Le monde n’est pas en Macron pour réaliser les futurs possibles – Plaidoyer pour une économie de partage, d’équité, de liberté

Il est urgent de réaliser une économie saine et de partage - La politque du gouvernement d'Emmanuel Macron mène droit dans le mur un avenir serein et en paix. #Macron

Violence politque à l’extrême du capitalisme par peur de l’avenir

Gérald Darmanin, une épine dans le pied du gouvernement, Les Soulèvements de la Terre, la volonté de dissoudre ce collectif, des réformes à l’absurde du capitalisme, l’absence des dialogues de paix, et Emmanuel Macron pense négocier la paix en Ukraine, veut que la Chine soit l’intermédiaire traduisant sa parole en écho de l’Union européenne, et le business que le gouvernement sert dans ses bras ! 

La peur, des politiques violentes car les dominants ont compris l’effondrement civilisationnel commençant en écho d’une révolution climatique qui va arrêter le capitalisme culminant aux vertiges de milliards, de conditionnement du mental, comme la religion peut l’imposer. La complexité d’une géopolitique toxique qui prend sa source dans les dictatures politiques et religieuses qui infériorisent le vivant, la nature pour une supériorité de dominants pensant ordonner le monde, maîtriser la nature, posséder la terre pour exploiter ses richesses.

L’être humain ne peut séparer son corps de la liberté de la nature. Quand il contraint et sépare, il se détruit. La terre est l’immensité de la liberté donnant au vivant toute possibilité de vivre. C’est par cette compréhension que l’Abbé Pierre a dit de partager avec les démunis, pour réconcilier l’humain avec son humanité, avec le vivant. Il a précisé que les politiques devaient se concentrer sur le vivant. C’est ce qui fait sens, ouvre les chemins de paix, constitue le progrès de l’humanité. Partager et comprendre que celui démuni, l’est par la violence politique. Des politiques construites par l’empire usant de l’esclavage, de maltraitances, constituant l’arène et le perchoir, la liberté sacrifiée.  

Emmanuel Macron est latiniste, il a retenu que le peuple se dompte, car il sait que la révolution est légitime et n’est comprise que comme une violence par la violence des régimes autoritaires. Être révolté ne signifie pas être violent, cela signifie prendre conscience des injustices et vouloir défendre la liberté, concevoir sa vie, son sens en faisant corps avec la liberté. 

@liberterradaily

Les gouvernements tomberont car ils ne sont pas la démocratie, et que le bouleversement planétaire, climatique constitue une nouvelle compréhension de la politique. Tout est au commencement et c’est dommage qu’Emmanuel Macron ne priorise pas le vivant, qu’il soit à ses fausses promesses comme concernant les SDF.

@liberterradaily

La pauvreté en alarmante augmentation, c’est cela l’enrichissement de milliardaires à leurs milliards qui ne valent déjà plus un clou car il est le déséquilibre de l’eau. C’est cela la crise climatique qui enclenche un bouleversement et une mise en danger de la biodiversité, de l’humanité. 

Ils vont faire quoi avec leur capitalisme ? C’est un fonctionnement basé sur le pouvoir donné à l’argent et produisant constamment une autre pollution. Emmanuel Macron ne voit pas plus loin que le bout de son nez et répète inlassablement un système suicidaire.

Élisabeth Borne – politique en échec démocratique

Connaître les épreuves, et être sans compassion, sans vouloir anéantir la pauvreté, sans fonder des politiques de résilience, d’ investissements pour l’entrepreneuriat des survivantes de violences, des précaires. Il est primordial de donner la possibilité de créer, d’être un pays vivier de créations, de compréhension de l’évolution de la société. Il est crucial de ne pas accepter la violence d’une économie destructrice, absurde quand il est un bouleversement profond de nos sociétés, qu’il est nécessaire de penser le travail autrement, de sortir d’une société de maltraitances, d’une industrialisation massive qui ne crée qu’une autre pollution car le capitalisme vert ça n’existe pas, c’est comme l’avion à pédale !

Élisabeth Borne est d’un autre temps, est enfermée dans la fonction, dans un entêtement, et pense comme en 1970. 

