« Quoi qu’il en coûte » Comment déclamer cette tirade quand la vie a besoin de vivre et non de survivre !

« Quoi qu’il en coûte » – Comment déclamer cette tirade quand la vie a besoin de vivre et non de survivre !

La vie n’est pas un théâtre se jouant dans les palais monarchiques à l’ombre d’une Constitution autocratique pour satisfaire une bourgeoisie du 18-19ème siècle en remplaçant le charbon par le nucléaire.

Emmanuel Macron est devenu insupportable aux yeux de beaucoup de Français. Des citoyens ne supportent plus son mépris, l’arrogance de son gouvernement, de ses conseillers, appuis.

Le 22 avril, c’était la Journée internationale de la Terre Mère. La Terre nous invite en cette année du choix à réaliser l’universalité de la paix.

Les guerres doivent cesser. Elles sont contre notre humanité, contre la nature. La guerre de la faim, la guerre contre la nature, la guerre mettant en souffrance des femmes, des enfants, éloignant des frères, des fils, des pères bien-aimés, mettant sur les routes des déplacés, faisant de la méditerranée ce cimetière bleu, brisant toute paix et en réponse à notre monde basculant dans le douleur, les dirigeants sont au toxique de la géopolitique, à leurs fausses promesses écologiques, aux mensonges politiques, à une économie capitaliste suicidaire.

Emmanuel Macron parmi les oppresseurs est cet homme du passé servant une vieille économie au triomphe de la cupidité. La croissance économique, c’est l’effondrement civilisationnel, l’épuisement des ressources naturelles.

L’urgence est d’éviter les effets dramatiques pour les plus vulnérables du point de rupture des systèmes qui va se produire et notamment par l’accélération d’une économie de guerre, par la violence politique, par l’industrie de l’armement qui se renforce et ce au niveau international.

La révolution climatique est irrémédiable et c’est l’eau qui orchestre son évolution.

L’eau douce disparaissant de nappes phréatiques et les récoltes en seront touchées sur différents territoires à travers le monde.

La réforme des retraites, c’est un vieux truc de droite, inutile, et Macron sert ses réseaux. C’est une perte de temps et il enclenche un raisonnement qui va à l’inverse de la protection de la nature et donc de notre humanité.

De plus, la politique accélère un mouvement de violence, de haine et c’est destructeur. M. Darmanin et ses lamentables mots « écoterrorisme », penser que la pauvreté à Mayotte va être résolue avec la force policière, les cercles politiques dressant des murs, accélérant la violence – Ils condamnent le pauvre et non la pauvreté. Une politique destructrice que beaucoup ne veulent plus.

Pour donner force à la paix en opposition avec la violence, nous devrions marcher pour la Terre. Ressentir sa respiration, son souffle de vie en nous. C’est cela qui nous sauve, respirer, boire de l’eau pure.

Ni l’argent, ni les armes nucléaires, ni la folie du pouvoir nous donneront la vie, la possibilité de vivre.

Le temps de la vie est le temps de la paix

Lever les yeux vers la cime de l’arbre, plonger son regard dans l’immensité du ciel, se perdre dans les nuages, ressentir en soi toute la joie de vivre cet extraordinaire qui n’a pas de définition, est à l’infini, la liberté. Ce voyage sans frontière ne sépare pas le réel de l’irréel, l’esprit humain s’accomplissant en réfléchissant au-delà de ce qui est envisageable, parcourant les dimensions de l’univers, comprenant le futur en unique dimension de l’espace, celui de la création. Les autres temps compris par la mémoire sont la particularité de la Terre, son intelligence.

Le futur est ce qui nous précède, ce qui permet à notre vie d’être accueillie – l’expansion perpétuelle. L’être humain ne peut maîtriser le temps, ni dominer l’espace en mouvement qui est le futur. Ce temps qui s’ accélère. L’espace-temps conçoit l’avenir de la Terre et de notre humanité. L’univers crée le futur pour que tout puisse exister, qu’il puisse être le réel de la matière. La seconde d’avant, nous sommes l’irréel, ce temps que nous ne vivons pas encore et qui se construit en connexion avec tous les éléments du vivant et en unité pour qu’il puisse être.

