
La rivière, la force de la paix – la vie de l’eau
Il était une fois, une femme et une rivière, l’eau douce dansant doucement, ce chant de l’eau, les prés, la nature palpitante, ce cœur battant relié au mien, me donnant sa respiration, son souffle de paix.
Apprendre de la Terre, recevoir sa force, être ce calme de la rivière chantante, ce mouvement de vie.
Il était une fois des violences conjugales et sexuelles, le monde politique en ombre, le décès dramatique d’un avocat politique, et au loin frappant cet homme de violences sans aucun respect du temps du deuil. Il était un autre homme politique que j’avais au téléphone alors mes pas le long de la rivière. Je compris qu’il ne serait pas de sa part ce sourire de paix donné.
L’homme de violences, le prince décharmant trinquait avec quelques politiques depuis fort longtemps, et cet étrange d’être l’invisible, ce que l’on peut tuer, ce que l’on peut effacer comme la brume du matin disparaissant. La paix alors tintant à l’après-midi ravissante, rappelant la vérité de la vie. Le long chagrin, le corps blessé, la solitude absolue et le prédateur en figure de proue de ce bateau ivre des mensonges du monde des illusions, dessinant ce phare au néant, les systèmes politiques ayant pris les hommes, les enfermant dans sa cale, à l’obscur et le jour devenant pâle. Pourtant la lumière était si belle au dehors. Les pas allant, traversant les champs, cet infiniment petit à l’immensité de la Terre, de sa liberté.
Les hommes politiques ont-ils vu ce chemin de paix, font-ils corps avec lui ? Le trait au fusain à l’esquive puis la feuille plongée dans l’eau s’unissant à la rivière, ondulant à son mouvement, fragile et légère, je dessine la voile blanche se fondant au ciel, abandonnant au loin, si loin le vacarme de puissants politiques faisant le désastre du monde tant ils n’ont pas ressenti leur cœur battre à l’unisson, la Terre et la paix.
Extrait © Les hirondelles chantent en hiver –
Fédora Hélène
La violence, puissance des systèmes
Nos sociétés ont été conçues par des systèmes de pensée fondés sur la guerre, la conquête par la puissance, ce savoir tuer pour posséder, ce savoir soumettre, mettre en état d’esclavagisme ses semblables, d’abattre la paix, la vie comprise dans sa dimension de mort par l’orgueil de l’homme face à ce qu’il ne peut maîtriser, comprendre. L’impossibilité qui est donnée à son esprit humain d’avoir une certitude sur ce qui serait après la mort.
Le voyage de l’amour s’arrête-t-il à la mort du corps, où rejoint-il d’autres dimensions, d’autres univers possibles ? Est-ce cette lumière infinie portée par ceux qui aiment ? L’âme est-elle ce mouvement perpétuel, l’infiniment petit, l’esprit de liberté infinie, ce rêve constant, cette incarnation du temps qui échappe aux vivants. Qui sommes-nous, nous êtres humains ayant ce sens du divin qui est à la splendeur, à l’émerveillement lorsque l’on ressent la vie inonder tout notre être. L’eau, l’air, la terre, tous les éléments se conjuguant en nous et la lumière créant l’amour. Cet invisible fait de beauté, l’irréel en réalité, ce qui nous tient vivant dépassant les épreuves.
La vie qui ne se définit pas tant elle est le symbole de l’immensité, des univers, ce chemin de l’inconnu empli d’énergie, de naissance, au mouvement du temps à une échelle que nous ne pouvons pas appréhender, ce qui nous conçoit issu du mystère. La valeur suprême de la vie, celle ouvrant notre conscience et savoir que nous recevons le bien de la vie pour le transmettre, le partager et être en bonheur car nous sommes la liberté, son expression pleine et entière.
