
Liberté à bout de souffle !
Pour écrire une analyse sur le discours d’Emmanuel Macron, sur son intervention télévisée du 22 mars dernier, il faut écouter les témoignages des gens.
La souffrance, Emmanuel Macron met des êtres humains en souffrance. Il use de la violence, de fausses promesses, de l’unique ordre établi, et révèle que la France est un régime autoritaire qu’il suffit d’enclencher et il l’enclenche.
« Enclencher, accélérer », les deux verbes utilisés par Macron et qui déterminent sa volonté, sa politique toxique.
Deux verbes de domination sans appel qui suivent le mouvement accéléré du bouleversement planétaire actif.
Ce qui signifie qu’Emmanuel Macron fait le choix conscient de ce qui détruit. Pour fidélité autour de cette volonté destructrice, ce sont les promesses de croissance économique, de gains pour les plus riches et attirant les cupides, arrivistes, les manipulateurs se nourrissant de haine, de se penser dominant en accablant les plus vulnérables comme un loup se battant contre un lapin.
Emmanuel Macron ayant besoin des extrêmes droites, de leur violence en héritiers des familles de marchands du 18ème siècle gagnant leur fortune au sang de l’esclavage.
« Plus de travail, plus de capital » déclare Emmanuel Macron, c’est plus de pauvreté, plus de souffrance pendant qu’autour de la table siègent les faux prophètes transformant l’or de la vie en charbon des mensonges.
Le feu de la faim
La grande porte de la mairie de Bordeaux en feu, ce sont les larmes de milliers de victimes des systèmes de violences. Une jeunesse ayant grandi dans la pauvreté. Des jeunes ayant vu leurs parents en détresse, ayant ressenti la douleur de leur mère, prenant sur eux, la peine de leur famille, de celui exclu, de celui battu par la violence politique, de l’errant laissé sur le bord de la route. Ils prennent la douleur des blessés, mutilés par les violences policières. Ils prennent en choc des années de tristesse, d’humiliations. Notre humanité risque de perdre le sourire de la vie, ils l’attachent à leurs ailes révoltées portant l’espérance, vivre la liberté.
La France entre dans une période pré-révolutionnaire en réponse à un président élu par les jeux politiques avec l’extrême droite et se positionnant comme le chef des droites, le fer de lance du capital, la gloire des systèmes bancaires imposant de fortes inégalités. Ce sont les cartes trichées d’un jeu où les dominants font perdre à coup sûr le peuple, qui sont distribués à plus de la moitié de l’humanité.
La légitimité d’Emmanuel Macron est à la valeur de l’argent. Celle du peuple défilant dans les rues, prenant les places, à la valeur de la liberté.

La guerre de la faim érigée par les empires politiques
Il ne faudra pas voir la porte brûlant, comme ce débordement que l’on condamne sans condamner le feu de la faim. Séparer les enfants en riches et pauvres, entre ceux pouvant manger à leur faim, et ceux se couchant le ventre vide dans le silence des indifférences d’un pays riche, se revêtant de l’apparence de l’argent pour faire briller ses vitrines, les peindre du faux bonheur, de la réussite en abattant l’arbre de la solidarité.
Emmanuel Macron a attisé la colère en méprisant le peuple, la démocratie, la liberté !
Il est celui au bras de ceux aux décennies de violences, de marchands de canon, d’exploitation de populations vulnérables au-delà de nos frontières. La loi, aujourd’hui, n’est plus nationale , mais internationale, et les injustices sont ce poison infiltrant toutes les rivières par-delà le monde, ces lois dressées en mur contre la liberté, en système d’inversion où ce qui détruit devient ce qui sauve par une croissance économique en effondrement des ressources naturelles et humaines. Écrouler la Terre en fabriquent l’autre pollution aux fausses promesses écologiques, et la France doit être « le bastion des batteries électriques », la réindustrialisation accélérée, promettant des milliards de bénéfices, un enrichissement sans mesure laissant la terre abandonnée à son aridité, d’un soleil trop puissant que l’on ne maîtrise pas, le nucléaire.
Une Terre subissant une fièvre chronique, a expliqué le célèbre glaciologue, Claude Lorius. Un Terre brûlante et nous sommes par notre corps ce qui est constitué d’elle et ce qui la constitue. La Terre évolue en étant dépendante de notre présence, et nous évoluons par son évolution. Nous sommes liés et nous devons nous écouter, faire silence. Non le silence de l’indifférence, mais celui de la rencontre.
