fond de l’ océan, se faisant veines de notre Terre et notre lien à tous. Le droit de vivre libre est ce que nous enseigne la lumière, énergie première et non maîtrisable qui fait notre univers, nous transmet la vie sur Terre, et seule la liberté est son mouvement perpétuel. La définition même de l’infini est la liberté. Elle est cette progression donnant l’équilibre parfait , permettant la prospérité de l’ univers qui a rendu possible la vie sur Terre. L’univers progresse toujours vers la vie. Sans cette Naissance, la vie sur Terre n’ existerait pas et les politiques ne seraient pas à leurs délires, folies conscientes établissant le chaos. Ce lent moteur du pouvoir qui durant des siècles a détruit la création de la paix universelle par l’orgueil, la cupidité, la haine qui sont les fruits de sa récolte. Si l’ univers agissait comme l’extrême droite, les droites extrêmes, il n’y aura pas eu l’apparition de la vie sur Terre , car l’univers aurait été cette masse sombre sans aucun sens, évolution possible, croissance de la lumière et donc la vie , car privé de liberté.

Aimer, cet invisible qui permet une force de vivre est par la liberté que rien ne peut tuer, qui est cet infini, non par la recherche de la vie éternelle, mais par la recherche de l’harmonie, du respect du consentement à la liberté, des choix et rêves de chacun d’entre nous. Contraindre à la douleur, enfermer dans la souffrance, mettre la santé de millions de femmes en danger, ce qui l’interdiction d’accès au droit à l’avortement, c’est au-delà de ce fait, instruire une société de négation contre les droits humains qui ne peuvent être séparés. C’est fortifier les violences faites aux femmes, la culture du viol, un patriarcat mortifère, le racisme, les fortes inégalités, les violences politiques et économiques, faire de la justice son contraire. C’est user d’une grave malhonnêteté en se servant de la religion pour justifier l’injustifiable. Il n’y a pas de raison pour mettre la vie de femmes en danger, pour martyriser leur corps humain, les contraindre à une grossesse et à un accouchement forcé.

Les femmes doivent prendre seules leurs décisions, faire leurs choix sans avoir à se justifier, sans subir de pressions, de chantages, une culpabilité. C’est leur corps, leur choix, le précieux de l’intime.

Le droit à l’avortement, à avorter en toute sécurité est un droit humain qui doit être inscrit dans la constitution pour la France et dans la Charte de l’ Union européenne. Ce que les femmes subissent en Pologne, cela doit cesser. Les mouvements anti-IVG ne doivent pas se penser puissants après les basses manœuvres politiques de l’extrême droite, mais savoir qu’une forte opposition internationale se dresse pour protéger les droits humains et que le droit à l’avortement est un Traité de paix auquel les pays doivent s’allier.

La guerre contre les femmes est celle qui est aussi faite contre la nature. Dominer, posséder – des verbes détourner pour nuire, penser par des personnalités, idéologies toxiques et inventées, issues de mental prédateur et auto-destructeur. Ils détruisent pour acquérir l’impression de ne pas se détruire eux-mêmes. En rendant le monde à leur image, ils pensent s’aligner sur cette courbe et échapper à leur folie suicidaire. Si le monde est suicidaire alors je corresponds à l’environnement , je suis similaire et c’est lui qui détruit et non moi qui me détruit. Détruire les autres pour penser ne pas se détruire soi-même ! L’extrême droite est dangereuse, les droites conservatrices le sont et propagent un capitalisme destructeur, un racisme contre la vie elle-même.

L’être humain n’est pas sur Terre pour construire la guerre, mais la paix. Il a la capacité d’inonder le monde de son amour et de protéger la Terre . L’être humain est issu de la Terre, de l’univers et possède en son ADN cette mémoire. Il constitue un équilibre, une unité. Un de ses plus grands défis est de constituer la paix universelle. C’est aujourd’hui notre lutte, la priorité. Ce n’est pas la domination politique, la croissance économique, la réforme des retraites s’inscrivant dans le passé et non l’avenir, ce n’est pas le capitalisme donnant à l’argent un pouvoir fou mettant en danger la biodiversité, l’équilibre de l’océan, ce n’est pas un langage numérique unique détruisant les cultures et langues, et finissant par devenir irréversible, et incompréhensible à notre humanité.

Son utilisation pour établir l’homme surveille, contrôle l’homme, comme des données numériques sont surveillées pour dénoncer des femmes ayant recours à l’avortement alors que ce droit leur est interdit. Ce que des Américaines habitant au Texas dénoncent. « La prime à la délation » que le Texas a déjà mise en place. Cette délation, surveillance de tout et tous qui est en Chine. Cette surveillance dont usent de nombreux gouvernements par Big data et l’ IA.