Les mots limités à ce que nous connaissons, et les milles écritures sillonnant le langage de notre humanité comme le mouvement de nos corps, le chant de notre voix, l’eau – nous sommes la rivière courant de terres en terres. Nous sommes l’océan, l’unité au sel de nos larmes.
Nos sociétés se sont séparées de ce qui est précieux. Les politiques, systèmes judiciaires ont remplacé la justice, ils ne peuvent la porter. Il peut être les vocations, agir avec foi et abnégation, mais il ne sera pas l’amour dans sa gloire tant que les systèmes persisteront.
Nous portons tous en nous ce coup de glaive, cette douleur, ce traumatisme de la première guerre. L’homme a perdu quand il a tué son frère. Retrouver le sens de l’universalité de la paix alors que les industries de l’armement produisent de manière accélérée au niveau international, que la toxicité de la géopolitique est par son langage en rapports de force menaçant le monde et aggravant les crises humanitaires.
France – Violences conjugales, le fléau plaît aux systèmes politiques
Emmanuel Macron fait partie du mouvement du chaos. Ces mots sont son propre désespoir qu’il transmet à la nation, puisque l’homme ne peut transmettre que ce qu’il est. Lorsqu’il dit exprimer en 2 minutes son « cap » au Parisien, il dit « On sortira les gens du désespoir ». Celui qu’il a créé, celui qu’il hisse vers le haut, celui qu’il porte, celui qu’il noie dans la déraison du capitalisme, de l’argent, de l’orgueil du pouvoir, au déni car il ne subit pas la pauvreté, ne subit pas ce qu’il ordonne pour les autres, ce qu’il fait subir.
Un gouvernement suffoquant à l’évocation de la misère, offrant son mépris car ils sont face à leur conscience. Ils savent ce qu’ils font, conscients et responsables, ne subissant pas ce qu’ils imposent à leurs semblables. Le travail du pauvre est conçu par le riche qui n’a jamais travaillé de ses mains, qui n’a jamais eu le dos courbé, qui n’a jamais pétri son pain, et qui a donné un prix à la valeur de la vie.
L’homme politique est celui qui ne ressent pas l’eau coulant sur son front, restant à l’aride de son cœur, et remplaçant l’amour par le pouvoir. Il est des hommes politiques se revêtant de la vertu de l’État sous le masque de leur violence. Ces hommes politiques se faisant l’ami de prédateurs, de manipulateurs, de ceux sans limite, se salissant les mains pour ceux ne vivant que par leur image, les apparences et ce couronnement du roi qui est l’emblème de l’État séparé du peuple.
La démocratie est cette fleur jamais éclose, et la crise actuelle révèle ce qui était depuis des décennies. Emmanuel Macron est cet homme de l’ancien siècle et se cultivant à ce livre et ne connaissant pas la réalité de la vie, ne partageant pas avec le plus fragile, le démuni. Il voit le désespoir dans le regard d’un être humain, mais ne peut être en sincérité. Il est le système, une partie de lui, il n’est plus la liberté, ni ne possède la liberté pour lui-même.
Certains milliardaires, et certains hommes politiques à l’environnement du pouvoir sont des hommes de violences, des héritiers des systèmes pliant notre humanité à la soif de l’argent, de ce qui n’existe pas et s’alimentant de cette folie suicidaire. Emmanuel Macron et les uns et les autres, les influences politiques ne respirant que la cupidité, prenant des ressources naturelles, de la dignité de l’homme pour satisfaire leur orgueil de pouvoir.
Lorsque ces réseaux d’argent, aux corruptions se sont formés, Emmanuel Macron était un jeune adolescent. Il ne les connaît pas, ne les a pas vécus, ni en a subi la terrible violence. Ils le maîtrisent plus qu’il ne le croit, comme Poutine l’a dominé. Emmanuel Macron fait partie du monde de la bourgeoisie, de l’argent, des salons et il disserte sans connaissance des vies qu’il opprime, et serait-il capable de survivre en étant précaire dans la société de violences que des siècles de politique ont bâtie ?
