
Un 49.3 méprisant les libertés à coup de violences policières
L’annonce de l’utilisation du 49.3 en arme contre la démocratie a provoqué de légitimes rassemblements de protestations, dont certains ont laissé leur colère s’exprimer. Des feux de poubelles, les cris populaires contre la réforme des retraites dans certaines villes, comme à Rennes, Nantes, Lyon, Bordeaux, Paris, Toulouse, Nantes, où des milliers de manifestants laissent plus que tout le désespoir éclater.
La pauvreté saisit des vies, des gens ont faim ! Cette faim qu’impose les humiliations politiques tirant à balles économiques sur les plus vulnérables, des personnes supplémentaires basculant dans la précarité, des charges lourdes impossibles à tenir, la peur de ne plus pouvoir. L’emprise par un carcan d’un régime politique devenant autoritaire et répondant à l’appel du peuple en SOS par l’indifférence, le mépris. Les discours de profits au service de l’abondance de milliardaires écroulant les ressources naturelles, autant que l’humain, transformé en objet. Cette déshumanisation de nos sociétés s’éloignant d’un objectif, l’universalité de la paix
Les larmes , pleurs de souffrance s’évadent dans les rues. Les manifestants, tous se rassemblent et appellent à la solidarité. Un monde ayant besoin de paix, d’une économie partagée, d’espérance, celle donnant à la liberté la possibilité de vivre, à l’humain d’être libre, dans le droit de respecter la nature et non d’accepter contraint par la peur et la violence politique ce qui détruit, met à terre les chances de futurs possibles tels engagés par les débats de l’ONU appelant à la coopération internationale pour protéger les plus vulnérables. Emmanuel Macron rompant la confiance, brisant la paix, la haine en puissance , sur traumatisant, la violence pour faire taire.
La justice abandonnée, elle, véritable en don de paix, combattant les injustices, veillant sur les plus fragiles, les droits de l’homme, le droit de vivre, la liberté première à toutes choses puisqu’elle porte le sens de la vie.
La justice pendue aux systèmes judiciaires volant son nom, semant le trouble, divisant, et séparant dangereusement les citoyens de la confiance en la justice. Les systèmes servant la politique dont ils sont issus, cette Hydre influençant toutes les sphères de la société, accablant la démocratie se trouvant au sol.
Le sens de justice sauvé par les manifestants rejoignant à la rue ce souffle d’elle, la justice sociale, la justice véritable contre les coups et violences, arrestations arbitraires, gardes à vue instrumentalisées, la peur dressée en arme contre le peuple seul face aux murs des pouvoirs tout puissant, ces murs contre la liberté sortant de Terre , toujours et encore dans une continuité des empires.
Emmanuel Macron en prince des cercles politiques des droites extrêmes, aux sièges illégitimes, une sorte de cohabitation par des accords politiques, compromissions, intérêts cupides, réduisant la France à devenir une province capitaliste mondialiste, aux raisons d’une croissance économique destructrice quand la réforme des retraites annonce une succession de réformes à venir sur le travail, répondant aux systèmes bancaires tenant les populations par la dette créée en artifice. Et, à la fin de leur histoire suicidant la biodiversité, la joie de vivre, l’amour mourant, on ne comptera entre nos doigts que le sable de nos civilisations effondrées.
À coups et à sang sur le corps de manifestants, les photos et vidéos circulent sur les réseaux sociaux et dénoncent la violence policière de retour sur les pavés et prenant en nasse, au hasard en écho des donneurs d’ordre, et Emmanuel Macron à l’ombre des palais, ne faisant ni dissolution, ni remaniement, mais invitant à l’écouter demain dans une allocution télévisée.
Attention, s’il vous demande en mariage, il est déjà marié à la droite extrême en cohabitation déguisée, la même le secourant au moment des Gilets jaunes et LR se flattant dans leur imaginaire d’avoir « sauvé la République ».
Emmanuel Macron leur serait redevable de leur puissance politique instaurée dans les différents pouvoirs depuis les affaires des années 90. Le RPR en fantôme devenu LR et surgissant des vieux salons, des champagnes, et déjà la pauvreté gravait les trottoirs à la craie des sans-abri.
