
Le 25 novembre s’ouvre la Journée mondiale de lutte contre les violences faites aux femmes –

La Journée internationale pour l’élimination de la violence faite aux femmes a été instauré le 25 novembre 1999 par l’ONU. Le 25 novembre, une date en hommage aux trois sœurs Mirabal, militantes dominicaines qui ont été assassinées sur ordre de Rafael Trujillo, chef d’État. Luttant pour la liberté, opposantes au dictateur, continuant la lutte malgré les lourdes menaces pesant sur elles et leurs proches, dont leurs époux incarcérés, elles seront brutalement assassinées le 25 novembre 1960.
À travers le monde, des femmes luttent par leur force de survivre, par leur paix pour la liberté qu’elles veulent porter en triomphe, non pour uniquement leur cause, mais pour notre humanité qui subit depuis de longs siècles les inégalités, discriminations, la sépartion, la violence extrême d’hommes brisant au cours de leurs actes cruels, la vie.
La vie mise en danger quand ils brisent une femme, ils effondrent un arbre. Les liens universels qui unissent notre humanité sont par la fraternité, la nature en osmose avec l’humain, elle qui nous permet de survivre.
Cet état de survivance qui nous fait traverser les guerres, les crises mondiales qui accablent les plus vulnérables et placent les femmes et les enfants au front de la misère. Notre Terre mère en danger, cette fin de l’abondance de ses richesses naturelles pour servir le mental prédateur d’un système qui plonge l’universalité de la paix dans le néant, cet espace inventé par l’homme et que la violence maintient, étouffant la lumière de la paix par l’obscurité de la cruauté envers les femmes, comme il est cette exploitation de la terre , sans conscience, pour servir sans limite la cupidité.
Nous savons que sans le respect de la vie des femmes, il ne sera aucune sincérité pour préserver la nature. Des sociétés qui acceptent la violence envers leur propre soeur, ne protègeront pas l’eau d’une rivière. La conscience de la vie n’est séquencée, elle est une pour toute vie, pour la vie.
Puis, n’ont-ils pas compris qu’une femme est un être humain ? Des femmes fouettées en public en Afghanistan, des femmes assassinées et cela est aussi en Iran. Des tyrans brisant également la vie merveilleuse d’enfants qu’ils tuent.
La pureté de leurs larmes défuntes s’élance dans un ciel assombri et pleure sur notre Terre cette pluie fine en rivière et coulant vivante à travers les sillons, où se sèment l’espérance par les forces vives de femmes luttant par la paix.
Comment pourrions-nous croire perdues à jamais cet amour se battant pour la liberté, ces jeunes vies brutalement assassinées par la barbarie.
Ce 25 novembre 2022 ne doit être uniquement une Journée internationale comme un pas de plus marquant nos sols de la souffrance de femmes, d’enfants douloureusement atteints par la violence d’hommes ayant fait le choix d’être les ennemis de leur propre humanité et faisant de leur corps cette arme frappant, violant, tuant un être humain, car il est une femme mais une révolte devenant la révolution de nos sociétés.
Femmes et hommes, tous unis, contre la violence de tyrans – voilà ce que le 25 novembre prochain doit inscrire, l’universalité de notre humanité.

Il n’est pas uniquement d’illuminer des bâtiments publics en orange, il est de respecter les droits humains des femmes chaque jour de l’année, et de prendre conscience que des femmes maltraitées, assassinées par leur partenaire, par des dictateurs, sont parfois aussi des mères et que se sont des enfants co-victimes de violences, des enfants victimes de violences, des enfants orphelins car leur mère a été assassinée par la cruauté d’un barbare.
Ce sont des femmes survivantes de violences qui ne reçoivent aucune reconnaissance, aucune justice et qui sont plongées dans l’isolement, la précarité et leurs enfants sont niés par il est la fausse égalité des chances dans un système qui brille par le pouvoir donné à l’argent. Un système qui sépare les enfants entre riches et pauvres, et alerte l’UNICEF et ses partenaires, des centaines de millions d’enfants à travers le monde n’ont jamais eu autant leurs droits humains bafoués.