Emmanuel Macron, une République monarchiste

Emmanuel Macron son problème, c’est qu’il est complètement à côté de la plaque ! Il fait une république monarchiste, et c’était flagrant lors de la cérémonie pour le rayonnement de la France, présidée par des monarques de pacotille, le réseau de milliardaires, Stéphane Berne se disant ouvertement monarchiste, la pensée bonapartiste entre les couverts en argent et verres en cristal d’un dîner luxueux et le tout dans un ministre de la République en présence de Brigitte Macron.

 

@liberterradaily

Ils se battent pour l’absurde dans les rangs macronistes et ils sont sur la manipulation, il n’y a aucune sincérité parce qu’ils ne sont préoccupés que par l’argent. C’est complètement dingue ! Et, le dialogue avec le peuple est par la violence. Comment l’Union européenne ne peut-elle pas condamner les violences policières envers la population, des travailleurs, des retraités, des créateurs étouffés. 

Élisabeth Borne a signé un échec démocratique. Elle aurait dû démissionner. Puis, comment accepte-t-elle le fait que des gens aient faim, que des mères isolées sont sans ressources, sous le seuil de pauvreté, et certaines dans la rue avec leurs enfants. Comment peut-elle accepter une telle violence politique ? Comment peut-elle accepter que des femmes ayant subi de graves violences, un isolement, portant seules leur famille sur leurs épaules aient leurs droits humains bafoués, aucun accès véritable à la justice, aucune possibilité de création d’entreprise et vont subir la misère. Comment peut-elle accepter ? Des files d’étudiants- es attendent une aide alimentaire et l’indifférence politique domine. 

Avant de faire des réformes et d’étouffer une réforme par une autre, de faire un enchaînement de débats, et non une libération, la responsabilité politique est d’anéantir la pauvreté. 

Le gouvernement est pressé de mettre fin aux manifestations contre la réforme des retraites, et surtout de se retrouver face à une forte opposition remettant sur le tapis le 49.3. Le Conseil constitutionnel donnera une réponse ce vendredi sur la validation ou non de la réforme des retraites. Mais, peut-on croire à la sincérité, à l’indépendance du Conseil des sages ? Alain Juppé voit se réaliser une réforme, qui en 1995 avait battu en retraite, même si la Gauche n’a rien obtenu puisque le système a continué. Ce sont les années où la cupidité sera à un niveau élevé en utilisant des populations vulnérables, de la main d’œuvre peu payée et ne bénéficiant pas d’acquis sociaux, pour enrichir les propriétaires, des industriels partant pour la Chine, où exploitant d’autres populations dans des pays en voie de développement.

Une industrie qui en France tombe, mais l’enrichissement se fait sur l’étranger, sur les systèmes boursiers et bancaires renforçant le mondialisme. Un mondialiste considéré comme un progrès car pouvant fournir en médicaments, par exemple, des pays ne possédant pas d’industrie pharmaceutique. Nous connaissons les problématiques liées à ce commerce, la concurrence féroce, l’abus de pouvoir économique, les profiteurs de pauvreté, l’exploitation massive de territoires autochtones et l’on peut dire que la société de loisirs de pays riches repose sur l’exploitation des ressources humaines et naturelles. C’est aussi une trahison de la part de certains, partant gagner des millions sur le dos de la misère et s’enrichissant en créant de la pauvreté, la précarisation dans le monde entier.

Il n’y aura pas de gauche ou de droite, il y aura les profits, et la dimension de l’héritage, puisqu’à 80 % ce sont des héritiers qui formulent une économie de profits, une société où seul l’argent compte. Les années 80 accordent cette possibilité de faire beaucoup d’argent sans morale, sans considération pour l’humain et la nature. Puis, ils viennent en 2023 s’imposer en dominants, en oppresseurs en ayant fidélisé leurs bases en plaçant leurs pions dans les sphères de la société. Tout s’est formé en microcosme, moins on est de fou, plus on rit, car pour garder la mainmise, il ne faut pas partager, travailler en cercle restreint, et positionner uniquement des points d’accroche, des réseaux se soutenant dans une perspective : l’appât du gain.

Les gouvernements à l’absurde, ce sont des décennies perdues pour le bien-être de la planète et donc pour l’être humain. Emmanuel Macron décore Jeff Bezos de la légion d’honneur, et il admire la pauvreté cinglante se figer sur le drapeau de France, c’est ce claquement au vent, pouvant devenir les vents de la colère ! Il pense régler la crise climatique par une industrialisation du nucléaire miniaturisé, de la robotique IA, du sécuritaire, de politiques sur l’immigration pour contenter l’extrême droite, qu’il a déjà à ses côtés. Qu’il regarde dans les rangs monarchistes, bonapartistes aux riches millions et milliards.

