« Un jour on va mourir. On ne se sera jamais reparlé. Je pense qu’on a des choses à se dire. »- Christine Angot
Le jour où un homme n’aura pas le droit d’être d’une atroce cruauté.
Ce ne sont pas les brins de blé dans les célèbres rayons d’été, ce n’est pas ce chant humain de liberté, ces forces humaines de témoigner, en France cela n’est rien et pas en France mais dans toute cette civilisation où siècles après siècles les femmes ne furent ce pas grand chose, ce rien et encore dans le cœur de nombreux hommes et femmes, balance cette pierre qui bat.
Se dire tant pis et regarder les étoiles, trouver la sienne et s’enfuir dans un autre monde que celui là qui terrasse la liberté, la jette à terre, et compte les chimères de l’argent, des apparences et la ritournelle de l’ordre, des mensonges, de se tourner en rond dans un progrès pour croire que notre humanité en faut la peine.
Le verbe Aimer ne suffit jamais, il est même le dernier. Les gens préparent leurs vacances méritées pour tournoyer un instant dans cet instant de liberté qu’ils achètent.
Le sens se perd et c’est l’histoire de cet homme qui devient père sans choix, sans amour, sans envie, sans volonté de rendre heureux et d’être heureux. Il veut posséder, posséder des vies comme il les aurait achetées sur le marché. L’esclavage est-il encore possible ? Réduire un être humain à néant, lui voler toute sa réalité, liberté et le noyer sous les coups de violences cruelles.
Combien savaient, l’entendaient, le voyaient et n’ont jamais rien fait pour secourir les victimes ?
Elles n’ont qu’à oublier, tourner la page et laisser le prédateur être à ces habitudes de cruauté.
Faire deuil de toute justice, voilà qui est raisonnable. Faire deuil de sa propre vie, voilà qui est acceptable.
Le viol n’est donc plus un crime ? Sur le papier pas dans la vraie vie ! Alors il faut croire qu’il y en a une fausse vie et se satisfaire de cela.
» Quelle horreur de porter tout ça seule » ajoutant « Je crois qu’il faut faire deuil de toute justice », le 3919, allo, j’écoute !
Retourner sur un chemin d’enfance avant que le drame soit et que ce psychopathe prenne la vie.
Garde le France, il sera toujours à sa haine cruelle et toi à ta honte.
À toi prédateur, le jour où tu as décidé de détruire la vie
À toi qui viole ta femme enceinte, à toi qui a terrorisé toute une famille par ta violence, tes hurlements, tes menaces de mort, toi qui sans scrupule te sers du nom des enfants que tu as fait souffrir pour manipuler et te faire passer pour un père que tu n’as jamais été, à toi qui voyais ton enfant venir au monde alors que tu m’ avais martyrisée pendant toute la grossesse, toi qui ivre passais tes journées dans des bars, mentais, manipulais, volais, escroquais et te permettant de te croire supérieur et d’avoir le droit de détruire des vies humaines, innocentes que tu plongeais dans la souffrance de la pauvreté.
Toi qui pour te ropeser de tes exploits criminels te complaisais dans des hôtels en partant sans payer, volais dans des magasins, partais t’ ennivrer et comme si de rien n’étais, étais toujours tranquille jamais inquièté de rien alors que la justice te connais et que tu es un escroc multiricidiviste.
Ce beau pays, la France qui t’a toujours donné le droit d’être extrêmement violent et d’escroquer les gens qui eux travaillent, qui eux n’arrêtent pas.
Tu ne paies aucunes charges, tu n’as aucunes responsabilités, tu te fais héberger chez les uns et les autres, te balades, prends le train sans payer, fais la fête dans des bars à Bordeaux, vas picoler avec une tarée sur la côte Normande en vacances toute l’année, et tout va bien !
Quelle chance tu as d’être en France !
Les enfants, les femmes peuvent être victimes d’un prédateur sans que personne n’en soit choqué.