Les corruptions, barbouzes au tapis rouge des cercles politiques, des affaires du moment battant la presse. Une France, blessée depuis des décennies de politique dans le sens contraire du droit de vivre en harmonie avec la nature. Sans la Terre, pas d’humanité – C’est pourquoi les militants écologistes expriment que la réforme des retraites est injuste pour les populations, mais aussi pour la nature qui subira les graves conséquences de politques capitalistes devenues leurs propres extrèmes , ce qui les fonde la théorie de l’effondrement. Puiser les ressources naturelles jusqu’ à menacer la survie de la biodiversité, polluer gravement l’enverinnonement. Que seraient-elles d’autres que la violence ces décisions politiques prises sans le consentement des populations ? La violence n’a pour écho que la haine, et la France est aujourd’hui tristement témoin de politiques toxiques.
Certains aux tempes grises refont surface après plus de 30 ans en politique, et à l’omerta, Emmanuel ne s’est pas fait en un jour, et alors qu’il était gamin, les vieux brisquards l’entourant étaient déjà dans les rouages, déjà au mépris de la Terre, de l’humain, et s’écoulait déjà le ciment de la misère quand les restaus du cœur ouvraient leurs portes.
Les violences faites aux femmes la normalité, et Macron sans maîtrise de ces réseaux puissants faisant des milliardaires dont certains sont des héritiers, se pense le Chef, celui qui commande et les ordres aux préfets, dont certains sont d’anciens de la politique dans ce poste politique, la boucle bouclée.
Les citoyens tenus au loin dans l’étau de l’ omerta, tenant au silence , plus un mot sur ces milieux de violences et de mensonges, s’érigeant en dominants, oppresseurs parfaits et ne disant l’histoire réelle à ceux qu’ils tentent de briser par des lois très politiques, aux intérêts d’une économie échappant au peuple, ne devenant que l’outil de la machine, l’argent mis à une valeur de supériorité.
La violence et ces marques de sang sur des manifestants blessés – traumatiser en logique politique toujours plus la population à bout de souffle. Sur traumatiser, quoi de mieux pour dominer ?
Il suffira d’établir les polémiques, de rejeter les déclarations de violences policières, d’interpellations en moyen de répression, oubliant le droit de manifester, pourtant rappeler à Emmanuel Macron par l’ONU au moment du mouvement des Gilets jaunes.
Des mutilés, des personnes éborgnées, des manifestants arrêtés, et le lot des gardes à vue traumatisantes, de condamnations marquant des vies en laissant des séquelles financières, et traumatismes.
Les témoignages d’alors, ce jeune disant cette sensation de mourir, qu’il a ressenti ne pouvant plus respirer sous un très épais nuage de gaz lacrymogène. Puis, une jeune étudiante pacifiste a reçu du gaz lacrymogène à bout portant en plein visage et un tir de LBD en pleine jambe. Manifestations sociales et Gilets jaunes à Bordeaux.
Des jeunes traumatisés par les violences policières, la mémoire traumatique, la mémoire collective déjà marquée sous le premier quinquennat d’Emmanuel Macron.
La violence politique revenant et la justice traînée par les cheveux, cette femme recevant un coup, cette femme dont un CRS tire les cheveux, ces femmes insultées. Médiapart évoque les violences policières sur des jeunes femmes interpellées. C’est le deuxième mandat d’Emmanuel Macron et tout est à la continuité de la perversion, de systèmes d’inversion usant des pouvoirs comme absolus.
La paix du peuple ne voulant que vivre, et la guerre faite au peuple s’impose par la politique du gouvernement. Les droits humains sont cet enfant pauvre qui a faim, des gens sans plus de moyens finaciers volant pour manger – ici, en France.
Emmanuel Macron, l’échec politique et humain –

Une réforme des retraites qui aura des conséquences directes sur la vie d’autrui. Une loi qui met en danger la santé des personnes qui risquent de mourir avant de pouvoir profiter de leur retraite. Cette loi est contre le droit de vivre, un droit fondamental. Et, ceux faisant cette loi inique s’en protège et ne la subiront pas, d’autant leur vie au confort de privilèges, de l’argent.