Écouter la Terre, écouter notre corps, écouter ce qui nous rassemble, fait œuvre de réconciliation, ce qui forme le corps de la paix. Écouter les souffrances pour voir le chemin de la liberté, des actes qui libèrent. Le peuple sait et n’a nul besoin de « pédagogie », qui n’est qu’un endoctrinement, que ce qui brise la liberté de penser, de ressentir, de savoir ce qui est juste.
Emmanuel Macron déclare uniquement regretter de ne pas avoir réussi à convaincre, alors qu’il exprime uniquement qu’il n’a pas réussi à dompter l’esprit libre qui s’oppose à son ordre de poursuivre une économie suicidaire prenant la générosité de la Terre pour transformer ce qui existe, la vie en ce qui n’existe pas, l’argent.
La fin de l’abondance prononcée par Emmanuel Macron, cela signifie la fin des libertés, le peuple soumis à la pauvreté, à la précarisation du monde quand les conflits armés s’aggravent, que gronde la guerre en Ukraine qui risque fortement de s’aggraver au printemps.
La fin de l’abondance , la fin des libertés par des dirigeants tenant le peuple par une dette inventée, et chacun devient redevable des milliards lâchés pour soutenir une économie destructrice lors de la pandémie de Covid, et finalement enrichir la fortunes de milliardaires soumettant en oppresseurs.
Emmanuel Macron use de la pandémie de Covid la dressant contre les gens, en faisant une arme de culpabilité, repositionnant l’humain en outil de la machine.
Emmanuel Macron dit, « On ne veut plus travailler du tout » car « On (l’État) a payé pour ne plus travailler », lors de la pandémie de Covid. Il oublie l’humain.
La pandémie de Covid, ce sont des populations basculant dans l’extrême pauvreté, l’aggravation des trafics humains par la fermeture des frontières, retenant les plus pauvres, ceux qui ont besoin de traverser les frontières pour nourrir leur famille. La pandémie, c’est une augmentation des populations déplacées subissant la faim, l’accélération du réchauffement climatique, le choc de conflits toujours plus violents.
Ce sont des migrants et réfugiées périssant en mer. La Méditerranée rejoint les larmes de la Manche. Les radeaux d’espoir coulant, la vie brisée sur le roc de nos sociétés, le refuge perdu, la Terre devenant le bastion des tyrans en élite conjuguant le sort de l’humanité à l’ivresse des systèmes bancaires. Pour ce qui n’existe pas, les décideurs politiques sacrifient la vie. Ils écoutent les milliardaires leur souffler à l’oreille le vent de la guerre contre la nature et notre humanité.
La pandémie de Covid – entre le 1er janvier 2020 et le 31 décembre 2021, il était entre 13,3 millions et 16,6 millions de morts.
La pandémie de Covid, c’est le deuil pour des millions d’êtres humains, ce sont des mesures sanitaires faisant sombrer des millions de personnes dans la pauvreté, ce sont des femmes au front en premières victimes, ce sont des filles pleurant la liberté. La pandémie de Covid, ce sont les profiteurs de détresse ceux effondrant la liberté des femmes en Afghanistan, ceux créant l’inflation à travers le monde et aggravant les conditions de vie d’1,6 milliards de personnes démunies jusqu’à l’eau potable pour boire, selon l’ONU. Près de la moitié de notre humanité en peine, et nos larmes d’humanité se versent dans les rues, cette pluie au goutte à goutte de la colère.
L’indécence des paroles d’Emmanuel Macron à la volonté de tenir toute une population se retrouvant redevable de l’aide accordée durant la pandémie. Un peuple bloqué par les verrous de la dette posant un ciel de tristesse au-dessus des rêves. Des projets oubliés, la joie de vivre en goutte au coin des yeux rougis par les gaz lacrymogènes interdisant la légitimité du peuple.

Les manifestations dites « sauvages », la liberté devient celle haït par l’État, cette Olympe où des hommes se sont érigés en chefs et voulant être l’homme surveillant l’homme, voulant dominer par un régime autoritaire. Une République volée au peuple, une République scellée entre les murs d’une monarchie, d’un empire à la puissance passée du colonialisme, du chaos des guerres, du féroce de l’industrie, et vouant aux systèmes un culte sans fin .
La chasse à courre à l’Elysée, les chefs politiques des droites extrêmes aux côtés du président Emmanuel Macron, de celui à l’échec de son élection, des manipulations politiques et médiatiques plaçant l’extrême droite en laissant à penser qu’il lutte contre.
