
Les glaciers emblématiques du patrimoine vivant de la Terre risquent de disparaître d’ici 2050
COP 27 –
Une débauche d’argent, de fausses promesses écologiques qui commencent par l’utilisation de plus de 400 jets privés.
COP27 , et ce sont plus de 400 jets privés utilisés pour amener celles et ceux décidant pour toute la planète de son avenir.
Si nous ne voyons pas cet immense délire !
La Terre fera son choix et l’humanité en subira les douloureuses conséquences qui sont déjà notre présent, mais qui seront à l’avenir une catastrophe pour les générations futures.
Qui arrêtera l’industrie ?
Lundi tout recommencera comme chaque semaine. Ils ne s’arrêteront pas et le nucléaire ne représente que des milliards de gain. S’il avait été la solution, il ne serait pas cette accélération du bouleversement climatique planétaire.
Le nucléaire n’est pas une nouveauté.
Rien ne l’est, puisque ce sont toujours des systèmes anciens qui sont la référence.
La guerre. Ils font la guerre à la Terre, comme ils le font entre êtres humains.
L’important n’est pas de continuer une croissance économique dévastatrice, il est de survivre et de donner à nos enfants la chance d’une Terre.
Des enfants qui dès lundi retourneront dans des écoles conditionnant, faisant les outils pour servir une économie qui détruit leur avenir.
Nous payons cher le droit d’apprendre à lire et écrire, et cela depuis des décennies.
L’école est devenue l’ annexe du monde politique et administratif, au service d’une économie de profits, de concurrence, où l’enfant y apprend les lacunes et non le savoir, le bien-être, le bonheur, la liberté.
On contraint les enfants à un endoctrinement, à des normes, statistiques, profits et autour d’eux leurs futurs ferment chaque jour une porte de la chance.
Nous avons appris à servir , à obéir, à avoir peur, à craindre les puissants, à respecter ce qui détruit, à perdre la confiance, à être divisés entre ceux jugés premiers et ceux jugés derniers.
Un enfant jugé dernier. C’est cela les écoles loin de la liberté, loin de la joie d’apprendre.
L’école, où il est la violence car elle est le reflet d’une société violente dont elle se fait la servante.
Des élèves, des enseignants, des parents, combien ont souffert dans ce système scolaire ?
La répression si invite et il est de l’entendre de la bouche d’administratifs eux mêmes conditionnés, eux-mêmes avec leurs traumatismes et qui appliqueront méthodiquement une pensée d’ algorithmes, de statistiques.
L’école est une chose magnifique, ils en ont fait un produit.
Si les politiques étaient sincères, ils auraient commencé par révolutionner l’école et mettre en son cœur, la liberté, le bonheur, la joie d’apprendre. Ce n’est pas le cas.
Alors, il sera une débauche d’argent à la COP 27 et des discours politiques faits de fausses promesses écologiques, d’argent, de géopolitique à la guerre au bout des mots.
La Terre , notre chance, notre vie
Notre Terre en souffrance est le langage de nos larmes versées en source d’éternité pour la paix libérée des fardeaux, des guerres, des violences. Des hommes jettent un long voile sur l’espoir, et ne veulent jamais ouvrir leur cœur à la lumière.
Des siècles de guerre, le sang gravant les sillons, dessinant les veines des éclairs, forgeant l’écorce sinueuse des arbres courant vers le ciel pour chercher le jour quand l’homme pose la nuit sur les étoiles, et disparaissent au jour les espoirs. Il nous faudrait tant d’amour pour apaiser les fleuves de souffrances, consoler les peines, l’enfant ayant faim de vie et mourant sous le feu des armes. La guerre mondiale de la faim, les hommes ont inventé l’économie, le drame.
Ils ont dressé la table des puissants, ont blessé le corps des femmes, ont trahi les chemins de paix et tari la source d’eau pure pour bâtir des empires de poussière.