Tout est lié et rendu possible par l’énergie de la lumière. La Terre est la perfection de l’unité, où tout gravite en symbiose, où tout est traversé par la lumière et réfléchi en son cœur ce soleil. La Terre est inondée de lumière, le néant n’y existe pas. Je peux penser que le néant est une invention humaine, cette absence de possibilité de connexion avec tout l’univers, de ressentir une joie, la joie de vivre par cet insondable, indéfinissable de l’intelligence de la lumière.

L’être humain possède la connaissance de la valeur suprême de la vie, il ne peut la nier sauf à devenir l’absurde, la cruauté. L’absurde de détruire qui s’émancipe en une incompréhensible cruauté : tuer la vie.

L’économie est inventée, et demain l’être humain peut décider de fonder un autre système, où le vivant est la priorité. La Terre a établi la générosité et elle donne. L’humain ne peut que recevoir la bonté de la Terre et l’erreur est d’exploiter ce qui est un don du vivant. Les ressources naturelles n’ont pas de prix et les systèmes bancaires sont arrivés au point de faire de la spéculation sur la valeur de l’eau. C’est une aberration et donner un prix à l’eau, c’est enfermer notre civilisation dans son autodestruction puisqu’elle ne conçoit pas que la vie est une valeur de liberté, de consentement et qu’elle n’a pas de prix.

Nos sociétés ont été fondées par les inégalités, les riches et les pauvres et ont ainsi imposé la valeur de souffrance car l’humain est séparé de la valeur de consentement qui est source de la joie de vivre car en symbiose avec le vivant, la réalité de sa dimension l’infini bonté, l’amour.

La guerre de la faim est par la valeur inventée de l’argent, et le marchand civilisationnel a donné au pain non la valeur de la terre portant le blé, mais celle du profit à cet absurde de l’inexistant. La valeur du pain est la valeur terre. Établir la gratuité pour revenir au consentement du vivant, ce oui à la naissance de la lumière, de l’eau sur terre, de l’air que nous respirons.

Quelle est la valeur argent de l’air que nous respirons, quelle est la valeur argent de la planète ? À qui la vendrons-nous ? Quelle est la valeur argent de notre bien commun, l’esprit humain ? La seule valeur est celle de la vie.

Emmanuel Macron est à l’artifice, comment lorsque le gouvernement interdit les « rassemblements revendicatifs », selon un arrêté préfectoral de Loir-et-Cher a indiqué La Nouvelle République, lors d’un des déplacements du président pour donner l’image de propagande d’un accueil festif. Le gouvernement réduit à arrêter des casseroles. Emmanuel Macron déclarant au sujet de la réforme des retraites, « C’est un choix de la nation que j’assume totalement ». Mais, la nation c’est le peuple. Le gouvernement d’Emmanuel Macron s’est séparé du peuple, donc de la réalité de la nation.

Emmanuel Macron construit une illusion, et non la réalité de futurs possibles et en paix. Le système politique adopté par Emmanuel Macron, c’est une illusion qui traduit une défaillance démocratique visant à interdire une réalité : les protestations du peuple envers des systèmes politiques condamnant la paix et donc la valeur de liberté. Emmanuel Macron est ce qui représente un système. Il est devenu une part du système et a perdu sa liberté réelle pour l’illusion du pouvoir.

La problématique est aussi celle du chef décidant seul de l’avenir de tous. Un pays n’est que par le peuple. C’est son sens et l’État conçoit qu’il est élu pour tous, et décidant pour des millions de personnes.

Les Assemblées, le Conseil des sages ne fonctionnent pas pour donner une valeur à la démocratie mais pour assurer la dominance de l’État qui s’est fabriqué en système politique, alors qu’il ne devrait être que l’urne recevant les votes du peuple, ces choix, son pouvoir de décider. L’ État veillant à l’égalité, aux droits humains définis par chaque vie est précieuse, ne devrait être que la banque des solidarités et non ce qui appauvrit par la puissance politique qui devient la première violence, l’injustice.