Une violence sur tous les continents, y compris en Europe, y compris en France. Les discriminations font rage, la pauvreté est en augmentation, et les violences multidimensionnelles s’abattent sur les femmes, et d’autant plus sur les femmes précaires, mises en état de vulnérabilité financière par le même système qui protège des prédateurs.
Pourquoi la France fait-elle partie de l’ONU si c’est pour jouer la vitrine brillante en cache-misère ! Ce sont des centaines de milliers de femmes et d’enfants victimes de violences, subissant très injustement la pauvreté car un tyran domestique a détruit leur vie !
Le droit à réparation, à la reconnaissance, est un droit humain. Le droit de la victime de savoir son bourreau condamné, également.
La mission de la justice est de protéger des vies. Elle n’est pas pour servir une carrière, des ambitions politiques, exercer un pouvoir bonapartiste, ou papoter avec M. Bolloré, ou autres comme quelques magistrats ont pu le faire.
Il est également de ne pas oublier que les magistrats-es se doivent de respecter les Conventions internationales luttant contre les violences faites aux femmes, d’écouter avec empathie les victimes, selon les recommandations de l’ONU.
Qu’ils ont l’obligation d’être formés quand ils ont la charge de dossier de violences conjugales et sexuelles. Et, qu’il est de respecter les ODD, engagement de l’ONU et des États membres.

Nos civilisations formant les guerres comme protègeraient-elles la vie des femmes ?
Les violences faites aux femmes révèlent un mental de société portant les discriminations, le racisme, le colonialisme, un bonapartisme en valeur de politique pour essence condamnant la démocratie, la liberté et l’universalité de la paix, qui est la voix de la protection de notre humanité en osmose avec la nature. Une démocratie absente et il est l’échec à la dernière COP 27. Nous croyons que tout est séparé, quand tout est uni. Les droits humains ne peuvent être séparés des uns des autres, et doivent ensemble être respectés.
Un monde se pliant à l’autorité d’États qui ont oublié qu’ils étaient dirigés par des êtres humains, nos semblables, et qu’aucun être humain ne peut être supérieur à un autre. Pourtant, c’est bien ce qu’il règne à travers le monde. L’État est une matrice, un système que des femmes et des hommes veulent garantir plus que l’humanité elle-même. Nous sommes des empires aux jeux des pouvoirs, cette matrice commandant l’ordre établi et comprenant la liberté comme la plus dangereuse des dimensions, par la conscience qu’elle porte, par l’immensité de la vie dont elle est l’énergie.
L’amour , notre chance de vivre !
Rendre aux femmes leur vie, leur liberté, devenir ce que nous sommes : Une Humanité, Une Terre – serait aller vers une économie de partage reconnaissant la générosité de la Terre, que notre cœur bat grâce à elle, que nous sommes des êtres humains libres et égaux et ne devant dominer que par notre volonté de protéger les plus vulnérables, ainsi que la nature que nos systèmes mettent en péril.
Nous avons conçu ce qui détruit et nous poursuivons dans cette voie de production, d’industrialisation, de séparation entre riches et pauvres, de mise en artificialisation la vie qui devient une entité dans la Métaverse.
Vivre en virtualité sans eau, ni fruits de la Terre, ni oxygène que par l’artificiel de la nature qui se présente à nos yeux par la virtualité de l’existence. Les pauvres abandonnés et les populations riches appelant à toujours plus de surveillance de l’homme par l’homme, à toujours plus de langage numérique en seul dialogue, en toujours plus de technologie, de chimies dans l’espérance de créer une survie artificielle codifiée par l’IA.
Nous pensons vraiment que nous allons lutter contre les violences faites aux femmes dans ce monde qui grandit vers le mensonge, le sacrifice de vivre, le sacrifice de la liberté pour penser subsister dans un monde qui s’écroule, dans une civilisation vivant le commencement de son effondrement.