Des plaintes qui ne serviront à rien même si Marlène Schiappa a été alertée et qu’elle a pris très au sérieux les actes criminels que tu as commis.
Mais, tu peux dormir tranquille sans regretter d’avoir commis tes crimes et tu peux continuer à manipuler comme tu l’as fait à Houlgate auprès d’une tarée ou à Bordeaux où tu rends service à des gens nocifs.
Nous sommes au 21 ème siècle au cœur du patriarcat, d’une culture bourgeoise, et tu as le droit de violer ta femme enceinte et de la martyriser.
Tu as le droit de la menacer de mort avec un couteau, de lui balancer de l’alcool dans les yeux, des cigarettes incandescentes, de lui envoyer des messages obscènes, dégradants, tu as le droit de violer les droits humains fondamentaux sans que quiconque n’en soit choqué et sans que la justice s’en inquiète.
Philippe Palat, tu as une chance extraordinaire.
Tu as pu réussir à saccager des vies, à escroquer des personnes, à manipuler tout le monde et à te la couler douce sans jamais travailler, sans assumer la moindre responsabilité.
Félicitations pour ta réussite, tu devrais demander une décoration auprès du préfet qui a été informé par le cabinet de Marlène Schiappa mais qui ne voit pas vraiment l’intérêt de secourir des victimes.
Auprès tout ce n’est qu’une femme et des enfants et des prédateurs comme toi, il y en a des milliers !
Tu te noies dans la masse, dans la foule des violeurs si communs et qui en plus osent se victimiser, jouer leurs personnages.
Ça doit être pratique d’être un psychopathe et de n’avoir aucun affect.
Tu prenais plaisir à me voir souffrir. Plus tu me voyais trembler, en souffrance plus tu devenais violent.
Ton regard empli de haine, ton visage aux traits traduisant toute ta cruauté.
On se souvient tous de ta monstruosité et les témoignages des enfants ne sont rien.
Tu es le roi prédateur ! Tu n’as qu’à être cela.
Tous ceux qui ont porté plainte contre toi pour escroqueries et divers disent n’avoir jamais eu de nouvelles de la justice et ils n’en auront jamais.
Comme nous tes proies favorites sur qui tu défoulais toute ta rage.
J’ai été ta poupée de chiffon, ton jouet, ton amusement et tu as pu me violer sans craindre de te retrouver un jour face à tes actes de cruauté.
Les Conventions internationales, les rapports affirmant les dysfonctionnements de la justice française, tout le monde s’en fout !
Tu es certain de rester impuni et de savoir que tu as réussi à faire souffrir horriblement des êtres humains dans ton esprit extrêmement pervers, vicieux comme quand tu arrachais soigneusement le dernier chèque du chèquier pour voler jusqu’à ta propre famille et hurlais, agressais quand on te disais tes escroqueries, mensonges, violences récurrentes.
Demain, c’est la fête des mères. « J’ai honte d’avoir mis cet homme au monde » Nicole, ta mère.
Mais toi, tu n’as jamais honte.
À la justice
Philippe Palat vous remercie tous, avocats, justice d’accepter qu’un homme puisse être cruel et martyriser une femme enceinte.
Je dois d’être en vie qu’à ma force et mon amour pour la vie.
À ma très grande différence, Philippe Palat tutoyait des avocats, leur apportait des clients et volait des documents du cabinet si cela servait son intérêt.
Ce qu’il a fait envers Maître Sylvain G qu’il avait mis sous son emprise.
En lui volant également des dessins que Jean-Edern Hallier lui avait donné, selon maître G dont je ne mets pas la parole en doute.
Philippe Palat, un psychopathe tranquille qui chaque jour exerce sa cruauté.
On peut lui accorder le fait qu’il a compris comment fonctionne le système et que d’être d’une extrême lâcheté, violence, l’incarnation du mensonge et de la cruauté servait à se jouer des apparences.
La véritable force et dignité est celle de vivre avec sincérité et avec le verbe Aimer même si on a pas pour « pote » des avocats !