Les lois au tapis rouge de l’extrême de la géopolitique, où Emmanuel Macron pense se faire une place de choix en maltraitant sa population, en s’imposant en dominant et la réforme des retraites s’inscrit dans une logique de lois à venir sur l’emploi, sur l’immigration autant que la réforme est révélatrice des injustices, discriminations, et a déclenché l’éveil de la liberté au cœur de manifestants, d’une jeunesse comprenant l’enfer que dessine une élite politique pour avenir.
Emmanuel Macron impose une « nouvelle formule » pour gouverner, qui n’est rien qu’une pâle copie des régimes autoritaires, et qu’il présente pour gouverner par « l’engagement collectif », sans passer par la loi. Entendre la fin de la timide démocratie, celle des fins de cortèges et ceux partant quand il faut rester et ne plus quitter la place du peuple, ne plus abandonner la liberté.
Gouverner, un parti politique imposant à des millions de personnes devant obéir à l’ordre en pouvoir absolu, ce contrôle est possible par l’IA . Les algorithmes feront la loi. Lorsque la réforme des retraites est imposée, elle ne vient que légaliser ce qui est déjà. Des femmes retraitées travaillent au-delà de 70 ans, des femmes âgées dorment dans leur voiture car le système de la société à une architecture patriarcale par les systèmes issus des systèmes de l’empire.
Le réforme des retraites est une trahison faite aux femmes, comme l’est la chasse aux bénéficiaires du RSA. Ce sont des femmes survivantes de violences, des femmes ayant élevé seule leurs enfants dans des conditions très éprouvantes, des femmes dont les violences de la société ruinent la liberté, le droit de vivre, des femmes en survie qui seront les premières à subir la politique néfaste qu’Emmanuel Macron veut mettre en place de manière dominante.
L’absence de politique de résilience laissant la cruauté prendre place, et traumatiser des vies innocentes. Des femmes ayant subi des violences conjugales, des viols, les coups portés toujours et encore, sans le droit à un jour de répit, de repos pour reprendre une simple respiration, et leur esprit humain brisé par la douleur. En écho aux prédateurs, les politiques capitalistes mettent sous emprise, isolent, accusent, montre du doigt pour humilier et l’être humain devient celui regardant le mur blanc sur lequel ne se tracent plus les rêves, le sourire de la vie.
L’absence de politiques investissant pour l’humain et non contre, l’absence d’investissements inédits, efficaces pour répondre aux besoins des femmes, de proposer des solutions adaptées et ouvrant la voie de l’autonomisation, respectant les droits humains fondamentaux – il est l’absence de bonne volonté, d’humanité.
Il y a de grandes souffrances qu’il faut avoir vécues pour les comprendre, pensait l’Abbé Pierre. Emmanuel Macron a-t-il la sensibilité pour comprendre sans avoir vécu la pauvreté, la faim, avoir froid et la peur quand la santé se dégrade et qu’il est une famille à porter. A-t-il subi l’atroce des violences faites aux femmes, des violences multidimensionnelles ne donnant droit à plus aucun refuge, et mettant un être humain en état de survie. A-t-il conscience des vies abîmées par la violence d’une économie qui provoque une accélération du bouleversement climatique.
« Mettre au travail », dit-il quand il donne le bras à des politiques repus au petit déjeuner monarchique au Sénat, à des décennies d’affaires dans les cercles politiques. Quand il tient le bras de l’omerta, de ce qui n’est pas dans les biographies officielles, du mal fait durant des années à ceux vulnérables, des milieux politiques où il a été aussi ceux appelés « barbouzes » entre violences et manipulations des réseaux et intérêts. Lui qui accuse de quelle saveur est son vin, avec quelle eau a-t-il été tiré ?
Emmanuel Macron donne la main à l’indifférence, aux droites extrêmes qui sont la violence en humiliant, en agressant par la pauvreté qu’ils imposent aux populations vulnérables, par des politiques toxiques sur traumatisant, excluant, discriminantes.

Violences policières – violences politiques
La création de la BRAV-M est issue de réseaux politiques se constituant en force dans les années 80- 90 et dénoncés par Coluche, comme par Balavoine.
Emmanuel Macron s’accroche aux droites extrêmes, car ce sont ces familles qui sont l’autorité du pays par leur pouvoir financier, pour certains gagner en tant qu’héritiers des bourgeois s’enrichissant par l’esclavagisme du 18ème siècle, comme les marchands et bourgeois d’alors à Bordeaux, ayant pour parti politique, système économique, la Franc maçonnerie.