L’économie en partage sauve des vies
Combien aujourd’hui donnerait un logement à une femme victime de violence pour accueillir en dignité les plus fragiles ? Combien de portes ouvertes quand les promotions immobilières bétonnent les villes et dressent des murs contre la liberté, mais acceptés car ils ont une valeur d’argent.
Combien de milliers de mètres carrés de bureaux vides quand des femmes dorment à la rue avec leurs enfants, sont transportées de foyer en foyer, sont à ne pas choisir l’endroit où elles vivent.
Les injustices brisent, la justice ne respecte pas la vie. Malheureusement, elle n’a pas pour mission de se faire plus petite que pour être à la portée des plus vulnérables. La justice est un pouvoir politique, elle est issue de la monarchie absolue qui se prononce dans les Empires dont nos Républiques s’inspirent, et la monarchie élective se pose sur le blanc d’un drapeau. La douce colombe de la paix consolant le cœur de toutes et tous n’est donc pas la blancheur inspirant le drapeau de la nation. La monarchie trône au centre du drapeau français, le blanc : la couleur du roi.
Le thème 2022 du 25 novembre est : TOUS UNIS !
Les jours activistes pour lutter contre les violences faites aux femmes seront jusqu’au 10 décembre, Journée internationale des droits de l’homme. Des jours militants qui sont sous l’égide du mouvement #MeToo, fondé par l’activiste Tarana Burke en 2006, et ayant pris de l’ampleur en déclenchant une mobilisation mondiale par la conscience de l’urgence à agir pour secourir des femmes et des filles, pour ôter ce voile noir qui couvre la liberté de millions de femmes à travers le monde.
Orange le monde, une campagne menée par le Secrétaire général des Nations Unies et ONU Femmes depuis 2008, et visant à anéantir les violences faites aux femmes et aux filles dans le monde entier.
Des violences qui sont à l’égard des femmes, sans limite et la France accepte que des hommes violents anéantissent des vies quand 80 % des plaintes pour violences conjugales sont classées sans suite, quand il est le parcours des combattantes dans les couloirs sombres du système judiciaire à la perversité des lois. L’innocence punie, et le drame des placements abusifs d’enfants victimes, et laissant les mères protectrices à un long chagrin, traumatisées. Les gouvernements et la justice devraient demander pardon aux enfants, ainsi qu’aux femmes et mères victimes de violences multidimensionnelles, et entendre leurs pleurs de souffrance.
Ces larmes transperçant la nuit et nous montrant les chemins de paix. La paix de ces femmes survivant à la cruauté, et relevant notre humanité de l’aride des injustices, de l’aveuglement de politiques, de celles et ceux qui savent pertinemment la dangerosité d’hommes violents et qui condamnent les vies innocentes dans ce néant, l’absurde de systèmes suicidaires.
Le 25 novembre, des palais de justice devrait revêtir le noir du deuil de la justice en don de paix, et compter inlassablement les centaines de milliers de femmes victimes abandonnées chaque année, en France.
Si l’orange illumine tel un soleil, le système judiciaire sera ce jour-là à son obscurité. Nous devrions accrocher aux barrières des palais de justice, un ruban noir pour chaque femme maltraitée, chaque femme violée, chaque femme assassinée par un partenaire et leur agresseur demeurant impuni. Puis, un ruban blanc pour chaque enfant pleurant la douleur infligée par ces pères de violences, de haine sans une once d’amour en eux. Des prédateurs attaquant des enfants, des femmes, des femmes enceinte. Ces agresseurs impunis car un système prédateur ne peut poursuivre son propre reflet.
Ces mères condamnées car elles protègent leur enfant, ces mères désenfantées par des jugements persistants et brisant l’humain, ne les oublions pas.

2023 : La Déclaration sur l’élimination de la violence à l’égard des femmes fêtera ses 30 ans
La Déclaration sur l’élimination de la violence à l’égard des femmes, adoptée par l’Assemblée générale des Nations Unies en 1993, aura 30 ans en 2023. 30 ans se sont écoulés sans qu’elle soit véritablement respectée à travers le monde.
