Chine – Emmanuel Macron, il a ce truc : dès qu’il ouvre la bouche, c’est un désastre.

Emmanuel, il a ce truc : dès qu’il ouvre la bouche, c’est un désastre.

Son voyage en Chine finit par des tensions géopolitiques renforcées. Le thé chinois aurait-il endormi notre VRP national si attentif aux désirs de ses appuis milliardaires, où pensant soudainement que l’Europe, c’est une faiblesse et décide de faire chaise à part de l’ Union européenne et des États-Unis, en plaçant ses choix politiques au-dessus, se positionnant comme celui qui indépendant, décide pour les autres, alors qu’ Emmanuel Macron est bien évidemment dépendant d’ une économie mondialiste, d’autant par le nucléaire. Il est moins enthousiasme pour une politique au ralenti avec ses alliés, quand il est d’augmenter un appauvrissement de la population par ce qui est appelé l’inflation, et qui est la conséquence des profiteurs de guerre, qu’il a dénoncé lui-même, mais sa parole est promesse au vent. Ce vent froid conflictuel qu’il souffle lorsqu’il s’exprime, et accuse un échec politque et humain qu’il transforme à ses yeux en victoire !

Emmanuel Macron, la stratégie du conflit

La guerre de la faim continue sa route, accable des populations au Sahel, en Afghanistan, sur tous les continents, y compris en Europe.

C’est dans un contexte d’affaiblissement de la santé humaine par l’insécurité alimentaire, des épidémies actuelles, dont le choléra qui s’étend, que les conflits armés persistent, que la géopolitique devient dangereuse pour la paix dans le monde.

Il est d’autant plus important d’avoir un discours stable et uni, solidaire avec les ambitions de paix, détaché de toutes tentations économiques, et les milliardaires soufflant à l’oreille d’Emmanuel Macron, puis Raffarin dans l’encoignure de la porte, jouer perso, en se pensant chef de l’Europe, c’est risquer d’accélérer les conflits pesant sur Taïwan.

C’est aussi déstabiliser l’Union européenne, provoquer une division, et finalement nous dire que les milliardaires en fleuron de la France, c’est une mauvaise carte, car reposant sur le déséquilibre, les injustices, les droits humains bafoués à travers le monde.

Le voyage d’Emmanuel Macron en Chine était inapproprié. Un marque de faiblesse, et ramenant l’économie à sa cupidité. 

Le président chinois a signifié son alliance avec Vladimir Poutine, son opposition au monde occidental, le déplacement du président français paraissait déjà comme un mauvais choix, un signe de faiblesse marquant que la France était dans la recherche de compromis dans une stratégie d’intérêts.

Puis, dans le fondamental, ce voyage en Chine se trouvait de facto confronté à la problématique des droits de l’homme, de la guerre en Ukraine et bien évidemment des tensions avec Taïwan. D’autre part, la souffrance du peuple d’Ukraine, des enfants traumatisés par la guerre ne pouvait pas amener à une rencontre sereine et saine. Emmanuel Macron s’est placé dans une démarche incompatible avec des positions sûres, de respect envers lui-même et envers des engagements multilatéraux.

Emmanuel Macron – son voyage en Chine lui a servi de tremplin pour imposer son discours en politique de guerre

Ses propos en prenant le terme de « suivisme » lors d’une interview donnée par Emmanuel Macron aux Échos, à Publico, et à France Inter, publiée le 9 avril dernier, a déclenché une tempête suivie d’exercices militaires chinois de grande ampleur à proximité de Taïwan.

Emmanuel Macron s’est positionné dès son élection en 2017, comme celui qui serait le futur chef de l’Union européenne. Il parle de souveraineté européenne, de stratégie multilatéraliste, parle en 2018 d’une « vrai armée européenne » et se prononce pour une indépendance par rapport aux États-Unis, et par le mot « souverain » qu’il accentue dans son discours, il exprime la menace de la guerre aux portes de l’Europe et évoque la Russie. « Face à la Russie qui est à nos frontières et qui a montré qu’elle pouvait être menaçante », dit-il dans une interview diffusée sur Europe 1 en novembre 2018.