La démocratie n’est pas un règne. La France est une monarchie élective et Emmanuel Macron s’attache au principe de la royauté, celui qui décide pour tous, le fait du prince .

Ses alliés sont à cette image, dont Bernard Arnault défini comme l’homme le plus riche du monde. C’est le règne de l’absurde, de l’illusion quittant la valeur de consentement. Cela crée un mal-être, une détresse humaine et Emmanuel Macron s’est ainsi séparé du peuple. Puis, s’ajoute l’homme surveillant l’ homme, un État policier, sécuritaire qui est le contraire de la sécurité qui accorde de vivre ensemble, en paix.

Les prédateurs sont mis en valeur car le système mondialiste, de la géopolitique est prédateur, maltraitant. En France domine les violences conjugales et sexuelles, l’atroce envers des femmes et des enfants par la culture de domination, de concevoir la puissance de la maltraitance par cette civilisation guerrière et colonialiste, cet appétit bonapartiste, ce qui détruit.

Au lieu de mette fin à ce qui détruit, d’anéantir la pauvreté, les injustices, les politiques sont à l’illusion, à fabriquer un décor qui perpétue l’absurde. Il ne serait pas un échec de mettre fin à la réforme des retraites faisant partie d’un système destructeur. La France peut être cette lumière dans la nuit et fonder une économie nouvelle de partage, d’entraide, de gratuité pour les droits humains fondamentaux.

Fonder les Marches de la paix

Les marches pour la paix pourraient constituer cet élan de la liberté, la volonté de respecter la valeur de consentement, et posséder cette liberté, c’est pour devenir les protecteurs de la Terre. Savoir c’est recevoir et transmettre en bien pour être à l’équilibre de la paix, être connectés les uns aux autres en symbiose avec la nature. Revenir au lien, être cette finitude que forme le globe terrestre. La sphère forme ce mouvement complet où rien n’est séparé, au tout est uni, constitue un ensemble parfait où tout le vivant est un élément essentiel.

Mettre en danger la biodiversité, c’est fracturer l’unité et cela provoque le chaos. De la même manière épuiser les sources d’eau impose invariablement l’instabilité du vivant provoquer par la violence. La violence politique, les maltraitances n’ont pas une incidence uniquement sur l’humain, mais également envers la nature.

La violence politique de M. Darmanin impose un déséquilibre à notre humanité et à la nature. Les forces policières ne sèment pas le jardin de paix. Frapper à coups de matraques à l’aveugle, être violent envers la jeunesse, envers ceux vulnérables, comme condamner le pauvre et non la pauvreté, ne peut être accepté.

Se libérer de la politique, le peuple est dépossédé de sa liberté. Fonder une démocratie véritable, la puissance au peuple et non à l’État. Revenir à l’humain en cette année cruciale du choix. Sortir de ce qui détruit pour entrer dans une nouvelle ère où le politique n’est pas le gagnant, mais l’humain. La politique est l’éphémère pouvant avoir des conséquences dramatiques pendant des décennies, déclencher les traumatismes. La Terre est assoiffée, elle a besoin de notre sincérité, de notre engagement, d’être libre.

Actuellement, les guerres s’amplifient, et d’ici à l’été, il y a un risque majeur de l’augmentation des menaces de la Russie concernant le nucléaire, la guerre en Ukraine, comme le risque est pour Taïwan avec la Chine. La menace d’une 3ème guerre mondiale met toujours plus les populations en difficulté, pendant que les très riches augmentent leur indifférence à la hauteur de leurs gains cupides et calculent en économie de guerre. Ainsi que le Chef de l’ONU l’a déclaré, «Nous semblons déterminés à détruire».

Les Marches de la paix, fonder un mouvement de liberté et être ces millions marchant avec détermination pour protéger la nature, cesser les guerres, devenir le corps de la paix.

Fédora Hélène