Lorsqu’un homme violent est poursuivi pour violences conjugales, pourquoi n’est-il pas condamné non pour uniquement un coup, un viol conjugal, mais aussi pour avoir privé un être humain de sa liberté, de sa dignité, d’avoir provoqué un traumatisme marquant toute une vie, d’avoir mis en état de vulnérabilité, d’esclavage un être humain en le brisant par la violence, d’avoir par le mariage, la notion de couple dans la culture patriarcale, acheté un être humain qu’il prend le droit d’anéantir maltraitances après maltraitances. En France, la justice effaçant des témoignages, la mémoire de victimes, quand il est le classement de 80 % des plaintes et les 20 % restantes perdues dans le labyrinthe judiciare aux lourds frais d’avocats.
Puis, combien de fois des femmes n’ont pu porter plainte ? Combien de fois, ont-elles subi des violences, pressions, menaces pour avoir osé témoigner, que cela soit par leur partenaire, mais également par l’entourage, par la justice qui parfois sur traumatise les femmes au courage de témoigner de violences conjugales et/ou sexuelles.
30 ans – Une pierre coulant au fond des océans de larmes : les droits humains des femmes bafoués.
Aujourd’hui, la révolte pacifique doit se lever, ne plus accepter lesc injustices qui détruisent des vies innocentes, qui font perdurer un système d’impunité, de fausses promesses politiques.
Ce sont des femmes et des hommes qui se lèvent contre les violences faites aux femmes, aux filles et aux enfants.
Liberté en souffrance
Les tyrans ont fait de la liberté, une flaque de sang. Des enfants, des femmes sont tués en Iran pour lutter pour la liberté, criant: Femme Vie Liberté ! Des femmes en Ukraine victimes de violences sexuelles commises par des soldats russes, des femmes en Afrique victimes de milices armées, puis au silence de la faim emportant la santé et parfois la vie de leurs enfants.
Dans le monde entier, les violences sexuelles, les violences conjugales, le viol conjugal, des femmes subissent chaque jour cette cruauté, ces crimes incalculables détruisant la vie. Les violences faites aux femmes constituent un crime contre notre humanité.
La justice est le peuple libre !
« Considérant qu’il est urgent de faire en sorte que les femmes bénéficient universellement des droits et principes consacrant l’égalité, la sécurité, la liberté, l’intégralité et la dignité de tous les êtres humains ». Déclaration sur l’élimination de la violence à l’égard des femmes – 23 février 1994.
« Tous actes de violence dirigés contre le sexe féminin, et causant ou pouvant causer aux femmes un préjudice ou des souffrances physiques, sexuelles et psychologiques, y compris la menace de tels actes, la contrainte ou la privation arbitraire de liberté, que ce soit dans la vie publique ou dans la vie privée. »
La violence globale contre les femmes et les filles est sans limite. Ce sont des formes de violences physiques, sexuelles, psychologiques, économiques, rappelle la Déclaration de 1994.
L’ONU rappelle qu’il est :
– La violence d’un partenaire intime : les coups, violences psychologiques, menacent de mort, menaces envers les enfants, menaces de faire enfermer une femme en psychiatrie et de faire placer ses enfants dans un foyer, viol conjugal, féminicide – Ces hommes cruels opèrent méthodiquement la négation de la vie des femmes, détruisent consciemment une vie, préméditant leurs actes criminels qu’ils font subir de manière récurrente à leur partenaire.
– La violence sexuelle et le harcèlement : viol, actes sexuels forcés, avances sexuelles non désirées et le harcèlement dans la rue, harcèlement criminel, cyber-harcèlement.
– Le trafic d’êtres humains : esclavage, exploitation sexuelle
– La mutilation génitale féminine
– Le mariage précoce, le mariage forcé
La justice n’a jamais véritablement respecté l’universalité des droits humains qui ne peuvent être séparés, n’a jamais accéder à l’universalité de la liberté, de la paix pour les femmes en donnant aux Survivantes de violences leur droit à la justice, reconnaissance et réparation.