La seule chose que le président de la République devrait faire, c’est démissionner. Il devrait trouver son chemin de paix, revenir à la communion qu’est notre Terre en osmose avec tous les éléments du vivant et des vivants, notre humanité.
Il n’est plus d’avoir un État tel qu’aujourd’hui, ni un chef pour des millions de personnes, ni un système sociétal ordonné par la guerre, les industriels à la férocité des profits, calculant l’homme en outil, et le poussant à bout pour répondre à des programmes de concurrence des marchés de leur folie.
Se séparer des systèmes bancaires qui sont l’inutile et ont donné un prix à la valeur suprême de vie. Effacer les réformes du capitalisme acharné en machine à détruire, cette fabrique de prédateurs, de manipulateurs, le regard de haine au cœur de pierre.
En France, les mères isolées souvent survivantes de violences conjugales multidimensionnelles représentent 35 % des personnes vivant sous le seuil de pauvreté. Les violences conjugales sont en augmentation de près de 25 %, un chiffre difficilement évaluable car nombreuses victimes ne portent pas plainte, et nombreuses plaintes sont oubliées, aux intitulés minimisés, à l’effacement des témoignages parfois pris dans des conditions catastrophiques pour la victimes. Actuellement, les systèmes judiciaires provoquent des traumatismes supplémentaires aux victimes, brisant pour certaines leur courage, leur espérance et menant au désespoir comme un prédateur le fait, car se sont des systèmes violents.
Des professionnels de justice ayant une vocation souffrent aussi de ces systèmes destructeurs, au système d’inversion et protégeant des prédateurs, comme ils sont l’écho des systèmes politiques et que l’indépendance de la justice n’a jamais existé.
Cette année est celle du choix et la crise démocratique qui se révèle en France laisse au peuple la chance de saisir par son combat la possibilité de faire table rase des systèmes de violences. Une police elle-même divisée, des violences policières, des violences du système judiciaire, une justice à terre abandonnant des femmes, des mères et des enfants aux mains de prédateurs, les laissant détruire des vies.
L’immoralité humaine des systèmes laissant des personnes dans la rue au froid, au vent, au soleil brûlant, à la pollution, que la France ne dise plus qu’elle est le pays des droits de l’homme. Les politiques cultivent le safe image pour l’international, mais quand dans leur pays le pauvre dort sur le bitume alors que le premier milliardaire du monde est Français, et qu’il n’aurait jamais rien été sans les politiques, les dirigeants devraient avoir la volonté de se rappeler leur première mission : anéantir la pauvreté.
Une mère, les larmes brûlantes, coulant de ses yeux rougis par trop de souffrance. Ces viols conjugaux tuant à petit pas, et la fenêtre fermée, qui resterait le dernier refuge si elle s’ouvrait vers le vide. Les suicides forcés, ce crime parfait de pervers narcissiques extrêmes que les systèmes judiciaires arrêtent si rarement, sans aucun respect de la Convention d’Istanbul et oubliant le rapport de l’ONU révélant qu’au niveau mondial 641 millions de femmes sont victimes de violences sexuelles commises par leur partenaire.
Article sur LiberTerra – Le chiffre glaçant – 641 millions de femmes victimes de violences sexuelles exercées par leur partenaire, conjoint, ex-conjoint.
La France est devenue une société de violences – 41 féminicides du 1er janvier au 05 mai 2023, selon Nous Toutes. En quelques mois, la France arrive pratiquement au bilan de l’Espagne sur une année, soit 48 féminicides en 2022.
« Aucun répit pour les agresseurs » a déclaré Emmanuel Macron. Il a voulu être président de la République, c’est son choix ; qu’il honore sa parole, celle qu’il a donné au peuple en faisant de la lutte contre les violences faites aux femmes, la cause nationale pour deux quinquennats successifs. Un pays, c’est un peuple.