L’eau, le vent ne frôlent plus les champs, les branches de nos familles. Le vent se brise sur les murs de béton et l’eau ne pénètre plus la terre. Elle ne se reflète que dans un ciel de verre, où les gouttes prisonnières s’écoulent en dernière vie. Le carreau froid en fenêtre sur notre monde, reste fermé et ne s’entend plus le chant de la pluie. L’homme a bandé ses yeux, il ne regarde plus la magie de la nature. Son corps est séparé de sa Terre, du son qui jadis vibrait en lui. Il a laissé loin derrière lui la nature, sa Terre.

Les enfants privés d’horizon, enfermés dans l’infernal système et personne ne veut être libre. Les adultes ont fermé leur cœur pour gagner des richesses artificielles et l’enfant est devenu l’héritier de ces trésors de sable filant déjà entre leurs doigts.
Les politiques filant toujours le même coton avancent des chimères, les mensonges, fausses promesses pensant retenir le monde, acheter une paix pour huile des rouages. Être l’outil de la machine infernale, on perd notre vie, la vie s’éloigne de nous. L’oiseau n’est plus sur la branche, il est au cercueil que nos sociétés dressent pour lit de l’avenir.
Notre monde a besoin d’amour, de liberté, que les hommes le laissent en paix.
Le repos, mettre nos industries en sommeil, laisser les champs se reposer, la nature agir, revenir à la confiance, ce dialogue entre la Terre et nous. Notre humanité plus jamais séparée de la vie, les enfants grandissant en liberté.
L’ école actuelle pour conditionnement apprend aux enfants un monde économique qui nous conduit à notre perte, ordonne les êtres en pions des systèmes, en outils de profits en concurrence les uns avec les autres. L’enfant y apprenne le mot lacune, qui deviendra : insertion, précarisation , pensant la réussite en objet de valorisation, d’ achats d’heures de liberté, d’une alimentation améliorée pour gains d’ abondance quand la générosité de la Terre est exploitée, vendue telle une esclave.
La liberté est devenue le loisir soumis à une hiérarchie sociale, un investissement financier. Les pays riches consomment de la liberté, donc ils privent les populations pauvres et la nature elle-même.
L’éducation soumise à cet ordre politique et économique, devenant une machine de rendement, la sonnerie d’usine quand le monde ouvrier disparaît, la pointeuse à la porte, les rapports des chefs en avertissement, la surveillance et la répression en solution des échecs d’une société de violences conçues et voulues.
On paye cher le droit d’apprendre à lire et écrire. Ce bien commun à notre humanité devrait être un partage, une gratuité sans prendre en échange les rêves, le temps, la liberté.
Créons l’école de la liberté, donnons aux enfants la chance de bâtir un nouveau monde qui ne pourra pas survivre sans égalité, fraternité, sans être délivré du pouvoir donné à l’argent.
Bâtissons les chaumières de l’espérance à la force d’accueillir avant que nos frontières se ferment pour penser survivre sur une Terre blessée. Les champs assoiffés, les cultures brûlées au sel des pleurs de l’océan, des volcans versant le feu en nouvelle ère. Nos futurs au combat avec la Terre, nous serons les perdants.
Établir l’harmonie, sacrifier ce qui détruit pour survivre demain. Établir un langage de confiance avec notre Terre mère, mettre fin aux profits ruinant le monde, penser avec un soleil : notre âme au cœur de notre cœur. Ouvrir les portes des possibilités, la gratuité, la solidarité, le partage.
La générosité sera le ferment levant le pain, l’abondance au cœur nouveau, un printemps, une chance, nous devons être cela. Les politiques renversées, les États ont signé leur fin. La démocratie en étoile de justice, le peuple délivré de la pauvreté. C’est le dernier choix.
Les puissants devront revenir un parmi nous, signant la fin des armées, quand le dernier orage aura éclaté sur notre humanité se couvrant d’un voile blanc pour drapeau de paix.
Fédora Hélène

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