Ce langage numérique qui est la seule possibilité de pouvoir des gouvernements face à la démographie, une population augmentée et instruite. Aujourd’hui, des jeunes sont plus diplômés que des politiques voulant dominer le monde, se faisant les oppresseurs, imposant à leur population des lois, un capitalisme menant droit dans le mur notre humanité.

L’ administration en arme obéissante est un outil du pouvoir et par le numérique, elle impose toujours plus une main mise sur la liberté. La justice se fera le bras droit pour servir l’injustice, car comment imposer l’interdiction du droit à l’avortement, sans utiliser la justice pour battre la liberté ! Une justice qui dans de nombreux pays ne sert que le pouvoir politique et se fait complice des violences faites aux femmes.

En France, la justice demeure sourde et étouffe la justice en ne protégeant pas des femmes victimes de violences, en n’écoutant pas avec empathie, selon les recommandations de l’ ONU, en marquant de graves défaillances le courage de témoigner qui est le sens premier de la justice. La force de témoigner, de porter plainte alors que la justice provoque des traumatismes supplémentaires, se fait l’autre violence. La France a beaucoup à faire et les États Généraux de la Justice sont à leur lourd silence. Les manipulations politiques ne masqueront rien et la souffrance jaillira comme un volcan.

En France, le renforcement de la loi pour l’avortement a obtenu 30 % de voix contre et l’application de la loi est toujours absente. Une droite conservatrice qui se glisse toujours aux postes des pouvoirs , une extrême droite en force à l’ Assemblée nationale – la décision de la Cour suprême doit alerter, doit faire prendre conscience que la démocratie est toujours plus en danger. Une alerte est là, les luttes féministes sont durant toute la vie d’une femme, et de chacun d’entre entre nous, car sans une humanité réconciliée, sans l’égalité, sans une justice véritable en don de paix, notre proche avenir montrera le déclin de notre humanité.

Le gouvernement français ne doit pas se contenter de condamner la décision de la Cour suprême, il doit protéger les femmes, donner la possibilité d’une justice qui apaise, donne vie à la paix, une société qui cesse d’infliger des violences économiques dont les femmes sont les premières victimes, dont les mères isolées.

Gouverner seul , la monarchie élective à démontrer sa dangerosité en faisant entrer un groupe d’extrême droite à l’Assemblée nationale . Tout s’oppose à tout, et le « coûte que coûte » d’ Emmanuel Macron est une grave erreur. Son entêtement, laisser certains milliardaires murmurer à l’oreille des pouvoirs, pourraient provoquer un effondrement sans précédent. L’ insécurité alimentaire est ce témoin, les violences faites aux femmes en augmentation, la grave décision de la Cour suprême – les signaux d’alertes sont en rouge.

Laisser faire, ce n’est pas possible. Chacun selon ses moyens, par des actes pacifiques, peut lutter pour l’universalité de la paix. Un Conseil de la Résilience serait une solution de gouvernance protégeant les droits humains, les droits des femmes, la nature pour fonder un avenir serein par le consentement à la liberté.

©️ Fédora Hélène

@liberterradaily
Triste valse 

Trois pas, la valse, triste danse
Le corps d’une femme
Encore, encore la peine
La douleur, la violence
Tourne valse malheureuse

Je ne compte plus les blessures
Les drames et s’en va le cœur joyeux
Sous les averses d’été à la longue plaine
Ces hommes en soldat de violences
Ces femmes se faisant les reines du bal
Du dernier écho des cris, dernier écho des drames

Trois pas, la valse, triste danse
Le corps d’une femme
Encore, encore
La douleur, la violence
Tourne valse malheureuse

Sans autres mots, sans autre monde
Que nous reste-t-il pour espérer
Que nous reste-t-il pour rêver
À une valse de joie aux sourires
De l’amour, s’en vont les ombres
Tournoie le corps d’une femme
Sur les chemins de liberté

Trois pas, la valse, triste danse
Le corps d’une femme
Encore, encore
La douleur, la violence
Tourne valse malheureuse

Je m’évanouis loin de la foule
Et, les larmes coulent à la rue
Les averses de l’été, la longue plaine
Le regard triste, les murs aussi
Sauter le pas et s’enfuir libre
Au-delà des champs noirs
À la lumière au brouillard
La justice en deuil sur le parvis

Trois pas, la valse, triste danse
Le corps d’une femme
Encore, encore
La douleur, la violence
Tourne valse malheureuse

Fédora Hélène


@liberterradaily

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