Emmanuel Macron pousse son argumentation par un discours solennel en appelant les Européens à se protéger des menaces de conflits entourant l’Europe, et souligne qu’il faut, « nous protéger à l’égard de la Chine, de la Russie et même des États-Unis d’Amérique ». Il fait évoluer son discours dans un contexte de « menaces », de « peur », dans un monde où le désarmement nucléaire n’est pas acquis.

Emmanuel Macron sépare l’Europe des problématiques mondiales comme les crises que nous traversons, et veut en faire un îlot neutre passant son temps à se protéger des uns et des autres, tout en s’inscrivant dans un mondialiste persistant, et tirant profit de celui-ci, des tensions géopolitiques, tout en paraissant comme statistique, un immobilisme face aux crises mondiales et dans son interview du 9 avril, il dit aux Échos, « Le piège pour l’Europe serait qu’au moment où elle parvient à une clarification de sa position stratégique, elle soit prise dans un dérèglement du monde et des crises qui ne seraient pas les nôtres ». Sa pensée est extraordinairement fausse.

Déjà son voyage en Chine s’inscrit dans une démarche inverse, comme la volonté de réaliser des profits par les ventes d’armes, dont l’objectif vise un record, 30 milliards d’euros de profits entre 2021 et 2022. C’est être dans un mondialisme, au cœur de la toxicité de la géopolitique, renforcer l’armement en fleuron de l’industrie, quand la priorité est le désarmement, et Antonio Guterres, Chef de l’ONU, a souligné le leadership des jeunes militants engagés pour le désarmement, à l’occasion de l’anniversaire d’Hiroshima en 2022, alors que Vladimir Poutine établissait des rapports de force avec la menace nucléaire.

Par ailleurs, la France et l’Europe se situent sur la planète Terre, font partie du monde, et les crises mondiales sont les nôtres. Puis, les crises mondiales ne sont pas divisées les unes des autres, mais se constituent par le même corps, notre humanité. Les crises sont liées entre elles, c’est un mouvement planétaire qui n’a pas de frontières. Par ailleurs, il est la nécessité de la coopération internationale solidaire, le partage des connaissances, des moyens, une symbiose des politiques de résilience qui doit primer puisque les crises sont irrémédiablement mondiales.

Puis, Emmanuel Macron peut difficilement se positionner comme décideur de l’Union européenne, quand il perd sa légitimité en France, que la population à 70 % s’oppose à la réforme des retraites, et que celle-ci révèle une crise des systèmes politiques en France. Un régime autoritaire s’installe par des politiques malsaines imposant une démocratie restreinte, une puissance excessive des politiques, et l’État se sépare du peuple.

Emmanuel Macron exerce une politique violente à l’égard de sa population qui se protège des décisions de son gouvernement, de décennies de politiques séparatistes entre une haute bourgeoisie accaparant les pouvoirs politiques, et la population dont le vote n’est pas celui du consentement, mais qui revient à choisir le moins pire.

Emmanuel Macron ne peut parler de choix pour l’Europe, finalement de Constitution européenne autour de nouvelles stratégies, quand en France il accumule les échecs politiques et qui lui sera difficile de tenir jusqu’aux prochaines présidentielles. Il impose un mépris pour répondre aux choix du peuple ce qui produit un État insécurisant.  

Celui qui insécurise chez lui, ne peut sécuriser ailleurs par l’effort de paix, qui est le premier équilibre, alors que la violence politique s’impose en France en stratégie de gouvernance.

Emmanuel Macron évoque également la nécessité d’une « accélération de l’économie de guerre européenne », ajoutant, « Nous ne produisons pas assez vite »,Et, il émet le verbe accélérer en valeur de puissance stratégique, « Aujourd’hui, il faut accélérer la mise en œuvre sur le plan militaire, technologique, énergétique et financier pour accélérer notre autonomie effective ».

Sa démonstration correspond à la réformes des retraites, aux lois travail qui suivront, et qui vont accélérer une stratégie de guerre, industrielle, du nucléaire civil et de l’armement, et comment faire asseoir le monde sur une bombe à ciel ouvert. La stratégie définie par Emmanuel Macron est mondialiste, et donc cette accélération sera en mouvement mondial, et non uniquement sur l’Europe et la France. Le risque est aussi pour le climat, et la Terre va subir une accélération de la pollution qui sera autre, mais tout aussi redoutable.

Changer profondément notre économie, c’est primordial, et ce n’est par des systèmes accélérant un mouvement destructeur, mais favorisant un mouvement parallèle d’équilibre permettant de ralentir la ligne droite fonçant dans le mur.