Pendant que les riches et célèbres brasseries parisiennes accueillent des politiques, les plus vulnérables qui subiront la réforme des retraites, pour certains, ils vivent une insécurité alimentaire. Ce sont les travailleurs pauvres, les précaires, ceux faisantcun travail pénible, les femmes victimes de violences conjugales, qui ont souvent une carrière professionnelle compromise par les coups, violences multidimensionnelles, dont celles politiques. Ces personnes ont une espérance de vie réduite et cette reforme leur dit : » vous risquez de mourrir avant 62 ans ». C’est inhumain.
Ce qui est également à prendre en compte, c’est l’aggravation des conditions de vie des personnes vulnérables, qui subissent injustement une inflation, la forte hausse des prix, dont des produits alimentaires, de l’énergie, de l’ essence, des loyers, et autres charges.
Emmanuel Macron sa théorie de la croissance économique, c’est l’appauvrissement de la moitié de l’humanité humanité, car ces personnes qui seront les premières victimes de la réforme des retraites, des lois travail et celles à venir, ce sont des êtres humains, qui font partie de ce corps, l’ humanité .
Ces chefs politiques affamés de pouvoir autour d’ Emmanuel Macron mettent en danger la vie d’êtres humains que le système rend vulnérables et sans qu’ils puissent décider, avoir un pouvoir de décision pour ce qui concerne leur vie. C’est le système de l’esclavagisme à qui on donne un autre nom car il y a un salaire, celui du droit de manger à peine.
Une humanité séparée entre riches et pauvres, entre classes sociales, la réforme des retraites est ce révélateur, comme la pandémie de Covid a révélé une économie profondément injuste et qui tue des vies par l’ extrême pauvreté qu’elle produit.
Emmanuel Macron soutenu par des milliardaires pour la réforme des retraites, dont 80 % sont des héritiers et par des patrons qui sont sur l’acquisition d’héritage en majorité, et qui ne pensent que par cupidité. Une extrême droite de l’argent.
Emmanuel Macron s’impose en oppresseur pour solution de gouverner et souhaitant un peuple soumis à ses ordres politiques au bras de son gouvernement, de Gérard Larcher, d’Élisabeth Borne parfaite dans sa froideur, de M. Darmanin, courant RPR et le ministre Olivier Dussopt, ancien député socialiste, annonçant un nouveau projet de loi sur l’emploi dont il sera question du printemps à l’été, après la réforme des retraites.
La violence économique accélérée, un train filant à grande vitesse quand une économie saine, durable et équitable est vitale pour réaliser des futurs en paix, répondant à la justice sociale comme socle dans un monde en révolution climatique, où en 2023 plus d’ 1,4 milliard de personnes dans le monde subissent une extrême pauvreté, alerte l’ONU.
La violence politique influençant la violence policière par les ordres donnés, est le témoin de systèmes mettant en danger la démocratie, et la justice ne veut pas être prise au piège et réagit. Le Syndicat de la magistrature contacté par LiberTerra, rappelle que « manifester ce n’est pas une infraction », ajoutant que, « la seule infraction qui pourrait être reconnue c’est la participation à un regroupement en étant armé, ou la participation à un attroupement alors qu’il y a eu des sommations de dispersion par les forces de l’ordre ».
Le droit de manifester déjà à rude épreuve lors du mouvement des Gilets jaunes et l’ONU a réagi le 14 février 2019, signifiant que « Le droit de manifester en France a été restreint de manière disproportionnée ». Les experts ont souligné que, « Depuis le début du mouvement en novembre 2018, nous avons reçu des allégations graves d’usage excessif de la force. Plus de 1 700 personnes auraient été blessées à la suite des manifestations dans tout le pays ».
Puis, on retrouve une problématique similaire à celle d’aujourd’hui, lorsque l’ONU a déclaré, « Les restrictions imposées ont également entraîné un nombre élevé d’interpellations et de gardes à vue, des fouilles et confiscations de matériel de manifestants, ainsi que des blessures graves causées par un usage disproportionné d’armes dites « non-létales » telles que les grenades et les lanceurs de balles de défense ».
