Sophie – Une mère protégeant ses enfants de la violence d’un homme risque la prison – 4 enfants remis au père.

@liberterradaily

France – Violences faites aux femmes et aux enfants

L’ avocate Pauline Rongier défendant une femme, une mère, Sophie, protégeant ses enfants de la violence de leur père, a publié un communiqué rappelant qu’il est 4 enfants victimes, subissant la double peine, la souffrance d’être séparés de leur mère.

France – Des enfants victimes de violences, des mères protectrices accablées

Demain, on m’enlève ma mère. Demain, la justice disparaît, n’est plus que de souffrance.

Au revoir maman – Toi qui nous protège, toi que l’on aime, toi qui aime, qui nous aime, toi qui veut voir l’avenir radieux par la lumière de la paix et aujourd’hui la tristesse, le drame de l’injustice.

Ces mots que j’écris qui pourraient être ceux des cœurs en douleur pris au piège des injustices, au sacre de systèmes naissant de la violence d’hommes dont la culture est héritière et fait les lois archaïques de systèmes judiciaires en dehors du peuple, à la monarchie devenant un empire, celui aux différents noms, différents oppresseurs, gardant fort ce qui a été bâti par le droit de vie ou de mort.

La toute puissance des systèmes judiciaires renforcée par une 5 ème constitution monarchique, d’absolutisme, où le juste s’évanouit, où la paix est oubliée aux champs de bataille, pleurant sur la tombe du soldat inconnu. Nous sommes cet inconnu, ce corps du peuple, ce qui constitue un territoire en pays, ce qui est la force et pourtant réduit à sa fonction de dominé, de l’exclu des pouvoirs, des choix qui touchent sa propre vie, éloigné des droits à la justice, à la reconnaissance, de la joie de vivre, de la vérité.

La France est État membre de l’ ONU, nous sommes tous des citoyennes et citoyens de l’ Union européenne, d’une coopération internationale solidaire en étant chacun citoyen de l’ ONU, citoyenne et citoyen français, nous sommes avant tout des citoyennes et citoyens du monde par notre bien commun, l’humanité.

Être révoltée par des systèmes judiciaires accablant notre humanité, niant des vies innoncentes devenant coupables dans un système d’inversion destructeur.

Il est une urgence, refondre profondément la justice, lui rendre son cœur, sa paix et la défaire de systèmes qui la tiennent prisonnière, qui commettent des drames humains, causent la douleur, condamnent l’innocence, sont d’un sexisme extrême, niant la vie de femmes et de mères protégeant leurs enfants.

Je sais combien l’on peut mourir des coups de violences et de haines portés dans une indicible indifférence.

Un régime autoritaire, la France n’est pas un pays de paix et en paix, mais la paix nous la portons, elle nous donne la possibilité de survivre, la possibilité de dépasser la souffrance de la liberté traumatisée. Devoir dépasser chaque jour, savoir que la liberté libre est blessée et son témoin est la révolte de la nature, comme nous devrions tous être révoltés, tous dans les rues, arrêtant l’infernale machine et rappelant à ceux l’ayant oublié leur conscience.

Je ne serai pas complice de lois indignes, de jugement maltraitant, traumatisant, disant aux femmes et aux mères : subissez toutes violences en silence, celles faites à vos enfants et à vous-même.

Il y a le choix. Certaines et certains magistrats-es choisissent la violence, pendant que M. Dupond-Moretti fait rire Élisabeth Borne à l’ Assemblée nationale, eux si certains que la fortune et le pouvoir protègent des drames de l’injustice.

Ce sont des milliers de femmes qui chaque année sont victimes de violences conjugales, sexuelles et sexistes, leurs droits humains bafoués. La France, des mesures prises en coquilles vides, en trompe l’œil et la réalité une droite extrême à la violence bonapartiste, ruinant la paix, blessant notre mémoire, y règne.

Lancer un appel à l’ ONU pour protéger des femmes et des enfants victimes de violences multidimensionnelles, d’injustices récurrentes, d’un irrespect de la Convention d’Istanbul, du droit de vivre, des droits humains des femmes, dans un pays glissant toujours plus vers l’autoritarisme.

Le Plan eau du gouvernement : Sainte-Soline, le sang coulant – Je l’ai écrit. Des politiques, systèmes qui ne protègent pas une femme, une mère, ses enfants, ce n’est pas pour protéger une rivière.

Quand la terre sera poussière, il y aura le nom des injustes gravés sur sa pierre. Mais, aujourd’hui, il est le choix, la liberté ou les injustices. La vie ne sera jamais sans liberté puisqu’elle émane d’elle.

La France portera-t-elle la coupable indifférence, laissant la violence briser toutes chance de vivre des futurs en paix ?

Chaque matin des mères et des enfants tremblent, chaque matin la violence des institutions maltraite des vies innocentes, et la place n’est libre que pour la cupidité, que pour l’enrichissement d’une minorité, pendant que l’implacable système, son administration dictatoriale, à la culture de la perversité, des préjugés, du patriarcat, maintiennent l’emprise sur des populations, et contre ceux vulnérables.

Sur traumatismer la population pour garder les pouvoirs et richesses, mettre la tête sous l’eau en brisant ce qui veut porter la joie de vivre, la liberté, l’accomplissement des rêves de chacun. Déposséder des êtres humains de leur liberté, condamner le pauvre, des enfants vivant au cœur d’une société fabriquant les traumatismes.

Des systèmes politiques au fonctionnement moyenâgeux, donnant préférence au roi, aux pouvoirs en découlant, infériorisant des femmes et des enfants, soumettant ainsi l’avenir en perpétuelle continuité de ce qui détruit, mais sert la cupidité de tout un monde politique ayant placé leurs pions dans toutes les sphères de la société.

Les systemes faisant de l’homme un prédateur – Abattre l’arbre de la liberté, dominer ses racines courant libres entre les veines de la terre, faisant lien des uns aux autres, dans l’entraide, la réconciliation pour perdurer en étant le vivant – les pouvoirs politiques ont toujours jeté le sel brûlant sur les cultures de paix et liberté.

La France à l’archaïsme de la royauté et de ses ordres, préférant l’empire à la République devenue leur marche-pied pour dominer.

La liberté de penser s’arrête à la volonté de l’ État. Des femmes et des enfants ne sont pas en sécurité en France. Le drame peut d’un coup envahir leur vie, et ils seront ces invisibles dans une société donnant une valeur sacrée à l’argent, aux mensonges, et légitimant en conséquence la violence inouïe du patriarcat.

Fédora Hélène

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