Des gouvernements et systèmes judiciaires qui n’ont pas protégé des femmes et des enfants, victimes de violences. Il n’est pas tous, mais quelques cas entendus, et ce sont souvent des frais coûteux d’avocats dans de nombreux cas, divisant le pauvre et le riche, divisant les uns et les autres, faisant peser sur les épaules des victimes souvent précaires, une charge insurmontable.
Des femmes souvent seules, isolées et combattant en ne comptant que sur leurs forces. Leur santé atteinte toujours plus gravement, comme si la souffrance des violences conjugales et sexuelles ne suffisait pas. Un système judiciaire cruel, qu’il n’est pas d’accepter, auquel il est de désobéir tant il traumatise, humilie, abandonne des femmes et des enfants victimes de prédateurs.
Femme Vie Liberté dans le monde entier !
L’indifférence de la communauté internationale qui se contente de discours. C’est en Afghanistan, en Iran, et dans le silence à travers le monde où toutes les 11 minutes une femme est tuée par son partenaire. Ce sont les femmes Ouïghours. Les Oubliées, les femmes qui depuis des siècles luttent par la paix, leur force de survivre et que des hommes cruels traumatisent, maltraitent, assassinent.
Eleanor Roosevelt affirmait que si les gouvernements ne veulent pas protéger une femme dans son foyer, qui sans plus de refuge est traquée, attaquée par celui censé l’aimer, comment pourraient-ils lutter contre les violences faites aux femmes par des tyrans, oppresseurs à l’échelle d’une nation !
« Où commencent les droits universels, après tout ? Ils commencent près de chez soi, en des lieux si proches et si petits qu’on ne peut les voir sur aucune carte du monde. […] Si dans ces lieux, les droits sont dénués de sens, ils n’en auront guerre davantage ailleurs. Si chacun ne fait pas preuve du civisme nécessaire pour qu’ils soient respectés dans son entourage, il ne faut pas s’attendre à des progrès à l’échelle du monde » Eleanor Roosevelt.
Femme – Vie – Liberté dans le monde entier
C’est notre chance de bâtir des futurs heureux, de créer un équilibre, d’harmoniser nos sociétés autour de la paix et de la liberté, c’est offrir aux enfants le droit de grandir en paix et l’assurance qu’ils n’auront pas à franchir au cours de leur vie les marches obligatoires de la violences que des femmes et filles sont contraintes de franchir chaque jour pour espérer survivre.
Des femmes et des filles qui voient leur vie détruite sous leurs yeux, leurs pas comme immobiles, se heurtant à chaque fois à une nouvelle marche que le patriarcat dresse devant elles.
Liberté ! Liberté aux femmes et filles dans le monde entier – le droit de vivre, nous sommes nées pour vivre !
Nous sommes nées pour Vivre !
À travers le monde, des femmes sont maltraitées, violées, assassinées, des filles subissent ses violences dès leur enfance et durant leur adolescente. Elles apprennent par les larmes, qu’elles sont des femmes.
Vous pensez nos sociétés évoluées, vous vous trompez.
Chaque jour, dans le monde des femmes et des filles, des enfants, leurs enfants tombent sous les coups de la violence.
La liberté est cette flaque de sang , elle est là, et les femmes, les hommes frères crient de la douleur, de l’immensité de leur chagrin, liberté !
Voyez comme les systèmes d’argent ont porté une fausse liberté, laissant mourante celle véritable.
C’est notre humanité, la Terre qui sont l’expression réelle et vivante de la liberté, c’est l’amour qui en est la lumière.
Les richesses ternissent le ciel et l’eau, en un reflet, ils ne sont qu’un, comme notre Humanité est Une sur Une Terre.
Libérer notre humanité de la violence des pouvoirs politiques, d’argent, d’une justice corrompue par principe puisque l’argent est cette universelle corruption, et consacrer nos forces à aimer, à porter un drapeau, la liberté !
Fédora Hélène

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