Des débordements ont été lors de manifestations, mais ne justifient pas, selon l’ONU, une « réponse disproportionnée », pouvant dissuader « la population de continuer à exercer ses libertés fondamentales ».
Manifester est un droit, une liberté fondamentale et lui imposer des mesures de répression, constater des manifestants blessés, arrêtés, des gardes à vue arbitraires, c’est reconnaître les signes d’un régime autoritaire.
M. Darmanin a une lourde responsabilité, et l’on ne peut qu’être profondément choqué en visionnant les images de violences policières. Comment des femmes victimes de violences, pourraient-elle porter plainte pour violences conjugales, violences sexuelles en ayant confiance en la justice de leur pays ? Une jeune femme sous une pluie de coups, c’est la justice toute entière qui est abimée par cette violence inouïe, indigne, donnant une image déplorable de la France ! Une violence des systèmes que subissent de différentes façons les femmes en France et le HCE ne pouvait rendre qu’un rapport alarmant sur une France très sexiste.
Le silence d’Emmanuel Macron face à de telles images, le silence d’Élisabeth Borne qui avait déclaré oeuvrer pour les filles durant sa présence au gouvernement et pensant que le 49.3 est la démocratie ! …
2023 – Manifestations contre la réforme des retraites
La garde à vue ne peut être utilisé pour faire pression, décourager les manifestations, le syndicat de la magistrature déclare, « On estime que la garde à vue est utilisée à titre préventif et donc détournée de son objet, parce que la garde à vue a pour but la recherche des auteurs d’une infraction et en l’occurrence, elle est plutôt utilisée pour casser les manifestations, casser les mobilisations, puisqu’il n’y a pas d’infraction qui est retenue ». D’autre part, « l’écart entre le nombre d’interpellés et les suites judiciairement apportées aux situations démontrent que l’utilisation de la garde à vue est détournée de son objet ». Bien entendu, il n’est pas de vouloir plus de suite judiciaire, mais de démontrer que « ces chiffres en eux-mêmes montrent une utilisation détournée et questionnent ».
Les données concernant le nombre de garde à vue lors de manifestations contre la réforme des retraites ont été demandées, dont par le syndicat de la magistrature, auprès du ministère de la Justice. Les chiffres sont pour l’instant une donnée inconnue.
Le syndicat de la magistrature qui a clairement exprimé dans un communiqué, « L’autorité judiciaire n’est pas au service de la repression du mouvement social« . La justice est un bien précieux devant en premier protéger la liberté, les droits de l’homme.
À travers le monde, y compris en Europe, les droits de l’homme, le droit de vivre, la liberté sont constamment menacés. Il est de veiller sur cette flamme sans laquelle la démocratie tombe au profit de régimes autoritaires. Tout vient si vite, une population affaiblie par la pandémie, la guerre en Ukraine, l’inflation, la flambée des prix de l’alimentation, des énergies, la volonté des profiteurs de guerres, le soutien aux superprofits, se sont des vies en souffrance qui en paient le prix chaque jour et non les décideurs politques, chefs de la droite reçus par Emmanuel Macron, quand le peuple reçoit l’indifférence. La réforme des retraites, l’utilisation du 49.3, les violences policières, la politque c’est aussi anticiper, analyser l’opportunité, savoir ce que les gens pourront subir avant qu’ils le vivent. Lutter contre la pauvreté, les injustices , c’est concevoir le bien-être futur pour des populations, le contraire : la réforme des retraites , déclencheur révèlant les fortes inégalités imposées à un peuple à bout de souffle.
« Les images de la repression policière des manisfestations dénonçant l’utilisation de l’article 49.3 dans le cadre de l’examen d’une réforme qui a suscité une très forte mobilisation depuis plusieurs semaines sont choquantes« , déclare le Syndicat de la magistrature dans un communiqué.