Son allure très alcoolisée n’a pas arrêté sa capacité de s’introduire dans ces milieux de justice , dans ceux politiques et journalistiques.
Le patriarcat et la culture du viol y règnent dans cette pesante bourgeoisie corrompue.
Le viol est un crime sauf en France où la culture patriarcale domine. Une perversité du système, d’un système où les prédateurs sont la loi et où la justice soulage sa conscience de temps à autre au petit bonheur la chance.
On appelle cela les dysfonctionnements, le manque de moyens, la justice suit son cours, autant de mythes pour ne pas avouer que la justice n’existe pas.
C’est aux victimes de porter le poids de la criminalité d’un prédateur et de devoir se battre seule pour que leurs droits humains puissent avoir l’espérance d’être respectés.
C’est lapider sa vie, son corps pour prouver un viol et d’autant plus cruel quand ce viol était sur une femme enceinte.
Il faut alors entrer dans l’enfer d’un prédateur qui détruit le merveilleux et précieux d’une grossesse et qui fait subir à l’enfant une violence traumatisante alors qu’il est dans le recueil du ventre de sa mère.
Il faut alors prendre conscience de l’inhumanité de la conception de la justice et qu’il est certain que certains de ses acteurs en souffrent également si leur vocation était, elle, la justice.
Une société gravement malade depuis des décennies et qui se trouve à espérer le monde d’après qui ne sera que par le courage de vivre, une envie profonde de vie et alors sera l’accès à la liberté.
Cette liberté refusée à de nombreuses femmes victimes de violences sexuelles, sexistes et conjugales.
La moitié de l’humanité, les femmes, destituées de leurs droits fondamentaux, le respect de leur vie, de leur corps.
Philippe Palat a eu la ligitimité de violer, de martyriser par le simple fait qu’il a acheté une vie par le mariage.
Les neuroscientifiques connaissent le mental de ces pervers narcissisiques, de ces psychopathes et l’intense souffrance qu’ils infligent à un être humain.
Une telle charge de violence que le cerveau des victimes peut en être impacté, que leur espérance de vie peut être réduite de 20 ans.
Il est à espérer ce monde de demain où l’atroce lâcheté, le culte de la haine, cette hypnose opérée contre un être humain par un prédateur pour le mettre sous son emprise ne sera plus considérée comme un droit de détruire une vie, des vies.
Un monde où le terrible néant que cultive Philippe Palat ne sera plus une dimension admise alors qu’elle n’est issue que du mensonge.
Philippe Palat, un prédateur qui s’est accroché à la conception qu’un homme est un loup pour l’homme, ce terrible mensonge, cet endoctrinement lourd.
L’homme n’est pas un ennemi sauf dans une civilisation qui le construit en tant que tel.
La guerre en recommencement inévitable, Philippe Palat aurait été un redoutable pervers en temps de guerre.
C’ est dans tout l’environnement de notre société que ce psychopathe a trouvé sa source.
Il a lu et absorbé de notre histoire sa violence et la haine qui a été entre les hommes.
Il s’est nourri de tout ce qui renforçait sa certitude de prédation.
Jaloux de ceux qui aiment, qui sont plein de vie, d’espérance, de capacité de pardonner, d’être heureux même au cœur des pires épreuves et d’avoir la force de vivre, d’avancer.
Aujourd’hui, il est tranquille à boire, à diffamer, à manipuler, encore et encore, riant dans son effroyable cruauté de tout le mal qu’il a fait.
Dépasser et pour voir le souvenir de mes grossesses sans me heurter à la violence que j’ai subie.
Sans me heurter à cet homme sans aucune dignité, errant sale, sentant l’alcool, et vivant au confort d’hôtel qu’il a escroqué, paraissant dans un article de Ouest France au côté d’une personne à son image, tout ce faux, ce mensonge et très loin de tout cela la vérité.
