
France en peine aux yeux des pauvres
Blesser, ce que signifie Trauma – traumatiser. Blesser un enfant, une mère isolée. Blesser ces enfants, ces filles, ces femmes, ces femmes âgées car la pauvreté blesse toute une vie.
Traumatiser, la politique blesse notre humanité, son cœur, sa paix, sa liberté en imposant à des êtres humains, la pauvreté. Cette détresse qu’ils infligent à la nature de la même manière. Car ils se sont inventés en puissance, en un empire qu’ils ont nommé État, ils prennent ce droit : traumatiser les plus vulnérables, sans répit, les systèmes bloquant, des rêves évanouis, les différences interdites, un sens pour avoir le droit de manger équilibré, ne pas subir une insécurité alimentaire épuisant le corps, humiliant, excluant.
L’inflation est une violence politique acceptée par ceux qui n’en souffrent pas. La flambée des prix de l’alimentation, des produits essentiels d’ hygiène, de soins, des charges des familles, est à la hauteur de l’augmentation des fortunes des plus riches.
Les héritiers milliardaires ne sont pas ces hommes d’affaires, mais ces rentiers entretenant la misère, ces capitaines d’industries qui écroulent le monde pour produire du sable.
Ce sable, c’est la Terre assoiffée quand la crise de l’eau menace l’humanité.
La crise climatique est l’instabilité de l’eau, le traumatisme, la Terre blessée par la cupidité, l’orgueil d’hommes insatisfaits faisant de l’argent un pouvoir, pensant acheter leur conscience par des dons, des fondations, qui ne reversent aux pauvres qu’un centime de ce qui leur est pris, et cet inquantifiable, leur vie brisée.
L’humanité aura évolué quand elle aura anéanti la pauvreté.
Plus un milliardaire, mais une humanité unie, réconciliée, celle n’ayant encore jamais vécue l’immensité de la liberté, ni les droits de l’homme dans leur intégralité. Les droits humains ne pouvant être séparés, et ne vivant que par la réalisation de tous, chaque jour, les injustices traumatisent notre monde, blessent des enfants.
Emmanuel Macron est pour la deuxième fois Président de la République, la pauvreté a augmenté, des personnes supplémentaires basculent dans la précarité, les personnes vulnérables subissent une aggravation de leurs conditions de vie, c’est une violence politique acceptée, et pour les artisans de paix, un abandon de la liberté.
Des politiques toujours plus autoritaires montrant d’un doigt accusateur les plus fragiles, laissant des êtres humains à la rue, la paix quitte la France et en sommeil, politiques, financiers, économistes, croient en une croissance économique qui n’existe pas, et qui n’est qu’un effondrement civilisationnel.
Il est à son début, et l’ Union européenne pourrait être un flambeau pour une unité des peuples pour la liberté.
Les politiques sont-ils élus pour la démocratie, où pour la mettre au sol, celle défilant dans les rues au cri populaire de Liberté !

Lutter pour la liberté, les luttes en unité
La vie, cette immensité de la liberté, son expression parfaite, cet insaisissable mystère, que nos sociétés oublient. La vie, précieuse et qui se perd dans nos économies inventées. Ces hommes se trompant de chemin, dressant la souffrance, la maltraitance comme pouvoir dominant, la vie perdue sous le choc, les drames infinis, notre mémoire traumatisée par l’histoire des guerres, l’esclavage, la peine et les fers aux pieds de femmes et d’hommes, la misère notre humanité se peint d’obscurité, avant que la lumière ne relève nos corps, ils font alors, se couchant sur la terre, le chemin de paix.
Ces mille lueurs, ces femmes et ces hommes luttant pour la liberté, posant leur pas sur une Terre nouvelle, celle libérée, la portant en eux, lui donnant une réalité par leurs actes. Ils marchent les artisans de paix, semeurs d’espérance, gravant le futur à la lame de la liberté, traçant le sillon et l’eau de pluie s’y reposant, la naissance des champs de culture, de ce que la Terre a conçu avant que l’homme ne vienne posséder ses richesses, trahir sa générosité.
Il était de partager quand on a inventé l’argent, et la vie s’est éteinte doucement. La nourriture ne peut avoir de prix que celui précieux de la vie. Le salaire en droit de se nourrir, d’appartenir à une caste et les assiettes se vident. On meurt de faim, la guerre terrifiante et le temps de la paix devient celui funambule au bord du précipice, que faisons-nous pour rattraper le temps perdu, celui fuyant, et les vies innocentes s’en vont, elles partent au désespoir.
Des enfants ont faim, les hommes ont créé la pauvreté. Ils ont bâti leur empire excluant la moitié de leur propre corps, notre humanité séparée en riches et pauvres. Cet absurde. La vie se perd, ils creusent le gouffre, la politique. Elle aurait dû protéger le plus fragile. Mais, ils ont choisi de tuer de cette main d’argent accablant les enfants, divisant et créant la dualité, notre humanité fracturée.
Donner, partager, ouvrir les portes et mettre fin aux systèmes en Hydre annonçant un cataclysme. La guerre de l’eau semant le chaos de la faim, la terre en poussière, les déserts avancent. Le désespoir quand l’amour s’en va.
Le cri des luttes, du peuple manifestant pour la liberté, pour vivre quand il survit dans les épreuves en piège capitaliste. Les politiques aux Assemblées oublient qu’ils ne possèdent rien, que seule la nature à ce pouvoir de nous donner, l’air, l’eau, le blé.
Les droites au palais de la République aux fins de l’abondance, Emmanuel Macron donne le ton, le La de l’appauvrissement, des gens ont faim en France.
Il n’a rien inventé et ne reprend que le bâton de César frappant la Terre brûlée, dominée, les pauvres à la rue, debout, le silence, leurs forces ouvrant les portes, faisant tomber les murs invisibles, au cri : liberté !
Emmanuel Macron a repris le flambeau des dominants, les superprofits et milliardaires décorés au lys des rois. Les oppresseurs se faisant l’ennemi, et les compromis à l’extrême de la géopolitique, de l’énergie nucléaire au mondialiste, les mécanismes des uns aux autres, les ponts économiques suspendus aux cordes des profits. La machine tourne, ce rouage qui prête à qui, qui doit à qui, la dette n’existe pas , ils se tiennent tous. L’énergie nucléaire en pendule décidant des négociations internationales, la guerre en Ukraine, la France peut-elle tout rompre avec la Russie quand les centrales nucléaires sont dépendantes de puissances internationales, dont de la Russie.