Il est souligné, » Nous avons vu ces scènes indignes d’une démocratie : des policiers exerçant des violences illégitimes contre des manifestants et des street medics, des interpellations collectives de manifestants enjoints de s’assoir par dizaines à terre, mains sur la tête, des journalistes faisant leur métier menacé -es ou brutalisé -es « . Le communiqué ajoute, « Mais derrière ces images terrifiantes, il y a des décissions qui les sous-tendent et les mécanismes institutionnels à l’oeuvre : des directives données par le ministre de l’intérieur à tous les préfets de France, et des forces de sécurité intérieure sommées de réprimer les manifestations qui s’organisent dans de nombresues villes pour exprimer la colère sociale face au déni de démocratie« .
Une déclaration importance par sa justesse et pour les populations vulnérables violentées pour que les discours de confiance soient, pour les assurer que des magistrats ont choisi leur métier par vocation, pour la défense des libertés.
Par ailleurs, il est l’importance des témoignages, et au micro de BFMTV, une jeune étudiante de 25 ans, Laura, témoigne de violences subies samedi soir à Paris au rassemblement spontané place d’Italie, « Je me suis fait arrêter très rapidement. On m’a pris et on m’a étranglé ». Son amie, explique Laura a également subi des violences par des policiers arrivant et se dirigeant vers l’autre jeune femme, « l’ont écrasée et menottée, l’ont frappée, étranglée ».
« Je ne l’ai pas quitté des yeux, j’avais très peur pour elles », a indiqué Laura qui souligne que les policiers ont après mis les menottes en plastique, « extrêmement serrées, de manière sadique ».
Des faits graves qui doivent nous alerter, et éveiller une vigilance de la part des experts onusiens, comme peut observer la Ligue des droits de l’Homme, Amnesty International, ainsi qu’un collectif d’avocats qui alerte dans la presse de faits d’interpellations, y compris de mineurs et exprimant vouloir déposer plainte.
Des faits graves de violences faites aux femmes, et Emmanuel Macron, son silence, serait briser la cause de son quinquennat faisant de la lutte contre la violence envers les femmes, une priorité. Une cause déjà blessée par l’injuste réforme des retraites envers les femmes, par l’aggravation des violences faites aux femmes en 2022, et leur terrifiante augmentation.
Des arrestations arbitraires, des motifs creux, des avocats dénoncent dans la presse les pratiques pour décourager les manifestations, le JJD rapporte que selon Me Coline Bouillon, que des gardes à vue sont pour « participation à un groupement en vue de la préparation de violences », « dissimulation du visage », et un collectif d’avocats envisage de déposer plainte contre ce qui semble être des « gardes à vue sanctions » exprime Me Coline Bouillon.
L’avocate souligne que les personnes arrêtées sont des « étudiants à l’ENS, médecin, sans-abris, mineurs, syndicalistes, enseignants, des gens qui sortaient d’un colloque et qui ont été nassés », rapporte le JJD.
Des cas multiples de violences policières et la presse se fait l’écho de témoignages de violences à Paris, CRS, BRAV-M sont cités alors que des manifestants marchaient contre la réforme des retraites.
Des vidéos, Jules Ravel a posté sur Twitter, « Charge et matraquage en série de la BRAV-M dans un cortège aux alentours de châtelet »
Des femmes reçoivent des coups et ce sont aussi des scènes de violences policières à la Bastille et alentour. Un manifestant, gratuitement jeté à terre à coup de poing, démontre une vidéo postée par Timothée Forget. Des coups sur des personnes immobiles.
Des images et des images de violences policières qui marqueront notre mémoire collective, et de manière irrémédiable la présidence d’Emmanuel Macron, son gouvernement et les droites extrêmes soutenant en alliance politique avec Emmanuel Macron.
Les manifestants sont des êtres humains, et même le bétail ne se mène pas avec violence !
Ils ont démontré leur mépris des libertés fondamentales, leur goût pour les injustices, des systèmes économiques ne pouvant être en accord du fait de leur violence avec l’action climatique, les objectifs de développement durable, et on entend résonner l’hypocrisie des discours et fausses promesses pour le respect de la nature et de l’humanité qu’elle porte.
Un désastre pour la paix , les libertés, le respect de la démocratie en France, ce que signe Emmanuel Macron utilisant le 49.3 et son cortège de mépris, de violences envers les populations vulnérables.
Fédora Hèlène

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