Une famille, des enfants construisant leurs rêves, leur liberté, leur sérénité pour vivre et dépasser les violences subies.
Philippe Palat peut continuer à manipuler tranquillement, il sait que la justice ne l’arrêtera jamais car elle n’existe pas.
Sauf avec l’argent et cette illusion de croire que la force du témoignage d’un être humain est essentielle.
Cela ne ternira jamais la vérité.
Philippe Palat est un violeur. Un prédateur, un manipulateur qui n’est qu’à son vide, qu’aux mensonges et qui n’a jamais ressenti le moindre amour vrai, sincère, humain de toute son existence.
Il a fait souffrir une femme enceinte, des enfants voilà sa gloire, le triomphe de son impunité.
Ses escroqueries, nombreux les connaissent et il ne cessera jamais.
Il a oublié la cruauté qu’il a fait subir à sa famille et se sert de son existence pour manipuler et obtenir ses intérêts minables.
Le pire qui restera à jamais : l’empreinte de sa sinistre vie, son atroce violence sur une femme enceinte et sur un enfant dans le ventre de sa mère et sa violence à la maternité.
Sa violence criminelle, froide, calculée et qui a été en 1992.
Un état de choc. Une jeune maman face à cet horrible psychopathe.
Il ne sera jamais condamné pour ce qu’il a fait en 1992 et chaque jour où sa haine l’alimente et fait sa seule raison de vivre.
Le commissariat central de Bordeaux a enregistré un témoignage concernant 1992.
La force de témoigner et le vide de la justice.
Philippe Palat est conscient et responsable et connaît très bien ce système.
Il en a suffisamment user et sait le manipuler. C’est un jeu, un défi pour lui.
La seule chose à retenir est qu’il n’a rien vécu de vrai, de sincère et que sa mémoire, car il sait très bien ce qu’il fait, est à supporter toute sa criminalité, tout son corps de violence extrême et de n’être que son extrême vide, sa méchanceté tenace.
Il me regardait souffrir. La cruauté de son regard qui respire toute sa violence.
Il est cela. Un regard vide de toute humanité, de tout soleil.
Aucun des enfants ne le considèrent comme un père. Ils l’ont vu. Vu, nous avons vu tout son visage devenant la cruauté personnifiée. Son père me disant « je connais ce visage, ce regard que tu décris, je l’ai vu. »
Philippe Palat est un amas de cruauté et de haine. Il est celui qui nie la vie d’autrui et la saccage par jalousie, frustrations, haines de ce qu’il n’est pas.
Il est incapable de ressentir une émotion. Il n’a aucun affect.
Sa méchanceté à la naissance de son premier fils. Calculant les mots blessants, froids qu’il dirait.
Son père m’a avoué que Philippe Palat avait un écusson représentant la plus atroce haine en sa possession.
Qui es-tu Philippe Palat ?
Ce prédateur a triché, menti sur toute sa vie. Racontant ses mensonges à ses propres enfants.
Sa présence à leur venue au monde alors qu’il me martyrisait et violait !
Content de lui, fier de ces actes, il s’est installé dans des hôtels et a laissé des factures de plus de 3 000 euros !
Des plaintes pour escroqueries qui ne seront jamais entendues alors pourquoi se priverait-il et pourquoi ne croirait-il pas à sa puissance ?
Pendant ce temps, je dois dépasser la pauvreté, des traumatismes, et faire le deuil de toute justice !
Que la France sorte de l’Onu et de toutes institutions respectant les droits humains !
Cette mythologie de justice !
Combien de victimes en France resteront à vie sans reconnaissance, droit à la résilience et réparation ?
Philippe Palat a obtenu la permission de recommencer, son impunité, il a eu la reconnaissance de sa prédation criminelle en victoire.
Philippe Palat vous dit « merci », merci à la « justice »
© Fédora Hélène
Article lié :
https://liberterrajournal.com/2020/03/07/un-predateur-en-vadrouille-et-faux-diplomes/


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