Emmanuel Macron garde le cap de l’IA en robotique en valeur accélérée, ainsi que Big data, pour mettre en œuvre sa vision de l’Europe, qui va profondément diviser l’Union européenne. Par ailleurs, il parle d’une « accélération de l’Europe-puissance », sans prendre conscience que l’Europe se constitue de peuples , et qu’il est aujourd’hui, une augmentation de la pauvreté, de l’insécurité alimentaire en Europe, que cela est provoqué par une accélération de la violence politique, une accélération de l’enrichissement d’une minorité, enclenchant une accélération du réchauffement climatique par un déséquilibre magistral entre les discours politiques, les actes, et la réalité que subissent des millions de personnes à travers l’Europe.

Le président parle d’accélérer la production, mais toute production n’est possible que par les ressources naturelles et par l’humain. Or, les ressources naturelles subissent un épuisement, et l’humain étant uni à la Terre, vit également cet épuisement, donc Emmanuel Macron va nous expliquer comment il crée l’eau, par exemple. Comment va-t-il mettre l’humain en marche, « coûte que coûte » pour obéir à sa conception du monde à marche forcée, comme il le dit.

La stratégie économique qu’il défend est obsolète, et il oublie une chose, lorsqu’il affirme que le responsable, ce sont des décennies d’inertie politique : ne se pose-t-il pas la question de savoir comment ses alliés politiques et milliardaires ont réalisé leur pouvoir et pour certains leur fortune, alors qu’ils sont ses appuis. Ils s’entourent de ceux responsables de 30 ans de perdu dans la lutte pour ralentir le réchauffement climatique, dans la lutte pour les droits humains, pour une démocratie véritable, des politiques saines et non prises dans les affaires à l’omerta des pouvoirs.

Puis, les milliardaires n’ont-ils pas eu besoin d’appuis politiques favorisant une croissance économique par l’effondrement des ressources naturelles, et de la justice dans sa dimension sacrée de protéger le vivant, la nature et notre humanité dans une alliance réalisant la prospérité, la durabilité par l’entraide, la solidarité, par une économie de paix et non de guerre, celle défendue par Emmanuel Macron.

Emmanuel Macron prend le peuple en outil pour réaliser à marche forcée sa politique, sans autre choix possible et il impose ce mouvement accéléré au peuple en faisant réformes sur réformes modifiant toutes les sphères de la société, et perdant dans sa stratégie en labyrinthe, la démocratie.

Les manifestants n’ont pas fini de marcher contre une réforme imposée de manière dictatoriale, qu’une autre suit. C’est un calcul politique visant à submerger la population, à traumatiser les plus vulnérables, et les projets de chacun se trouvent emportés par la tempête accélérée que met en place Emmanuel Macron.

Une peur de l’avenir, une accélération des évènements, les ODD paralysés et difficilement réalisables d’ici 2030, les profits de milliardaires aux vertigineux milliards, une accélération des crises mondiales, et Emmanuel Macron veut enclencher une accélération supplémentaire pour une croissance économique qui est l’effondrement.

La bonne conscience de produire « français » alors que tout s’inscrit dans un capitalisme mondialiste, acharné et détruisant l’équilibre vital à notre survie. Ce n’est pas la surcroissance qui doit dominer, mais un changement de ce que l’humain produit et consomme.

Puis, modifier l’énergie, c’est oublier qu’elle est produite en premier par la Terre, que l’homme ne fait que l’organiser, la transformer en un produit, sans connaître les réelles conséquences que cette exploitation et sa diffusion auront sur la planète.

Déjà dans 10 ans, nous risquons de subir les effets dramatiques de la politique d’Emmanuel Macron, car elle fragilise les ressources et l’humain dépossédé de sa liberté, sa vie en état d’instabilité, et la santé physique et mentale sont à mises à rude épreuve, pourrait subir les traumatismes en résultant, comme la pauvreté peut marquer des enfants tout au long de leur vie. Survivre en dépassant chaque jour une liberté traumatisée, ce sont les conséquences de la violence.

Emmanuel Macron peut organiser des discours, mais il ne peut pas organiser la vie, et certainement pas celle du peuple sans son consentement. 

Fédora Hélène

@liberterradaily

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