Les violences conjugales sont en augmentation d’au moins 21 %, il est un viol ou une tentative de viol toutes les 7 minutes, les plaintes pour violences conjugales, sexuelles restent enfermées dans le système d’impunité donnant force à des prédateurs. Les systèmes judiciaires semblent plus attachés à soutenir des hommes violents et de temps en temps, il y a un jugement minimisé pour le prédateur.
La valeur de consentement demeure piégée par la perversité des lois, peu change, peu avance, et Emmanuel Macron n’a aucun intérêt à défendre le droit humain de vivre pour les survivants de violences. L’indifférence domine, ce n’est pas la paix qui le porte politiquement.
Rien ne changera et la justice restera l’absente, fidèle à servir en premier les très riches qui arrangent tout dans le secret de bureaux d’avocats, pendant que des milliers de victimes n’auront jamais la moindre reconnaissance. Ce sont des milliers de femmes victimes en France qui sont oubliées, effacées.
Marlène Schiappa se vante dans la presse d’avoir son avocate disponible pour elle, prête à porter plainte contre toute personne évoquant son nom dans l’affaire des fonds Marianne, pendant que des femmes et des enfants victimes de prédateurs, d’actes de violences qui peuvent traumatiser toute une vie, n’ont pas les moyens d’avoir un avocat répondant immédiatement, portant plainte auprès du doyen des juges, ou Marlène Schiappa ira-t-elle témoigner dans un commissariat ou une gendarmerie, ou sera-t-elle à une justice différente ?
De nombreuses victimes expliquent avoir témoigné dans des conditions très éprouvantes. Une femme témoignant de violences conjugales graves, de viols conjugaux, dont des viols subi enceinte et alitée, une grossesse à risque, en étant placée assise devant la porte ouverte du bureau et donnant sur un couloir passant, des policiers entrant et sortant.
Un état de choc, et aucune prise en charge pour au minimum la santé de la personne. La force de dépasser des traumatismes supplémentaires, de tenir le coup, d’être en résilience. Et, souvent il faut témoigner encore et encore au vide sidéral des systèmes judiciaires qui en plusieurs décennies n’ont pas protégé, ou si peu, si rarement, quand 80 % des plaintes pour violence conjugales sont classées sans suite, et les 20 % restantes noyées quand il n’est pas un avocat et les moyens financiers d’assurer les frais coûteux de justice.
Des prédateurs qui ont une obligation de soins dans cet aberrant que l’on ne peut obliger une personne à se soigner, qu’ils ne sont en grande majorité pas malades, mais conscients et responsables. Des prédateurs infantilisés avec des leçons de morale servies par des psychologues, dont ils se fichent complètement et ils ne disent à leur interlocuteur que ce qu’il veut entendre. Pendant ce temps, il n’est aucune politique de résilience pour les victimes de violences.
Des violences conjugales et sexuelles qui peuvent impacter le cerveau de la victime, provoquer des maladies, comme des cancers, des AVC, des dépressions, des stress post traumatiques, des tentatives de suicide, des hémorragies, entre autres et il n’est aucune reconnaissance, réparation pour les victimes. Et, quand il est question de dommages et intérêts, les victimes sont accusées d’être vénales.
Pendant ce temps, en France des prédateurs se portent à merveille et ce sont aussi des pères, des fils, des frères profondément choqués car leur mère, leur fille, leur sœur, leur amie a été victime d’un agresseur et ils ne peuvent que constater une justice qui abandonne, humilie, protège des hommes violents qui déshumanisent leur proie comme ils se sont déshumanisés pour commettre des violences inouïes envers une femme.
Emmanuel Macron incapable de respecter ses engagements.
Des décennies de maltraitances envers les femmes ne suffisent pas ?
6 ans – Depuis 6 ans, la lutte contre les violences faites aux femmes est la cause nationale. Il a été des mesures prises qui ne sont pas celles qui peuvent profondément refonder la justice, où plus exactement lui donner naissance.