Notre monde vacille
La faim rythmera les révoltes, la crise mondiale de l’eau, la Terre assoiffée, marche l’homme vers le puits de la Terre, quand les sources asséchées imposent le deuil des récoltes. Demain, plus de la moitié de l’humanité, les plus vulnérables auront toujours plus faim et soif.
La fin de l’abondance prononcée par Emmanuel Macron est la fin d’une égalité illusoire. Celle accordée dans un temps éphémère, celle en décor faisant la liberté de confort, qui disparaît quand le politique ferme le théâtre, que les masques tombent, que la réalité des plus vulnérables rattrapent les passants dans les rues, et qu’il est temps que la solidarité se lève et donne le pain à tous les enfants.
Emmanuel Macron devrait anéantir la pauvreté, mais c’est l’appauvrissement de millions de personnes qui frappe la France. Des mères isolées comptant pour manger, la peur au ventre de tout perdre et en premier leurs forces d’espérance, quand la douleur vient en désespoir inonder leur visage de larmes brûlantes, cachant leurs yeux rougis et d’un revers de main, essuyant la peine, et priant en cette seconde la paix d’être toujours son alliée fidèle.
La France à la triste pluie de la pauvreté, pendant que des ministres frappent dans leurs mains le début de la partie, et le froid entre dans les maisons, au dehors, les vitrines brillantes, les quartiers bourgeois, les quartiers populaires, la France à sa misère, désunie, pleure le futur qu’elle n’aura pas aux drames des traumatismes que les violences politiques et économiques font subir à des millions d’enfants voyant leur mère en détresse, ces soirs à la sérénité d’une flamme retenant la vie.
Des ministres à leur inconscience aux Assemblées aux costumes gris, à ces visages immobiles, et les corps de faïence des pauvres se brisent, les politiques sur traumatisent, indifférents. Une pandémie, la guerre en Ukraine, des crises mondiales actives, une révolution climatique dessinant de nouveaux paysages à la mine cassée au vent des tempêtes, des feux dévastateurs, de la mer montant vague par vague emportant, faisant des chemins de nos villages son sable, les îles perdues, des pays disparus, la Terre fait cette promesse.
Des enfants, et dans le monde 80 % des personnes déplacées sont des femmes, dont celles mères. Des femmes et des enfants sur les routes, les guerres, la liberté pleure et les politiques comptent les superprofits, la victoire de la croissance économique gagnée sur toujours plus de pauvreté, d’un travail en maltraitance, et l’on apprend à maltraiter nos vies. Blessées par la peur de tomber, le toit de nos maisons s’écroulant, la rue pour ceux n’ayant pu tenir encore un mois de plus.
Les injustices viennent colorer le drapeau de France, et le blanc du lys des rois se tâche du noir des murs contre la liberté, nos mots en poésie libre s’inscrivent sauvages dans les rues. Elle, qui est à nous, le peuple sur le bitume des cités, de béton et de verre, ce sable envahissant l’horizon, les oiseaux ne chantent presque plus, les papillons disparus, demain, il recommence, le système, la liberté appelle à la résistance.
Les droits humains ne peuvent être séparés, les droits de l’homme veillent sur la justice véritable qui est un don de paix, et la première des justice est d’anéantir la pauvreté, de ne pas séparer les enfants en riches et pauvres, de bâtir l’unité, la réconciliation, l’universalité de la paix et pour elle, la liberté, soyons des millions dans les rues, ce visible contre les murs invisibles brisant l’humain, notre fraternité.
Les cortèges contre la réforme des retraites sont ceux pour la liberté. Unir les luttes, car il en est qu’une, elle s’appelle Liberté.
Fédora Hélène

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