25 novembre- lutter contre les violences faites aux femmes – Révolutionne le monde de lumière !

photo ©️ LiberTerra @liberterradaily

Album – Trop tard

Titre : Comme ça

Clip – Comme ça by Fédora Hélène

Orange le monde de violet !

L’ art s’invite pour soutenir les  jours activistes pour l’élimination des violences faites aux femmes – 25 novembre –  Journée internationale de lutte contre les violences faites aux femmes – 

Nouveau titre de Fédora Hélène : Comme ça

@liberterradaily

25 novembre 2022 – Journée internationale de lutte contre les violences faites aux femmes

Révolutionne le monde de lumière !

Objectif 5 – Développement durable

La France est État membre de l’ ONU et se doit de respecter la Déclaration sur l’élimination de la violence à l’égard des femmes qui aura 30 ans en 2023.

30 ans que la France ne respecte pas les femmes victimes de violences sexuelles, sexistes, conjugales. 30 ans qu’un système d’impunité conçu et voulu abandonne, humilie, traumatise des femmes qui subissent la discrimination, un racisme par la perversité des lois, la culture patriarcale, l’ordre bonapartiste, l’autre violence.

Ce sont 80 % des plaintes pour violences conjugales classées, et les 20 % restantes perdues dans des années éprouvantes de procédures reposant uniquement sur les épaules des victimes et des frais catastrophiques d’avocats.

Le droit à la reconnaissance, à réparation, que son agresseur soit condamné, n’est pas et l’injustice domine , brise des vies innocentes, merveilleuse de paix.

Nombreuses victimes de violences sexuelles et conjugales multidimensionnelles subissent l’exclusion, la précarité, une dégradation de leur santé et l’absence d’un accès véritable au droit à des soins de haute qualité pouvant apaiser un stress post traumatique.

L’absence de structures de résilience, de mesures efficaces et innovantes pour soutenir l’entrepreneuriat des femmes survivantes de violences.

Le droit international humanitaire condamne les violences sexuelles, condamne la discrimination, la France a oublié sa conscience quand des centaines de milliers de femmes sont chaque année victimes de violences et n’ont aucun droit à la justice en don de paix et plus que les tribunaux, la possibilité de vivre et non d’être en état de vulnérabilité, de survie continuelle.

C’est inhumain, d’une redoutable méchanceté de faire subir une telle souffrance à des êtres humains car elles sont des femmes.

Hier, 24 novembre a été l’adoption par l’ Assemblée nationale de l’ IVG inscrit dans la Constitution, un pas vers l’espoir quand le chemin vers le respect de l’humain, des femmes reste long et douloureux et qu’aujourd’hui une femme subira des violences.

En France, toutes les 6 minutes une femme est victime de viol ou tentative de viol. La justice et le gouvernement ne doivent pas oublier que le viol, le viol conjugal est un crime.

Le viol est une arme de guerre destructrice qui détruit des vies, des communautés et en France en temps de paix, dans le pays des droits de l’homme, des femmes subissent la cruauté des violences sexuelles et subissent la gravité de voir leurs droits humains bafoués.

70 % des plaintes pour violences sexuelles classées – 1 % des violeurs condamnés après des années de procédures.

Mettre un être humain dabs un état de souffrance c’est ce que fait le système judiciaire en France. C’est d’une violence inouïe. Refondre profondément le système judiciaire français, rappeler à ceux qui l’ont oublié leur conscience.

Ce sont également les enfants victimes et co-victimes de violences qui voient leurs droits humains bafoués, leurs témoignages oubliés.

Des vies, leur mémoire effacées, déshumaniser une femme victime de violences, cette incompréhensible cruauté, c’est à travers le monde.

Comment un système prédateur pourrait-il arrêter son propre reflet ?

Lâcher des prédateurs les laisser détruire des vies , traumatiser des femmes, des enfants, des familles – les maltraitances envers le peuple et surtout les groupes issus de familles modestes à pauvres qui n’ont pas les moyens financiers pour se défendre, à qui l’on brise l’esprit humain. Le chaos des mots perdus, l’on ne sait plus dire et témoigner est une épreuve et quand il est des témoignages, ils tombent comme une pierre au fond de l’eau.

Le mépris de la libération de la parole, le silence en indifférence, ce mur invisible dressé contre la liberté de femmes, contre leur courage de lutter chaque jour contre les violences faites aux femmes.

Les divisions entre les féministes, des associations critiquées pour leur posture à l’égard des victimes, la justice où l’argent domine, où le titre, les réseaux et relations, jeux de pouvoir ont une place puissante et où la victime devient l’object entre experts psychologues faisant les procès aux défaillances et lacunes graves, et non la vie , la vie d’un humain brisé par la violence d’un tyran domestique, d’un barbare agresseur sexuel qui aura la dominance et prendra plaisir à voir sa proie souffrir dans le nœud des injustices.

Des confrontations directes et traumatisantes, alors que la justice sait très bien à l’heure des neurosciences qu’elle impose un traumatisme supplémentaire à la victime.

Écouter avec empathie la victime, ne pas mettre en état de choc ce que les professionnels de justice devraient apprendre par cœur et se former véritablement, ne plus appliquer des lois bonapartistes, discriminantes, la culture du viol, et mettre fin aux délais de prescription quand la justice peut mettre des années avant de donner potentiellement des nouvelles suite à une plainte ! Donc, c’est la justice elle-même qui dépasse les délais de prescription quand durant des années, ils n’ont pas entendu les témoignages, et qu’ils ont laissé un prédateur détruire une vie sans jamais secourir la victime et les enfants co-victimes.

Comment ces quelques magistrats abandonnant des vies aux mains de prédateurs pourraient-ils aujourd’hui défendre et protéger les victimes qu’ils ont abandonné hier ?

Quand une équipe perd, on la change ! Que la justice commence par demander pardon aux centaines de milliers de femmes qu’ils ont mis en souffrance quand les violences étaient évitables, mais que l’injustice a dominé. L’ État a une responsabilité et a toujours mis en valeur un système économique destructeur et suicidaire et aujourd’hui il est une augmentation de la pauvreté et ce sont des survivantes de violences qui n’ont toujours aucun droit à la justice et qui subissent des violences économiques et ont leur vie définie en matricule administratif les nommant : mères isolées.

La France manque de la lumière de l’amour et la justice est à son obscurité.

Justice pour les survivantes de violences.

Fédora Hélène

25 novembre 2022 – Stop Violences

@liberterradaily
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Comme ça

Il ne fallait pas 
Ce soir-là
Casser une vie
Comme ça
Dans le noir
La laisser
Mourir

Il n'y a plus
Voilà
Ce souffle
De joie
Que celui
Vois-tu
De ce soir là

Et, moi
Mon corps
Parti
Et, ne revient pas
La vie volée
Je ne respire plus

Tout va
Comme ça
S'évanouir
Comme ce soir-là
Dans le noir
Mon corps n'est plus
Je revois la vie
Passée

Adieu
Il ne fallait pas
Ce soir-là
Casser une vie
Comme ça

J' avais déjà tant
Survécu dans ce froid
Ce noir, cette nuit
Il fut de trop
Ta main étouffant
Mes lèvres closes
Adieu

Tout va
Comme ça
S'évanouir
Comme ce soir-là
Dans le noir
Mon corps n'est plus
Je revois la vie
Passée

Adieu
Il ne fallait pas
Ce soir-là
Casser une vie
Comme ça

Fédora Hélène

LiberTerra est engagé pour la lutte contre les violences faites aux femmes – Jours activistes pour l’élimination de la violence faite aux femmes –

Le viol, une tentative de viol – un crime

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