Ça cause du wokisme dans un endoctrinement religieux, dans des manipulations constantes, la cupidité aux belles allures, dans une culture apprise, répétée sans aucun sens. Des gens dont il suffit de flatter le narcissisme, et féliciter leur absence de courage, de réel combat. L’égalité des chances au placard et leurs héritiers en pole position dans la course à l’argent, tout en plaçant leurs pions dans les sphères des pouvoirs.

S’allier au pouvoir de l’État en possédant des titres, intérêts, du business. La violence politique est de mise, la sincérité à terre, le respect dû au peuple vendu aux plus riches dans une spirale infernale de profits. 

Il serait tant que les Macronistes comprennent qu’ils se battent pour rien ! Et, Gérald Darmanin est leur épine dans le pied ! Trop violent, et ne fallait pas le mettre chef de l’arène dans un raisonnement latin ou le peuple se dompte. Emmanuel Macron, latiniste, aurait mieux fait d’être helléniste et d’avoir un penchant pour la démocratie. Une démocratie en peine au sein même de l’Union européenne et l’esprit fasciste arrivant pourrait la faire perdre. Tout est éphémère, Emmanuel Macron pense le pouvoir en surpuissance, une politique ancienne, qui aujourd’hui est face à un effondrement civilisationnel inspiré par un effondrement climatique provoqué par une économie suicidaire, par un endoctrinement mental de domination et notamment par la religion. 

Un Vatican près politisé dans les années 80 et faisant l’extrême droite catholique en France, les salons mondains, l’argent car ils ont besoin de ce pouvoir. Aujourd’hui, ils ont entre 60 et 70 ans et sont autour de Macron. Ils sont des héritiers à 80 %, ceux constituant la cour et sur la scène des ministres de différents courants, gardant des objectifs ultra capitalistes, archaïques, et sur une surveillance de la population.

La Gauche serait-elle la solution ?

Pas plus. Elle garde le système dans sa formation, et part de cette base pour élaborer des programmes politiques avec des références identiques, mais l’interprétation diffère. Aujourd’hui, il y a la réintégration d’Adrien Quatennens dans le groupe LFI à l’Assemblée nationale après sa condamnation à 4 mois avec sursis pour violences conjugales.

Une fracture ouverte de la Nupes en sera les conséquences, et l’électorat de Gauche, des femmes victimes de violences conjugales déclarent à LiberTerra, « C’est fini, je ne vote plus à Gauche », « Alors, là, la Nupes, c’est fini ». « Ils disaient défendre les femmes », et le stage sur les violences faites aux femmes ne convainc pas.

Que serait la réaction de LFI si un tel cas s’était passé dans les rangs de droite ?

La réalité politique est beaucoup plus complexe car il s’agit d’un système s’imposant à la société et les partis politiques de droite ou de gauche vivent par sa persistance, s’alimentent de lui.

C’est souvent un dédale de manipulations, de compromis, de querelles, d’accords politiques et ce sont également les hommes de l’ombre. En politique, il y a ce qui est en vue, et ce qui est caché, et qui influence directement les élections. L’omerta, en clé, au discret des arrangements politiques et la barrière du parti est très vite franchie. La politique utilise des hommes particulièrement violents et inconnus du public qui travaillent dans les milieux politiques, qui servent des politiques car ils sont sans limite, et ces personnalités excellent dans la manipulation, dans la perversité narcissique et sont des agresseurs. Ceux faisant de la politique, travaillant dans les médias, en connaissent au moins un. Ce sont les fourmis de réseaux, navigant d’un politique à l’autre, des porteurs de renseignements, d’échanges d’informations, d’arrangements, des agents politiques ne figurant pas sur le devant de la scène, et parfois des « journalistes », servant des intérêts politiques en ne voyant que leurs intérêts bien loin d’aimer leur pays, de travailler pour le bien commun, et pensant « affaires », plus que programme politique. La « cuisine » interne à la politique, un milieu violent, où la confiance, les réels amis n’existent pas vraiment.