Aujourd’hui, la France est dirigée par l’extrême droite de la haute bourgeoisie, des notables de province dans un 18-19ème siècle qui regrette sa puissance industrielle en mettant des êtres humains en esclavage, en grossissant par le colonialisme, et laissant des populations mourir d’épuisement, de pauvreté.
Le seul qui a dominé ces familles de la haute-bourgeoisie, des gros marchands, des impérialistes, d’une monarchie endettée vivant sur le travail des pauvres, c’est Mitterrand. Son expérience, les réseaux émanant de la seconde guerre mondiale, les rencontres faites durant cette terrifiante période, du trouble politique, des réseaux de résistance, et de ceux se retrouvant après la guerre. La mémoire de la guerre, c’est ce qui a bâti la politique en France. Puis, il y aura la guerre d’Algérie qui aura un impact très important par de graves blessures.
Le racisme, les discriminations, l’errance de la démocratie en une histoire humaine blessée par l’atroce des homme de haine ravageant les champs de culture de paix et dominant ce temps du passé bâtissant le futur qui est l’unique temps que nous vivons.
Les politiques qu’Emmanuel Macron tient à imposer marqueront le futur et celui-ci s’imprègne déjà des conséquences de politiques oubliant que sans l’eau rien n’est possible, que tout est au désespoir.
La Plan eau retardé quand il est l’immensité d’un bouleversement climatique que l’humain ne peut maîtriser. La pollution a enclenché un mouvement destructeur qui s’inscrit en identité de la Terre. Tous les pays doivent être en coopération pour apaiser le feu de la Terre. Inscrire la liberté de la Terre au patrimoine universel.
Ralentir les processus d’industrialisation, dévaloriser le pouvoir donné à l’argent, fonder une économie partagée et saine, œuvrer pour l’équité, le droit au repos pour laisser à la nature l’espace libre à son expression, et donner à notre humanité le temps de se ressourcer, de comprendre qu’elle fait corps avec la nature et qu’elle ne peut en être séparée.

Politiques en guerre
Chaque seconde compte pour la paix, celle vitale et non celle conçue entre les guerres. La guerre en Ukraine touche l’Europe et l’extrême pression qui est menée par la menace du nucléaire en armes.
Emmanuel Macron concentré sur une volonté de police contre la « petite délinquance », dans l’extrême hypocrisie de lutter contre le cannabis, et faire de la justice ce système judiciaire au service du politique, quand il est de lutter contre les prédateurs qui eux blessent et tuent des vies.
Ces prédateurs dans toutes les arcanes de la société, ce cruel en puissance, un système se faisant ce violeur laissant sa proie dans cet espace de survie entre la vie et la mort, suspendue au-dessus du vide que cultive le capitalisme à son apogée et se faisant la machine infernale.
Un système prédateur conçoit des prédateurs qui en émanent, et le système ne peut condamner ce qu’il est. Le mondialisme de la violence et les femmes en sont toujours les premières victimes. Les femmes luttant les premières, les femmes sachant qu’elles seront les premières dont la vie sera détruite par ce qui depuis des siècles leur interdit de vivre, leur impose une liberté traumatisée, et l’impossibilité de revivre la liberté libre, sans l’impact de traumatismes. La mémoire inscrite et au fil des jours le traumatisme est le présent donc le futur.
Sans issue, c’est ce qu’offre la politique soutenue par le régime macroniste aux droites extrêmes. Aujourd’hui, le combat est pour la liberté.

Place de la paix au peuple solidaire
La paix nourricière car elle est source de vie doit être le cœur de la lutte, doit rassembler sur les places sans quitter la liberté que les pouvoirs ont mis à la rue, les manifestants la recueillant.
Le feu de la faim de liberté, de vivre, être révolté contre les injustices, contre ce qui blesse et accuse les plus vulnérables, ce qui contraint par la peur et la violence, ce sont des millions de personnes qui devraient descendre dans les rues, tenir la lutte pour ce qui est force de vivre.
Emmanuel Macron abat l’arbre majestueux de la démocratie, contemple ses racines arrachées par la violence armée de matraques frappant la liberté à terre.
Le peuple lui, celui solidaire, sait où se trouve ce qui signifie prospérité, dans la générosité.
Quand un nouveau pont nous mène vers une rive verdoyante, on ne l’abat pas car il est cet arbre majestueux qui s’est couché pour qu’on puisse atteindre son sommet.
Fédora Hélène

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