Le droit de vivre est un droit qui relève du sacré car il implique la vie d’un être humain. Un droit qui n’est pas respecté quand des milliers de femmes sont chaque année victimes de violences dans une indifférence qui ne signifie que l’ inhumanité.
Les violences conjugales, sexuelles peuvent briser toute une vie, sont cet incompréhensible cruauté, celle rejoignant les systèmes judiciaires qui donnent une puissance à des hommes extrêmement violents en leur garantissant l’impunité.
L’injustice domine. La France est dominée par l’injuste
C’est toute une culture de la maltraitance cachée, ce lac si calme, sans une vague et révélant le plus fort tourment.
Les survivantes ne le sont pas grâce à la justice, mais grâce à la force de vivre par ce qui porte la vie, la justice naissante par l’amour et sa paix.
Ce qui est oublié dans des systèmes à l’obscurantisme de la violence.
Une question posée en vue d’une journée contre les violences faites aux femmes dans un département en Normandie, est sur la présomption d’innocence et la remise en cause de la parole des victimes de ce fait.
Dans un département en sommeil pour lutter contre les violences faites aux femmes, respecter l’engagement de développement durable : zéro violence faite aux femmes et zéro tolérance pour les agresseurs. C’est dans la ligne d’une droite conservatrice, en donneurs de leçon, où les droits de la femme sont constamment affaiblis, où il était un investissement pour la Manif pour tous.
Puis, il a été une journée en Normandie de rentrée politique des droites soulignant qu’il fallait ne pas en faire trop pour les droits humains des femmes, et des politiques ont osé se vanter de leurs prouesses pour les droits des femmes. Pas une seule femme de leur rang ne s’est levée pour quitter ce théâtre affligeant, à la culture patriarcale sans aucun respect du droit de vivre.
Ces politiques qui influencent constamment, sont depuis Chirac mis en pions dans toutes les sphères de la société, et Emmanuel Macron proche de ce conservatisme, de la droite LR, anciens du RPR.
La liberté de la presse est en chute libre, une liberté qui est la base de la démocratie, qui est la voix des droits humains. Des droits humains restreints, des vies écroulées, celles innoncentes victimes de prédateurs.
Des prédateurs qui se baladent tranquillement si sûrs et certains de leur impunité.
Le show Marlène Schiappa n’aura pas porté le droit de vivre de femmes victimes de prédateurs. Et, aujourd’hui, on s’amuse des propos salaces de Bruno Le Maire, ministre des cuillères en argent. Tout va bien dans le meilleur des mondes.
Jérôme Peyrat, ancien conseiller d’Emmanuel Macron, condamné pour violences conjugales est-il toujours à s’exprimer en soutien sur les réformes du gouvernement, la parole politique, et plus loin les violences faites aux femmes, et toujours au loin l’apaisant d’une rivière pour paix. Comment ne pas vouloir son pays en paix ?
Par ailleurs, la contrôleuse générale des prisons, Dominique Simonnot, évoque dans son rapport le fait que durant des gardes à vue, notamment des manifestants arrêtés- es, des femmes sont déshabillées, laissées en culotte sans soutien-gorge durant la garde à vue pouvant durer 24 heures et certaines femmes suspectées de consommer de la drogue sont mises complètement nues, le tout sans que soit une justification valable. Les droits humains fondamentaux bafoués, la dignité humaine mise à terre.
Des systèmes inhumains qui correspondent à un système prédateur qui ne peut se juger lui-même, et les lois issues de ce système ne peuvent reconnaître la culpabilité de prédateurs conçus par le système lui-même. Il est l’horloge du hasard, une vicitme sera reconnue pour mille autres abandonnées. La loi de l’injuste et la rivière s’écoulent lentement comme la tristesse ferme les yeux des femmes au silence des souffrances.
Fédora Hélène

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