Si demain les politiques lâchent l’édifice, tout s’écroule ! Ils sont contraints de faire vivre le système et la réforme des retraites est une injustice, comme le calcul de la retraite actuelle l’est. Il y a-t-il un bon système ? Il serait celui de la liberté, mais avant il est nécessaire d’établir la paix, de réconcilier la population, de remédier aux fortes inégalités et faire des politiques appauvrissant une population, un délit d’appauvrissement.

Mais, quel parti politique a intérêt à anéantir la pauvreté ? Elle fait gagner de l’argent et du pouvoir et elle est conçue par le système lui-même. La société se maintient, augmentant ses richesses, car il y a de la pauvreté. Toute la politique sociale c’est aussi faire de l’argent avec la pauvreté, ce sont des associations payées par le département qui vont s’occuper de la problématique de la précarisation, de l’insertion, par exemple.

La délégation des pouvoirs, mais où sont les moyens réels pour l’entrepreneuriat des plus vulnérables, leur permettre de s’en sortir et briser l’isolement, dans un pays où tout fonctionne en réseaux. Il y a un enfermement, un isolement des plus vulnérables, ceux laissés sur le bord de la route. Et, la Gauche n’a pas pensé la liberté d’entreprendre, l’État en banque de partage, commune à tous, mais pas en système directeur de millions de vies.

Le partage n’existe pas et l’État achète la paix sociale par un système excluant, des personnes montrées du doigt, nommées par un numéro de matricule, et déposséder de leur liberté. Le pauvre est l’accusé, et non la pauvreté. Emmanuel Macron est très à l’aise dans ce système accusateur, et embellissant les milliardaires.

Emmanuel Macron ne produit rien, fait des discours que souvent il n’a pas écrit et qui sont du vent, comme son affirmation en 2019, sur le non-sens de faire une réformes des retraites qui serait injuste, impossible à vivre pour les personnes à partir de 55 ans, et pourtant il le fait de manière autoritaire.

Donc, celui qui ne produit rien, veut que les plus touchés par les inégalités produisent plus pour alimenter un système en gouffre creusant le fossé des injustices, aggravant la pollution, utilisant le leurre des véhicules électriques, d’une industrialisation de l’écologie comme les millions de sacs en coton, largement plus polluant que le plastique , puisqu’ utilisant des terres, des produits chimiques divers, de l’eau douce pour finir au fond de placard, puis dans l’océan, puis sur les territoires vulnérables en Afrique submergés par la pollution produite par l’Occident.

L’Ethiopie, le Mali, le Congo, le Mozambique, et d’autres pays sont envahis par la pollution technologique venant de l’Occident. Ce sont des matériaux toxiques s’entassant dans des décharges sauvages à ciel ouvert augmentant la pollution de l’air.

Un rapport de la Banque mondiale en 2018, a indiqué que d’ici 2050, la production de déchets atteindra 3,40 milliards de tonnes, par rapport à 2,01 milliards en 2016, en sachant qu’aujourd’hui, ce sont 33 % des déchets qui sont mal gérés à travers le monde et déversés à l’air libre.

Produire toujours plus en pensant croissance économique, s’est imposé un effondrement écologique. La croissance est construite sur la théorie de l’effondrement, sur l’exploitation, la performance technologique, pas sur la croissance de la vie.

La Gauche pour faire marcher la machine de l’État, créera à son tour de nouvelles normes, qui ne formeront que des verrous supplémentaires. La France s’inscrit dans une mondialisation, une concurrence internationale et forte de ces milliardaires, elle pense rayonner dans le monde, s’imposant, alors que le monde a changé, et des puissances s’imposent également, et forment des alliances économiques de l’un vers l’autre par le mondialisme, mais appauvrissant les populations.

La guerre en Ukraine, ce sont des femmes et des enfants en grande souffrance, et c’est aussi un marché pour de futurs investissements à haut niveau et pour la reconstruction.

Puis, ce n’est plus la France, mais l’Union européenne, des accords internationaux, et les liens politiques et économiques avec les États-Unis. Dans un premier temps, il est de lutter contre l’insécurité alimentaire qui entraînera des conséquences graves durant des décennies, une pauvreté qui peut marquer toute une vie. C’est la santé physique et morale de millions de personnes qui est mise en danger. La flambée de prix de l’alimentation touche des millions d’enfants en pleine croissance, qui là est la croissance en valeur vie, et qui est complètement exclue par le gouvernement d’Emmanuel Macron.

La réforme des retraites, c’est déjà l’arbre qui cache la forêt, car il se produit une catastrophe alimentaire, humanitaire en France, comme cela est à travers le monde, et de manière très grave comme en Afghanistan. Ce qu’il faut prendre en compte, c’est la valeur vie, les politiques doivent travailler sur la croissance de la vie en bien-être. Les efforts doivent être fait en urgence, en actes concrets et le gouvernement d’Emmanuel Macron est absent.

Bruno Le Maire passe son temps à flatter les milliardaires, à les rassurer, et à vouloir imposer un contrôle permanent sur la population. Il est un oppresseur par excellence qui voulait lors de sa candidature en 2016 en droites extrêmes poliment appelées « centre droit », imposer un travail précaire payé 5 euros par heure pour les bénéficiaires du RSA et la réduction des indemnités chômage, qu’il obtient avec la réforme faite par Emmanuel Macron. Bruno Le Maire qui passait son temps à critiquer Emmanuel Macron avant qu’une fois élu président, il ne devienne le mentor de LR.

Le mépris des droits humains, les pauvres condamnés à la pauvreté, la performance capitaliste efface des vies qu’elles jugent inférieures. Les macronistes crient que la Gauche fait l’extrême droite, alors que les droites extrêmes sont au pouvoir et ne sont que le reflet dit « convenable » car de Neuilly et issues de grandes écoles, au contraire de l’extrême droite jugée plus populaire.

L’économie en partage en valeur de vie

La souffrance de millions de gens regarde des personnes comme Bruno Le Maire qui a oublié une réalité qui fait l’humanité, le partage. Si personne n’avait partagé avec lui, il serait un ignorant. Mais, a-t-il partagé avec les démunis, celui qu’il était, ce qu’il a oublié, pour avoir une telle ignorance ! Les pauvres sont les accusés, selon une politique oppressante promue par le gouvernement d’Emmanuel Macron et ses fidèles, comme Gérard Larcher, qui est son premier ministre de l’ombre.  « Au fond, ce sont toujours aux faibles que l’on fait la morale, tandis qu’on finit par blanchir les puissants » Simone Veil.

Il est urgent de lutter contre la pauvreté, les fortes inégalités, les injustices, si nous voulons être l’espoir réalisé, et ne pas confier l’avenir de toute une jeunesse à l’absurde de politique. Une jeunesse merveilleuse dont ils assomment la volonté, le courage de créer leur société, celle s’harmonisant comme les pétales d’une fleur s’ouvrant autour de son soleil, le cœur de notre humanité par le verbe aimer.

« Cette jeunesse est courageuse, capable d’enthousiasme et de sacrifices comme les autres. Sachons lui faire confiance pour conserver à la vie sa valeur suprême ». Simone Veil.

Donner à la vie sa valeur suprême, c’est créer une économie saine et de partage, laisser libre la création, l’imagination, savoir tout être humain capable du possible parce qu’il est la valeur de vie. L’être humain, la nature, notre Terre, sont ce suprême qui ne se définit pas par un programme politique s’inscrivant dans un système, ni dans une croissance économique détruisant la valeur de la vie, établissant que des vies comptent et d’autres pas. Ce cruel de la politique dirigeant, et comme tout mensonge, c’est destructeur.

« Ce n’est pas le travail qui donne une dignité à l’homme. C’est l’homme qui donne sa dignité au travail par le but qu’il y met. Le travail n’est rien d’autre que l’accomplissement du devoir, pour chacun, d’utiliser ses capacités au service des autres et spécialement des plus souffrants » Abbé Pierre.

Emmanuel Macron, quel est votre travail pour les plus souffrants ?

Fédora Hélène 

@liberterradaily

Copyright ©️ LiberTerra 2023 – Tous droits réservés – Tous droits de production et de diffusion réservés

Votre commentaire

Choisissez une méthode de connexion pour poster votre commentaire:

Logo WordPress.com

Vous commentez à l’aide de votre compte WordPress.com. Déconnexion /  Changer )

Photo Facebook

Vous commentez à l’aide de votre compte Facebook. Déconnexion /  Changer )

Connexion à %s